Une alerte sur une manoeuvre douteuse des gouvernements occidentauxPlusieurs auteurs ont déjà écrit sur la question. Il y a un loup ... Les effets adverses qu'un vacciné subit d'un vaccin doivent être prouvésAinsi qu'on le sait, les fabricants de "vaccins Covid" [1] ont signé des contrats de fourniture [2] dans lesquels ils s'exonèrent des dommages futurs imputables "éventuellement" à leurs produits. La responsabilité en incombe aux gouvernements. De grands coeurs ont été émus que, dans leur paternelle sollicitude, ces gouvernements acceptent ainsi de prendre ce qui - au lu des registres de déclarations d'effets adverses (AEM en Europie, MHRA au Royaume-Uni, Vaers aux USA, ...) - une très lourde responsabilité. Au 20 août 2021, les USA enregistraient dans leur registre VAERS 13.627 décès pour 623.341 effets adverses individuels déclarés [3]. Un seul petit détail : la première victime indemnisée n'est probablement pas encore née ... parce que les Etats occidentaux refusent absolument de conduire la moindre autopsie de victime supposée d'un vaccin Covid quelqu'il soit ! La chose est dénoncée par plusieurs médecins [4]. Elle ne semble émouvoir personne d'autre. La conséquence de l'absence d'autopsie réside en ce que l'Etat va certainement échapper à la majeure partie de sa responsabilité dans les dommages subis à cause des effets adverses des vaccins Covid qu'il a imposé de manière scandaleuse. Prouver pour être indemniséSans preuve, il n'existe aucune possibilité d'idemnisation d'aucune victime. Il faut, si vous devez vous faire vacciner, obtenir d'un médecin prélablement un bilan de santé, notamment hématologique et sérologique. Puis après, la vaccination, vous devriez faire plusieurs bilans de santé successifs pour faire établir les éventuelles dégradations de votre état de santé. Sans ces éléments, vous n'aurez probablement aucune possibilité d'obtenir la moindre indemnisation si le vaccin a induit chez vous un effet adverse. Si l'un de vos proches décède, avec le conseil d'un médecin, si vous estimez qu'il existe une possibilité que le vaccin ait une relation avec son décès, faites procéder immédiatement à une autopsie [5]. La preuve médico-légale est essentielle pour toute procédure en responsabilité. Prouver pour, le cas échéant, sanctionner le gouvernementMais, il existe une seconde raison pour laquelle il faut vraiment qu'un nombre aussi élevé que possible de citoyens constituent des preuves des effets adverses réellement suvis et attribués avec certitude aux vaccins Covid. Je pense qu'en effet, les fabricants des vaccins Covid n'ont pas de grandes responsabilités dans ces effets adverses. Notamment en France - mais la chose est très semblable partout en occident - c'est le gouvernement et son Administration qui ont rendu incontournable la vaccination Covid alors que les fabricants de ces vaccins sont si conscients de leur caractère expérimental qu'ils ont refusé toute garantie sur les effets adverses. La responsabilité des effets adverses incombe donc essentiellement au gouvernement qui a organisé le cours des choses de façon à ce que l'ensemble de la population soit vaccinée aussi rapidement que possible. A cette fin, le gouvernement et ses affidés - fonctionnaires et journalistes - se sont livré à une véritable intoxication de l'opinion en instillant des informations mensongères sur l'efficacité et la sécurité des vaccins Covid [6] ainsi qu'en cachant systématiquement les effets adverses, même ceux enregistrés auprès de l'AEM [7]. Si un maximum de citoyens disposent de preuves d'attribution d'effets adverses aux vaccins Covid, il sera possible de demander des comptes à ce gouvernement ainsi qu'à ses affidés. En l'absence de preuve, la contestation sera éteinte et les vrais responsables - qui ne sont certainement pas les fabricants irresponsables et conscients de l'être - resteront impunis. Or, cette recherche de causalité des eftets adverses des vaccins Covid aurait dû être une priorité du gouvernement et de l'administration sanitaire puisqu'ils exposent leur responsabilité. Cette recherche aurait dû être tenue pour une diligence essentielle, notamment au regard du principe de précaution. Le fait que ni l'Etat, ni l'Administration ne semblent prendre la moindre mesure efficace pour suivre l'épidémiologie des vaccins Covid démontre seulement leur volonté de se dérober à la moindre responsabilité devant la crise. Il est clair que plusieurs organisations devraient - le font-elles, je l'ignore - mener aussi ce genre de recherche. Il s'agit selon moi des Institutions médicales et pharmaceutiques. Malheureusement, beaucoup sont sous la tutelle de l'Etat d'un part ou encore des laboratoires pharmaceutiques d'autre part. Des laboratoires qui n'ont - comme l'Etat - aucun intérêt à avancer dans l'analyse épidémiologique a posteriori de la vaccination Covid. Il pourrait aussi y avoir des recherches menées par les assurances médicales et en France, particulièrement, par le secteur des mutuelles de santé. J'ignore si ces organismes mènent de telles recherches et j'en doute. Deux remarques supplémentaires à la question de la preuve des effets adversesCet article est sommairement dirigé vers l'examen d'une situation pré-contentieuse sur la question des dommages vaccinaux. Il n'épuisera certainement pas les éléments nécessaires d'une telle étude. Mais, deux remarques me paraissent importantes à ce stade. Tout d'abord, jusqu'à ce jour - et pour une durée indéterminée mais qui pourrait se terminer prochainement - les trois vaccins Covid utilisés en France le sont avec une autorisation temporaire de l'ANSM, suite à la même décision de l'AEM européenne. Or, l'utilisation d'un médicament à autorisation expérimentale exisge une information compréhensible du patient, et le recueil de son consentement éclairé. C'est la raison du retard qu'avait pris la vaccination des personnes âgées en EPHAD au mois de janvier 2021. Il semble que et l'information compréhensible d'une part et le consentement éclairé d'autre part soient absents depuis lors. Notamment, il semble que les vaccinés ne reçoivent aucune véritable information concernant aussi bien l'efficacité et la sécurité du vaccin, mais ne reçoivent qu'une information mensongère concernant les effets adverses. Il existe là une voie d'action judiciaire contre l'Etat, mais qui demande là aussi un minimum de preuves. Une seconde remarque tient aussi à la condition essentielle de délivrance par l'Etat d'une Autorisation Temporaire d'Utilisation d'un vaccin expérimental : Il ne doit exister aucun traitement alternatif. C'est la raison du "blocage" - par l'Etat et par les médecins - des traitements à base d'hydroxychloroquine ou d'ivermectine alors qu'on sait que ces traitements et d'autres encore sont particulièrement efficaces aussi bien à titre préventif, au début de la maladie ou lors du développement de formes graves. Le refus de reconnaître de tels traitements est lié aux conditions juridiques nécessaires à la délivrance de l'Autorisation Temporaire d'Utilisation des vaccins Covid. Il est donc nécessaire de mettre en regard les bénéfices des traitements médicamentaux que l'on sait depuis longtemps efficaces et sans effets secondaires notables avec les effets adverses des vaccins Covid. Il en résulte inéluctablement que leurs ATUs paraissent des attentats au bon sens, mais aussi à la loi. Quel est l'importance réelle des effets adverses des vaccins CovidPar rapport aux vaccins antérieurs, les vaccins Pfizer, Moderna, Johnson ou AstraZeneca posent un problème énorme : pour six mois de vaccination Covid, Il existe 60 fois plus de décès déclarés que la moyenne annuelle des décès des autres vaccins. Et le nombre des effets adverses est tel que tout autre vaccin était arrêté immédiatement bien avant d'atteindre l'hécatombe des vaccins Covid. Ceci dit, on est encore loin d'avoir fait le tour de la question puisque le gros problème des vaccins Covid, notamment ceux à mRNA ou à vecteur virus, pourrait être qu'ils produiront des effets adverses à long terme. Notamment, on sait que la plupart de ces vaccins produisent des thromboses - accidents vasculaires. Or, ce sont les accidents les plus graves qui apparaissent dans les Registres d'effets adverses. Les micro-thromboses vont maintenant se développer puisque les cellules humaines, infectés par les éléments géniques des vaccins Covid, vont dorénavant synthétiser la molécule de Spike caractéristique du SARS-CoV-2. Or, si en effet, les éléments géniques injectés disparaissent en quelques semaines, leur insertion dans les cellules humaines va maintenant produire son effet à long terme. Notamment, les personnes qui ne se sont plaintes que de "migraines", d'une "fatigue" ou d'une vague sensation de difficulté respiratoire, pourraient développer ultérieurement des maladies chroniques caractéristiques de l'effet de la molécule de Spike. Et ce pendant plusieurs années. La molécule de Spike est actuellement dans leurs cellules et ravaillent dans l'ombre. C'est aussi une raison qui rend absolument nécessaire la prise de preuves des évolutions de nos états de santé et de se doter des moyens pour prouver le lien avec la molécule de Spike et/ou de la vaccination Covid. Maintenant, il ne faut pas non plus tomber dans la paranoïa. Une majorité de vaccinés - on peut encore le supposer - ne développeront pas d'inconvénients de santé. Mais, l'irresponsabilité de l'Etat, ses certitudes idéologiques, ses mensonges sont absolument inqualifiables et exigent que le peuple prenne les moyens de le sanctionner certainement. La Déclaration des Droits de l'homme ne lui donne t'elle pas celui de demander compte de son administration ? AJOUTQuelques minutes après avoir publié mon article, je lis cet article de Luisa Scrosatti de La Nuova Bussola Quotidiana : Quelle morti post vaccino e il vizietto di non dirlo ad Aifa du 2 Septembre 2021 et qui décrit exactement les problèmes soulevés dans mon article. Mais elle elle le fait de l'Italie où l'administration sanitaire est l'AIFA. Avec le concours des médecins hospitaliers, cette administration "bloque" le maximum d'attributions à la vaccination Covid des décès qu'ils constatent. Dans la version anglaise de la Nuova Bussola Quotidiana, Luisa Scrosatti a écrit un autre article tout aussi passionnant : Why “the benefits outweigh the risks” is untrue, 25-08-2021. "C'est une abomination de croire que quelques décès sont acceptables pour le bénéfice de la communauté". Notes[1] Pfizer, appartenant à Bill Gates, sur une licence Bio N'Tech, appartenant aussi à Bill Gates, Moderna, travaillant sur licence de Bill Gates, AstraZeneca, Johnson & Johnson. Ce sont les vaccins Covid "réservés" aux occidentaux. Il y a le Spoutnick V de Gamalaya le Russe et Sinovac du chinois Sinopharm, ailleurs. Ce dernier est le seul à être un "vrai" vaccin avec virus SARS-CoV-2 inactivé. Tous les autres utilisent des éléments géniques liés à la protéine de Spike qui forme la partie la plus pathogène de SARS-CoV-2. [2] Lire par exemple :
[3] Lire Revue C-Politix, Covid Vaccine Adverse Events Reporting System, USA (20 08 2021), Philippe Brindet - 01 Septembre 2021. [4] Lire :
[5] Il faut déposer une requête motivée auprès du Procureur de la République. Il vaut mieux requérir les services d'un avocat. [6] La lecture des pages réservées à ces études sur le site de l'ANSM est absolument affligeante. On se demande si il reste deux sous de bon sens dans ce genre d'agence en France : Effets indésirables liés aux vaccins autorisés contre la COVID-19 : ce qu'il faut savoir, PUBLIÉ LE 16/03/2021 - MIS À JOUR LE 22/07/2021 . On y lit par exemple : Comment prendre en charge les effets indésirables les plus fréquents ? En cas de fièvre et/ou de douleurs, nous conseillons de privilégier l’utilisation du paracétamol à la dose la plus faible et le moins longtemps possibleC'est tout. Le site de l'AEM sur les effets adverses des vaccins Covid est ignoré (https://www.adrreports.eu/) [7] Il nous faut mettre ici une nuance à la note précédente. Le politologue Eric Verhaeghe, très engagé dans l'opposition à la politique sanitaire occidentale, a diffusée une Note de la Direction Générale de la Santé, Ministère de la Santé Publique. Lire : Document : quand Véran commence à s’inquiéter de l’efficacité réelle des vaccins…, Le Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe - 05/08/21 La Note de la DGS produite par Verhaeghe donne l'objectif : [...] il est important de maintenir un suivi des échecs vaccinaux ainsi que des regroupements d’échecs vaccinaux et notamment ceux identifiés chez des personnes chez qui est suspectée la présence du variant Delta. Mais, la DGS se borne en fait à ceci : "Ce message DGS-Urgent vise à cet effet le rappel des procédures de signalements. ". Elle rappelle sa définition des "échecs vaccinaux". Comme le remarque Eric Verhaeghe, la DGS sait qu'il y a un vrai problème. Et pour éviter de nommer les effets adverses des vaccinations Covid, on évoque un simple "échec vaccinal", ce qui est un doux euphémisme allant, la Note de la DGS le souligne toutefois, jusqu'au décès. Malheureusement, l'examen des documents de l'administration sanitaire française est sans appel : le suivi des effets adverses est tout simplement saboté de manière à empêcher toute mise en cause de la responsabilité de l'Etat. Pour moi, la phraséologie de cette Note DGS devrait seulement permettre au Directeur de la DGS de se mettre à couvert devant la catastrophe qu'il connaît parfaitement et dans l'hypothèse - invraisemblable - où lui-même serait mis en cause judiciairement. |