Un retraité de l'université de Ratisbonne, petite ville provinciale allemande, vient d'annoncer sa démission du conseil d'administration, et donc du poste de président, d'un certain club de vacances pour politiciens véreux, milliardaires corrupteurs et médiacrates d'influence. Depuis trente ans, cette copie macabre du Grand Inquisiteur de Schiller est connue pour organiser annuellement le plus grand rendez-vous mondial de call-girls et d' "escorts" de tous genres dans une station de ski huppée de Suisse Centrale : Davos.

C'est du célèbre Klaus Schwab qu'il s'agit et de son World Economic Forum (WEF), dont le siège est à Genève où il a obtenu une immunité diplomatique reconnue mondialement. Le WEF peut se livrer aux pires exactions parmi les nations, la Suisse lui reconnaît le droit de ne pas être inquiété pour si peu.

Selon BFM TV qui rapporte une dépêche de l'AFP, agence appartenant au ministère de l'Intérieur du gouvernement français :

"Comme d'autres organisations internationales, le WEF suscite de nombreuses infox et théories du complot, accusé de vouloir mettre en place un "nouvel ordre mondial" afin de "contrôler la population". La publication par Klaus Schwab en 2020 d'un ouvrage intitulé "The Great Reset" (La Grande Réinitialisation dans son édition française), avait mis en ébullition les sphères complotistes qui ..."

J'invite mon lecteur à déployer un esprit critique suffisant pour échapper à la propagande du régime occidental, exprimée ici par BFM TV et l'AFP. Sans développer plus avant les méfaits de Schwab et de son WEF, je rappellerai :

• que Schwab a créé le WEF comme une annexe des services spéciaux de l'Administration Nixon, sous le patronage de Henry Kissinger ;
• que le WEF a construit l'ascension politique de Bill Gates, Nicolas Sarkozy, Angela Merkel, Vladimir Poutine - qui leur a échappé à leur plus grande fureur - et de bien d'autres ;
• que le WEF a diffusé en occident et ailleurs les idéologies les plus délétères qui ont corrompues les régimes politiques occidentaux, les transformant de républiques nationales en une tyrannie unifiée.

La grande trouvaille du WEF - probablement inventée par l'hyper milliardaire Bill Gates - a été le partenariat privé - public qui pemet à un promoteur privé d'utiliser un effet financier de levier pour contrôler l'action publique.

Le retrait de Schwab n'annonce par la fin du WEF, parce que Schwab n'est pas l'élément moteur de cette institution unique dans l'Histoire. Schwab n'a jamais été que le "fonctionnaire" installé par la caste dirigeante du régime mondialiste. Celle-ci vient d'ailleurs de désigner son successeur à la tête du WEF. Il s'agit de l'ancien P-DG du géant suisse Nestlé, Peter Brabeck.

Or, Brabek n'est pas un inconnu pour les milieux politiques français. Et ses aventures "françaises" ne sont pas sans intérêt pour percevoir la corruption généralisée du régime occidental qui lutte depuis quelques mois pour sa survie.

La première trace connue de Brabek dans la politique française a lieu en 2007 quand Nicolas Sarkozy, président de la République française et homme lige du WEF dont il est l'un des premiers Global Leaders, nommé la même année que Bill Gates, décide de convoquer une sorte de conférence pour rechercher des solutions au : la "Commission pour la libération de la croissance française", plus connue sous le vocable de Commission Attali, du nom de son président, Jacques Attali, lui-même membre du Conseil d'administration du WEF.

Attali va faire entrer dans sa Commission deux personnages importants depuis : Peter Brabec alors directeur général de Nestlé, et un certain Emmanuel Macron, alors tout jeune "Inspecteur des Finances" sans aucune expérience de quoi que ce soit. Brabec et Macron vont se fréquenter et devenir des "relations d'affaires" ... Ils vont aussi, quelques années après, devenir des membres importants du World Economic Forum, Macron devenant Global Young Leader. En attendant, Attali désigne Macron comme "rapporteur adjoint" de sa Commission.

Les travaux de cette Commission Attali vont conduire, comme son nom complet l'y engageait ... à réduire drastiquement la croissance française, détruire le travail, l'industrie et l'agriculture. Dont il faut reconnaître qu'lls n'étaient déjà pas bien "florissants". Mais à cette occasion, Macron accroche Brabec et Nestlé à son carnet d'adresses de relations utiles.

En 2012, Macron est "banquier" chez Rotschild. A qui il apporte Brabeck et Nestlé comme "clients". Pfizer, la firme américaine de médicaments, contrôlée par Bill Gates, membre du WEF, met en vente son département d'alimentation pour bébé. Averti par ses "camarades" de la haute administration, il apprend que Danone, "choisi" par Sarkozy pour la reprise, fait une offre meilleure que celle de Nestlé que Macron porte auprès de Pfizer. Macron part dans la nuit pour la Suisse et il parvient à convaincre Brabeck une heure avant son conseil d'administration, de faire une offre supérieure, faisant gagner presque 2 milliards de plus à Pfizer sur le ... dos de Nestlé. QUelques jours plus tard, Macron deviendra secrétaire général de l'Elysée capturé par Hollande sur le dos de Sarkozy.

C'est en 2016 alors qu'il démissionne de son poste de Ministre de l'Economie de Holllande que Macron est nommé Youg Global Leader du WEF et qu'il initie sa campagne pour les présidentielles de 2017. Quand il sera président, Macron recevra plusieurs fois et sera reçu par son ami Bill Gates à qui il achète généreusement ses vaccins Covid - et d'autres.

La moindre évocation critique du WEF suscite des insultes de la part de ses sectateurs. Les plus fréquentes évoquent le complotisme, l'extrême-droite, les "fake news", ... Toutes choses qui, peu de temps après, sont reconnues comme vraies. Mais, le plus souvent, le WEF et ses membres ne tolèrent aucune critique. Ils laissent des médias stipendiés par eux faire régner un chaos tyrannique de plus en plus bousculé. Mais, en conclusion, l'histpoire politique récente des trente dernières années est essentiellement écrite par les affidés du WEF. Et c'est une catastrophe qui n'a que trop durée.

Liste des Sources consultées