Une équipe de biologistes belges a réuni deux groupes de 14 souris humanisées chaque. Les 14 souris du premier groupe ont été vaccinés (vaccin + Booster) et les 14 souris du second groupe servaient de témoins. La durée de l'essai avait été dûment déterminée. Le matin du dernier jour, alors que l'équipe euthanasiait les souris des deux groupes, elle a trouvé une souris morte dans le groupe des vaccinés. La nécropsie pratiquée révèle un cancer lymphatique "géant" qui n'avait pas été détecté auparavant. Pratiquement tous les organes sont envahis par le lymphome.
Les analyses menées permettent de déterminer une corrélation entre la vaccination ARN - avec du Pfizer - et le lymphome. Cependant, il existe un doute : la souris cancéreuse avait un poids au début de l'expérience qui était déjà plus petit que celui des autres souris. Il existe donc une possibilité, faible à cause du type de souris utilisé, que la souris était déjà atteinte du lymphome. Dans ce cas, la vaccination ARN Pfizer aurait oprovoqué une accélération importante de la croissance du lymphone. On parle parfois de "turbo-cancer".
Or, l'étude est particulièrement bizarre.
Elle était réalisée pour construire "a mouse model of mRNA COVID-19 vaccine-induced myocarditis". Or, l'article paru ne donne aucune indication concernant la survenue de myocardites dans le groupe vacciné, ni d'aucun autre effet adverse de la vaccination.
On sait seulement qu'une souris ayant été trouvée morte à la fin de l'étude, son autopsie révèle un lymphome "géant". Toutes les souris ont été liquidées sans qu'aucune analyse n'ait été menée pour savoir si d'autres souris présentaient ou non un lymphome ou autre chose. Très curieusement pour une étude bâtie selon les "standards" de la "science officielle", on ne saura même pas si le groupe de témoins a présenté ou non des lymphomes !
Il faut noter que l'article indique froidement en introduction :
In spite of their undisputed success in decreasing COVID-19- associated hospitalizations and mortality, with over 13 billion doses administered globally, a variety of adverse events associated with COVID-19 vaccination have been reported among the general population (6, 7). |
Malgré leur succès incontesté dans la réduction des hospitalisations et de la mortalité associées au COVID-19, avec plus de 13 milliards de doses administrées dans le monde, divers événements indésirables associés à la vaccination contre le COVID-19 ont été signalés dans la population générale (6, 7). |
Comment se peut-il que les chercheurs belges n'aient pas indiqué les autres effets adverses dans les souris vaccinées et surtout les lymphomes ? Manifestement, il suffit que
Although strong evidence proving or refuting a causal relationship between SARS-CoV-2 mRNA vaccination and lymphoma development or progression is lacking, vigilance is required, with conscientious reporting of similar cases and a further investigation of the mechanisms of action that could explain the aforementioned association. |
Bien que des preuves solides prouvant ou réfutant une relation causale entre la vaccination par l'ARNm du SRAS-CoV-2 et le développement ou la progression du lymphome fassent défaut, la vigilance est requise, avec un signalement consciencieux de cas similaires et une enquête plus approfondie sur les mécanismes d'action qui pourraient expliquer l'association susmentionnée. . |
Or, le 25 Novembre 2021 paraissait un article dans la même revue médicale décrivant le lymphome d'un professeur de médecine belge. Ce dernier, Michel Goldman, "vacciniste" convaincu, se faisait injecter deux doses de vaccin ARN Pfizer. Il semble que sa première vaccination remonte au mois d'Avril 2021. Le 8 septembre 2021, il passe un scanner qui révèle une lymphadénopatie limitée. Le 22 Septembre de la même année, il recçoit le "booster Pfizer" et passe un second scanner le 30 Septembre qui démontre un explosion de la lymphadénopathie.
Les études menées alors indiquent que le booster a provoqué une accélération du cancer :
It demonstrated a clear increase in number, size and metabolic activity of pre-existing lymphadenopathies at the supra- and sub-diaphragmatic level. Furthermore, new hypermetabolic lymphadenopathies and new hypermetabolic sites had developed since the first examination, in several different locations (Figure 1, right panel). Total lesion glycolysis (TLG) index was used to assess the changes in lymph node activities (6). As compared with the initial test, there was a marked 5.3-fold increase in whole-body TLG, with the increase in the post- booster test being twice higher in the right axillary region than in the left one. In parallel, a mild increase in blood levels of ferritin, C-reactive protein and LDH were noted. |
Elle a démontré une nette augmentation du nombre, de la taille et de l'activité métabolique des lymphadénopathies préexistantes au niveau supra- et sous-diaphragmatique. De plus, de nouvelles lymphadénopathies hypermétaboliques et de nouveaux sites hypermétaboliques se sont développés depuis le premier examen, dans plusieurs localisations différentes (Figure 1, panneau de droite). L'indice de glycolyse totale des lésions (TLG) a été utilisé pour évaluer les changements dans les activités des ganglions lymphatiques (6). Par rapport au test initial, il y avait une augmentation marquée de 5,3 fois du TLG corps entier, l'augmentation du test post-rappel étant deux fois plus élevée dans la région axillaire droite que dans la gauche. En parallèle, une légère augmentation des taux sanguins de ferritine, de protéine C-réactive et de LDH a été notée. |
L'article de Goldman expose plusieurs arguments démontrant que le booster a accéléré le lymphome. Il est estimé que la vaccination ARN et les autres vaccinations ne devraient pas être appliquées aux patients avec lymphome.
On note que Goldman reste extrêmement évasif sur la question de savoir quand son luymphome a été diagnostiqué la première fois. Il laisse entendre que ce serait avant le début de la vaccination, mais les durées entre les injections montrent qu'il ne disposait pas de scanner avant la première vaccination. Il est donc douteux qu'il était cancéreux lors de la première injection.
Goldman conclut l'article sur son cas :
The patient is the corresponding author of this case report. He hopes that this report will incentivize investigations to clarify the possible impact of anti-SARS-CoV-2 mRNA vaccination on the course of AITL. He remains convinced that mRNA vaccines represent very efficient products with a favorable benefit-risk ratio. |
Le patient est l'auteur correspondant de ce rapport de cas. Il espère que ce rapport incitera les enquêtes à clarifier l'impact possible de la vaccination par ARNm anti-SARS-CoV-2 sur l'évolution du lymphome angioblastique à cellules T. Il reste convaincu que les vaccins à ARNm représentent des produits très efficaces avec un rapport bénéfice-risque favorable. |
Avec des scientifiques de ce tonneau, on n'est pas prêt d'être en bonne santé.
Ces deux études montrent le lien entre l'explosion des lymphomes et la vaccination ARN. Qui est en cause, la protéine de pointe d'origine vaccinale, certains recombinants dans le code génétique ARN vaccinal, les particules lipidiques, des contaminants comme les éléments génétiques cancéreux SV40 ? On ne sait pas. Sauf que le vaccin Covid est un danger de santé publique.
Sources :
- Rapid Progression of Angioimmunoblastic T Cell Lymphoma Following BNT162b2 mRNA Vaccine Booster Shot, M. Goldman, Frontier in Medicine, 25 November 2021
- Did a Famous Doctor’s COVID Shot Make His Cancer Worse?, Roxanne Khamsi, The Atlantic, 24 September 2022
- B-cell lymphoblastic lymphoma following intravenous BNT162b2 mRNA booster in a BALB/c mouse: A case report, Sander Eens, Fronier in Medicine, 1 May 2023
- Pfizer Cancer? Double-Jabbed Mouse Unexpectedly 'Dies Suddenly' 2 Days After Dose #2, Autopsy Shows Widespread B-cell Lymphoblastic Lymphoma "Obliterated" its Internal Organs, ashmedai, Substack, 27 juin 2023
- Were Lab Animals Killed After mRNA Vaccination Trials to Hide Long-Term Adverse Consequences?, Igor Chudov - 29/06/23