SARS-CoV-2, variants. vaccins. Quelques observationsLes variants du SARS-CoV-2La première voie de genèse de variants du SARS-CoV-2Les coronavirus sont des pathogènes qui ont l'habitude de muter en permanence. Lors de leurs réplications, certaines parties de leur génôme sont "mal" transcrites" ou "mal" recopiées. "mal" n'a pas un grand sens ici, sauf à y voir une pointe d'humour, asez mal placée, j'en conviens. Manifestement, il existe deux autres voies de production de mutations que celle des erreurs de transcription ou de copiage. Une deuxième voie par sélection naturelleLa deuxième voie est celle de la sélection naturelle. Dans cette voie, on considère que le coronavirus est un organisme soumis aux lois de l'évolution. Lorsqu'il rencontre une agression qui tente de limiter son extension, il s'adapte à cette agression qui, devenant moins efficace, le laisse reprendre sa diffusion dans le monde vivant. C'est exactement le cas des traitements médicamenteux. Lorsque le SARS-CoV-2 rencontre un agent chimique ou biochimique présenté par l'homme, il tente - en moyenne - de s'évader de l'attaque médicamenteuse opérée en présentant une nouvelle identité génomique qui lui permet d'éviter cette agression humaine. On remarque que trois variants du SARS-CoV-2 ont récemment inquiétés les autorités sanitaires, surtout en occident. Il s'agit des variants britannique (plus précisément du Kent), sud-africain et brésilien. On sait qu'actuellement le variant anglais serait devenu majoritaire en Euurope et aux USA. Par ailleurs, on s'interroge sur l'efficacité du vaccin Astra-Zeneca à l'égard du variant sud-africain. Or, très suggestivement, le Royaume-Uni, l'Afrique du Sud et le Brésil ont été les terrains d'essais cliniques des vaccins Pfizer et Astra-Zeneca. Il existe donc une hypothèse que ces variants seraient le produit d'une adapatation évolutioniste du coronavirus souche originale de Wuhan, pour échapper à la vaccination. Les craintes sur l'efficacité du vaccin AstraZeneca sur le variant sud-africain sont suggestives d'une telle hypothèse. Plus particulièrement à l'appui de cette hypothèse, on note que plusieurs mutations importantes du génome du SARS-CoV-2 identifiées dans les variants anglais, sud-africain et brésilien portent sur des régions très dangereuses du gène S, notamment dans la région de clivage par la furine, qui permet au coronavirus de pénétrer au niveau des récepteurs ACE2 dans les cellules respiratoires humaines. Or, les vaccins Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Sputnik contiennent sous une forme ou sous une autre (ARNm) des parties de la protéine de pointe générées par le gène S. La question se pose donc du rôle des essais cliniques dans l'apparition des variants susmentionnés. Une troisième voie par mutagenèseIl existe une autre voie de production de mutation d'un virus comme le SARS-CoV-2 : celle de la mutagenèse provoquée par un médicament. Au moins deux études récentes ont identifié l'effet mutagène sur le SARS-CoV-2 d'un médicament, depuis trouvé inefficace contre la Covid-19, le Remdesivir. Dans l'une de ces études, une étude citée par le Pr Raoult, un malade avait été hospitalisé quatre fois et quatre fois de suite, il avait été traité avec le remdesivir, médicament développé par la firme US Gilead. A l'issue de chacun des traitements, il avait été relâché de l'hôpital. Or, il avait été analysé et un prélèvement viral séquencé à l'entrée et à la sortie de traitement. A chaque traitement, il y avait des mutations dans la nouvelle infection. A la quatrième génération de mutants, le malade est décédé. Ici, il ne faut pas tirer de conclusion, ni hâtive, ni rien du tout. Seulement que l'intervention humaine si elle est prise au premier degré produit des catastrophes microbiologiques. C'est très beau de produire un vaccin ou un médicament nouveau contre un pathogène. Encore faut-il que ce vaccin ou ce médicament ne produisent pas des dégâts encore plus considérables en faisant muter le coronavirus vers un variant plus dangereux. Particulièrement, un traitement virucide semble plus indiqué contre un tel genre de pathogène en ce qu'il laisse peu de chances au coronavirus de muter. C'est le mérite de deux médicaments dont les scientifiques devraient reparler sérieusement : l'hydroxychloroquine et l'ivermectine. L'hypothèse d'une programmation génétique des variantsUne autre observation porte sur le concept d'épidémie. Il faut se poser la question de savoir s'il est d'intérêt pour la lutte contre l'épidémie de tenir les variants du SARS-CoV-2 comme la continuation d'une seule et même épidémie ou de nouvelles épidémies indépendantes. Actuellement, on remarque que l'infectivité est dans certains endroits plus fortes et en général la mortalité est plus faible. Selon les données disponibles, les symptômes de la Covid-19, la maladie provoquée par le SARS-CoV-2, semblent largement constants depuis le début de l'épidémie. Cet aspect de la question de l'épidémie pose alors le problème de la programmation possible d'un génome de coronavirus capable de muter de lui-même de façon à s'adapter de manière indépendante ou liée aux actions de lutte antiépidémique si l'hypothèse de l'origine artificielle du SARS-CoV-2 s'avère exacte. On pourrait se demander si, dans l'esprit des militaires à l'origine du développement du génome du SARS-CoV-2, il a été imaginé un mécanisme de développement de variants, c'est-à-dire de modifications de certaines protéines. Ces modifications pourraient être progammées de façon à contourner un vaccin mis au point sur une souche originelle de SARS-CoV-2. Le nouveau variant, par exemple disposant d'un nouveau point d'entrée dans les cellules respiratoires, par exemple sur un autre récepteur que le récepteur hACE2. Il faut ici souligner que cette observation ne repose que sur une première hypothèse : le SARS-CoV-2 serait le produit d'une ingéniérie génétique qui aurait infecté le monde entier ou bien par une volonté délibérée de forces arpées, probablement chinoises, ou bien par un accident de sécurité par exemple au laboratoire P4 de virologie de Wuhan. Cette première hypothèse est rejetée par la covidocratie sous l'influence de l'ONG EcoHealth Alliance pour des raisons inconnues. L'OMS semble cependant à la fois soutenir l'idée d'EcoHealth Alliance d'une zoonose passée par un animal intermédiaire qui n'est plus le pangolin du Seafood Market de Wuhan mais qui reste indéterminé, et considérer que l'origine artificielle du SARS-CoV-2 n'est toujours pas exclue. La seconde hypothèse à établir est que si l'origine du SARS-CoV-2 vient de l'Armée populaire de Chine - thèse soutenue par la virologue Li-Men Yan, chinoise transfuge aux USA,et férocement déniée par la covidocratie - il faut encore trouver le code de reprogrammation des varianst. Et c'est loin d'être apparent ... Enfin, on peut remarquer une possible particularité de l'arbre phylogénétique de SAR-CoV-2. Alors qu'un coronavirus a tendance le plus souvent à se dégrader génétiquement de sorte qu'il disparaît à la prochaine saison froide, le SARS-CoV-2 pour autant que ses variants principaux soient toujours des SARS-CoV-2, ce qui semble admis par tous les généticiens, ne paraît pas se dégrader. Il dure depuis 16 à 18 mois. Sa mortalité semble se réduire - ce qui est à confirmer - mais son infectivité serait probablement un peu plus forte. Cette particularité de SARS-CoV-2 pourrait - c'est à démontrer - provenir d'une programmation génétique artificielle. Etats de la vaccination anti-CovidPlusieurs >Etats comme le Royaume-Uni, Israël ou les USA sont parvenus à des taux de vaccination contre la Covid élevés. D'autres comme la France restent à des taux de vaccination faibles. On note que la réaction des populations aux divers vaccins est assez différenciés. Ainsi aux USA où l'on vaccine beaucoup et vite, 40% des soldats du Corps des Marines ont refusé la vaccination anti-Covid. Inversement, en France où la résistance vaccinale est l'une des plus élevées au monde, l'enthousiasme pour la vaccination - du moins selon le rapport des médias - n'est pas vraiment affectée par les retards dans le programme de vaccination. Quelle est l'efficacité de la vaccination là où le taux de vaccination est le plus élevé? En Israël, les autorités estiment cette efficacité à 94%. Mais, ces autorités ne disent pas sur quoi elles fondent leurs chiffres de sorte qu'on ne sait pas vraiment de quelle efficacité il s'agit. On remarque que sur deux mois, si l'efficacité est le rapport des non-infectés à la population vaccinée, on remarque que il n'est pas meilleur que celui de l'épidémie avant le vaccin. On remarque que, dans la classe d'âge de 20-29 ans, le nombre de décès est le plus haut depuis plusieurs années, sans que l'on sache vraiment pourquoi. L'enregistrement des effets adverses des vaccinations (USA - VAERS, R.U. - MHRA, FR - ANSM), malgré la faible exhaustivité des déclarations et malgré les dénégations de la covidocratie, révèle un nombre considérable - peut être de dix fois supérieur au pire des vaccins non Covid - d'effets indésirables ramené au nombre de vaccinés. Le nombre de décès, dont très peu ont pu être reconnus causés par un vaccin Covid, et le nombre d'effets adverses graves conduisant notamment à des invalidités, sont beaucoup trop élevés. Mais, alors que ces chiffres sont publics, ils ne sont pas commentés par la presse qui évite d'ailleurs de prétendre que ces nombres d'effets adverses graves serait plus faible que pour les vaccins non-Covid. La question des thromboses post-vaccinalesLa presse a popularisée le problème de thromboses associées avec le vaccin AstraZeneca. Or, très étrangement, si le vaccin ARMm de Moderna semble avoir peu de problèmes de ce genre, le vaccin ARNm de Pfizer en a lui aussi beaucoup. Et selon certaines sources américaines, le vaccin Johnson & Johnson, qui comme le AstraZeneca est un vaccin à vecteur génétiquement modifié, présente lui aussi de nombreux accidents vasculaires. Ainsi qu'il a été dit plus haut, il faut se rappeler que la Covid-19 se caractérise dans les cas les plus sévères par des thromboses, notamment des thromboses pulmonaires. Or, les vaccins anti-Covid actuellement utilisés portent ou synthétisent la protéine de pointe S du coronavirus de sorte que infectant les cellules par leurs récepteurs ACE2, c'est cette protéine qui produirait une réponse du système immunitaire qui provoquerait un agglutinement des plaquettes sanguines, responsable de la thrombose, surtout dans les veines et vaisseaux étroits où le flux sanguin est lent. D'une certaine manière, le "vaccin" génétique provoquerait indirectement une forme grave de la Covid, en produisant l'orage de cytokines bien connus du SARS-CoV-2. Selon une autre voie de recherche, la réaction serait produite par une vaccination intraveineuse, par erreur. Il est en effet assez difficile de faire à tous coups une intramusculaire de sorte que le protocole d'injection serait - rarement - mal appliqué et produirait alors une réaction à la protéine S synthétisée directement sur les parois du vaisseau et de là, serait produite localement la réaction immunitaire responsable de la thrombose. On remarque que plusieurs autorités médicales, en France notamment, ont prétendues que les thromboses post-vaccinales étaient des thromboses "habituelles" en population générale. et qu'il n'y avait donc aucune raison de rechercher la responsabilité du vaccin. Ces autorités ont, une fois de plus, prononcé un oracle qui doit plus à l'ébriété du hashish qu'à la raison. La question de la sortie par le tout-vaccinalCertains covidocrates commencent à critiquer l'idée de la sortie de l'épidémie par le "tout-vaccinal". L'idée est très simple. Les gens semblent se ruer sur le vaccin anti-Covid au prétexte que "c'est la seule solution pour vivre comme avant". La naïveté des gens est sans limite. Mais, les covidocrates n'ont absolument aucune intention de nous laisser revivre comme avant. Aussi, exploitent-ils l'idée du danger des variants, variants dont l'évidence leur a été imposée à leur corps défendant. En effet, les covidocrates au moins jusqu'au mois de Septembre 2020, ont affirmé qu'il y avait un seul coronavirus stable et que les variants n'avaient aucune réaliré. C'est sur cette base qu'ils ont d'ailleurs instillé dans l'opinion l'idée stupide qu'il n'y avait aucune autre solution contre la Covid que LE VACCIN. L'idée vient de loin d'ailleurs. On la trouve dans le Rapport 9 de l'anglais Ferguson, rapport qui a servi à provoquer la panique épidémique parmi les gouvernements occidentaux vers le 15 mars 2020. Les covidocrates sentant que les gouvernements vont relâcher le contrôle social à l'abri duquel ces mêmes covidocrates se livrent à leurs rapines étendues, utilisent donc la crainte que les vaccins anti-covid ne soient pas complètement efficaces contre des variants du virus. >En rélité, ils ignorent complétrement sui les vaccins sont efficaces contre la Covid actuelle. Alors au sujet de varianst futurs, ils ignorent tout. Mais, quand l'idéologie a commencé à s'imposer, il est impossible de l'arrêter. A défaut, tout le régime qui l'a adopté s'effondrerait. Or, la dictature imposée par la covidocratie et adoptée bien volontiers par les gouvernements occidentaux est une infâmie politique qui ne pourra se résoudre que par des moyens politiques. Il n'est, à ce niveau de l'affaire, pas utile d'en dire plus. En attendant, il faut se préparer au progrès de la catastrophe politique, sociale et économique que prépare la covidocratie de toute son énergie. Les effets adverses des vaccins anti-CovidPour l'instant, il s'agit des premiers effets adverses. Quelques décès, des incapacités graves. C'est peu. Or, les vaccins anti-Covid, sauf le vaccin chinois SINOVAC, d'ailleurs tenu pour moins efficace, sont tous des produits génétiquement modifiés pour lesquels aucun effet génétique n'a été recherché pour la simple raison que sur l'homme il faut plusieurs années avant que ces effets soient réellement détectables. Nous savons qu'il existe plusieurs risques que le gène S ou la protéine de pointe qui en est traduite puissent produire des effets thératogènes sur le génome humain .Il existe aussi des effets de type ADE qui sont des recombinaisons avec d'autres virus et qui peuvent aboutir à des catastrophes biologiques dont nous connaissons l'existence au sujet des vaccins contre les coronavirus au moins depuis 2012, mas sans pouvoir encore les prévoir et donc les prévenir pour le SARS-CoV-2, dont nous ne connaissons toujours pas la véritable origine. Il est aujourd'hui seulement dénonçable l'attitude des autorités qui ont imposé des solutions vaccinales encore au stade expérimental alors qu'elles ont de lourdes implications de santé pour les générations futures et pour nous-mêmes. Pour une épidémie qui ne touchent que les personnes âgées, réduisant de quelques mois leur espérance de vie. |