Une nouvelle insertion génique dans le gène S de SARS-CoV-2Dans un article de janvier 2020 [1] qui a été rétracté - sous la pression du régime sanitariste - Pradhan a publié le code génétique d'un Insert 4 dans la protéine de pointe de SARS-CoV-2 original de Wuhan 1 : QTNSPRRA de la position 681 à la position 688. Dans un article du 21 Février 2022 [2], Ambati identifie de l'expression ARNm du gène S responsable de la protéine de pointe, une fois transcodé en ADN : T Q T N S P R R A R S V A S Q de la position 676 à la position 690 La partie centrale exprime la suite PRRA de Pradhan. Ambati résume le travail effectué en 2022 :
Pour résumer le résumé de Ambati, le code génétique autour du site de clivage de la furine (FCS) reproduit la copie d'une partie d'un gène humain de longueur de 19 acides aminés qu'il est presque impossible de considérer d'origine naturelle. Ambati confirme donc la découverte de Pradhan et conduit à la même conclusion : SARS-CoV-2 ne peut pas être d'origine naturelle. Nous pouvons estimer que SARS-CoV-2 est bien issu d'une ingéniérie génétique. Cette découverte supplémentaire de plusieurs autres a été abondamment commenté [3]. Mais Ambati a fait une autre découverte :
Les 12 nucléotides de la fin de la partie S1 de la protéine S se retouvent inversés dans une séquence d'acides aminés brevetée par Moderna dans un brevet américain de 2016 le US 9.587.003. La séquence détectée par Ambari et al se trouve déposée dans la banque de données génétiques du NCBI à cette adresse : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/KH664781.1. De manière conventionnelle les codes C G A et T des codons du gène représenté sont édités en lignes de 6 groupes de 10 bases. En effet, le gène MSH3 du brevet Moderna est un gène de type ADN. Pour s'insérer dans le gènome de SARS-CoV-2 qui est un virus ARN et non pas ADN, il faut suivre une suite de codages pour reproduire les opérations chimiques de conversions, transcription et complémentation. On va utiliser un calculateur programmé pour effectuer les conversions à partir de la séquence en cADN jusqu'au code ADN du gène MSS3 qui se trouve en position 2703 et suivantes : --- Utiliser le calculateur https://bugaco.com/calculators/dna_reverse_complement.php --- input sequence from part of gene S = CTCCTCGGCGGGCACGTAG Complementary sequence = GAGGAGCCGCCCGTGCATC Reverse sequence = GATGCACGGGCGGCTCCTC Reverse complementary sequence = CTACGTGCCCGCCGAGGAG --- Copie de la ligne du code cADN du gène MSH3 du brevet Moderna 2701 gccctgatca ccatcatggc ccagatcggc agctacgtgc ccgccgagga ggccaccatc ........................................xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx........ <- insertion -> On retrouve donc bien la séquence appartenant au gène MSH3 au site de clivage de la Furine du gène S de SARS-CoV-2. Poussant leur recherche plus loin, Ambati et ses co-auteurs ont découvert que ce sont les 19 nucléotides de la fin de la première partie S1 de la protéine de pointe de SARS CoV 2 qui se retrouvent dans le brevet Moderna de 2016. Un calcul statistique permet à Ambati et son équipe d'établir qu'il y a une probabilité infime pour que cette séquence d'acides aminés se retrouve par voie de mutations et de sélection naturelle : 3,21 x 10-11. Ambari pousse plus loin leur analyse :
Le brevet de Moderna indique clairement qu'il code une autre protéine MSH2 adjacente à MSH3, et tous deux sont responsables d'un certain nombre de cancers chez l'homme, cancer du colon notamment (certains d'entre eux). Or MSH3 interagit non seulement avec MSH2, mais avec d'autres gènes humains comme BCRA1 ou PCNA. Ces gènes sont tous à la base de mécanismes complexes de production de nombreux cancers. Ces cancers sont consécutifs à des défaillances du système de réparation de l'ADN lors de sa réplication dans le noyau des cellules humaines. On remarque qu'il existe une étude dont le titre est "SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro", de Jiang et Mei parue le 13/10/2021 [4]. Jiang et Mei notaient que la protéine de pointe pénétrait dans le noyau de la cellule infectée alors qu'on croyait qu'elle était incapable de cette transfection. Ils avaient ensuite mis en évidence que la protéine de pointe virale détruisait certains mécanismes de réparation de l'ADN humain, ce que confirme Ambati. Jiang et al avaient noté que, bien que leur étude portait sur la protéine de pointe virale, ils estimaient que le fait que les vaccins à ARNm produisent une protéi,ne de pointe pleine longueur, rend encore plus dangereuse la destruction du mécanisme de réparation de l'ADN humain. Quelques observations
Notes et commentaires[1] Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag, Pradhan et al, 31 Janvier 2020, bioRxiv. [2] MSH3 Homology and Potential Recombination Link to SARS-CoV-2 Furin Cleavage Site, Ambati et al, Frontier in Virology, 21 Février 2022. [3] Sources utilisées :
[4] Lire nos études dans la revue C-Politix : |