Une rapide revue des problèmes de la pandémie de SARS-CoV-2

Philippe Brindet - 12 Juillet 2021

Cette pandémie en cours est un immense problème : médical, biologique, sanitaire, politique, économique, ... On ne sait pas par quoi commencer. Tout est mensonge. Tout est faux du début à la fin, souvent même les corrections. Tentons de voyager dans une liste de problèmes :

  1. La préexistence d'une covidocratie

    C'est quelque chose de très déstabilisant : les personnages principaux de la gestion de la pandémie se connaissent tous d'avant l'épidémie. Dit comme celà, cela ne pose aucun problème. Il est normal que les épidémiologistes se connaissent avant l'épidémie ... Mais, il n'ya a aucune raiosn qu'un Bill Gates finance un Dazsac, ou qu'un Zuckerberg prépare avec le secours de laboatoires de biochimie un contrôle des résaux sociaux. Qu'un Fauci soit photographié entre Gates et Collins, etc. Zuckerberg ou Bezos ne sont pas virologues, et Gates n'a rien à voir avec la microbiologie. Eh bien si. C'est là tout le problème : la caste des patrons qui contrôlent la politique sanitaire depuis le début de la pandémie, et qui, manifestement, ne sont pas près d'en être déchargés, se réunissaient depuis plusieurs années. Pourquoi ? On sait aujourd'hui qu'ils trafiquaient de financements de laboratoires de recherche biochimiques dans le monde entier : aux USA et en Chine, en Grande-Bretagne et ailleurs. Mais de surcroit, ils dirigeaient des recherches en microbiologie qui concouraient à la création de pathogènes que nous avons retrouvés dans la pandémie. "C'est ennuyeux, çà, chef !..".


  2. L'origine de la pandémie selon la covidocratie

    Selon la covidocratie, qui a mobilisé et la presse lourde et les politiciens à son service, le SARS-CoV-2 est un nouveau pathogène provenant de la chauve-souris "fer-à-cheval", passé à l'homme par un animal intermédiaire, le pangolin. Toute assertion ne reproduisant pas cette définition était immédiatement pourchassée et son auteur éliminé du concert public. Pour se protéger un moment, la covidocratie a fini par accepter la contestation par des scientifiques indépendants. Le coronavirus SARS-CoV-2 responsable de la pandémie est un pathogène artificiel. Mais, pour détourner sa responsabilité, la covidocratie a dévié sa "confession" vers une simple "fuite de laboratoire". C'est considérablement plus grave que celà.

    La covidocratie s'est manifestée publiquement par un mensonge. Elle n'a plus utilisé autre chose depuis.


  3. La politique sanitaire imposée par la covidocratie

    Appliquant une stratégie manifestement mise au point depuis longtemps déjà, la covidocratie est parvenue au mois de mars 2020 à imposer cette stratégie alors qu'elle é"tait contraire aux plans sanitaires en vigueur dans la plupart des Etats organisés. Un indice de sa longue préparation à l'insu des Etats se trouve dans le fait qu'elle fut relayée par de nombreux professionnels de santé - on répugne à les qualifier de médecins, ce que beaucoup d'ailleurs ne sont pas - qui n'avaient aucune raison d'être en contact avec la covidocratie. Cette dernière a imposé un dogme : le SARS CoV-2 étant un pathogène nouveau, il crée une maladie nouvelle dénommée Covid-19 par l'OMS. La maladie étant déclarée nouvelle, la réglementation pharmaceutique interdit d'utiliser des médicaments qui ne sont pas spécialement développés pour elle, et qui ont reçu l'approbation de la covidocratie à la suite d'essais cliniques standardisés de protocoles imposés par la covidocratie.

    Selon les instructions de la covidocratie, les Etats furent "convaincus" - et ils le sont encore - que, seul un vaccin développé en urgence sera capable d'éradiquer le SARS-CoV-2. En attendant la disponibilité de ce vaccin et son inoculation à l'ensemble de l'humanité, il n'existe qu'une seule stratégie possible : utiliser des interventions non pharmaceutiques - les Non Pharmaceutical Interventions (NPIs) de l'anglais Ferguson. Ces interventions, contrôlées par la police, soumise aux ordres des politiciens, eux-mêmes contrôlés par la covidocratie, sont réputés par la covidocratie par mensonge atténuer l'épidémie pour éviter la saturation des hôpitaux remplis de mourants de la Covid-19 et d'attendre ainsi l'efficacité vaccinale.

    Les NPIs sont bien connues maintenant. Elles comprennent le port généralisé du masque, l'interdiction des réunions et des déplacements, la fermeture des lieux de travail, de commerce, de culture, de culte, ..., le couvre-feu, et enfin, le confinement. On y a tardivement ajouté le test systématique d'infection de la population générale, les statistiques des entrées à l'hopital, en réanimation ainsi que les décès attribués à la Covid-19, comme moyens de contrôle de la panique épidémique en population générale pour la soumettre à de mortelles mesures de "distanciation sociale".


  4. La solution médicale combattue par la covidocratie

    Dès le début de la pandémie, les médecins - les vrais - ont vite compris que la Covid-19 n'était pas une maladie véritablement nouvelle, mais qu'elle consistait en la superposition de plusieurs maladies bien connue. Et particulièrement, que ce n'était pas, ou rarement , une pneumonie réclamant une respiration forcée. Les premiers grands malades de la Covid ont été sacrifiés sur des respirateurs artificiels qui ne servaient à rien, parce qu'ils n'avaient pas besoin d'assistance respiratoire, mais une maladie du sang s'exprimant principalement par des thromboses pulmonaires.


  5. La honte du confinement

    Le confinement de la population générale a été et reste une stratégie sanitaire honteuse. Tout d'abord, sauf celui décidé lors de la première épidémie, il était décidé alors même que la diffusion du pathogène était déjà décroissante. Le fait est prouvé par les statistiques d'infection en France et au Royaume-Uni. Il n'a aucun effet positif sur cette diffusion. Au contraire, obligeant les infectés à rester au contact étroit avec es individus sains, le confinement strict augmente la diffusion de l'épidémie. Enfin, le confinement partage avec d'autres mesures de distanciation sociale, la responsabilité de la baisse des défenses immunitaires des populations lesplus fragiles, éteint la vie sociale, culturelle, familiale et économique.

    Mais utilisé avec l'instauration de la terreur épidémique essentiellement par action de la covidocratie sur la presse lourde, le confinement et plusieurs autres mesures de distanciation sociale ont déclenché la honte de la collaboration d'une partie notable de la population qui s'est mise au service d'une dictature policière établie avec empressement par les politiciens au bénéfice essentiel de la covidocratie. Jamais les "scientifiques" de la médecine sanitaire n'ont été aussi puissants. Jamais les grosses fortunes qui animent la covidocratie n'ont été aussi riches. A l'inverse, l'humanité n'a jamais été autant opprimée et les pauvres n'ont jamais été aussi pauvres.


  6. La mascarade des masques

    L'imposition fluctuante du port du masque facial partout dans le monde a été une honte au moins égale à celle de l'imposition du confinement. Les politiciens alliés aux "sanitaristes" salariés de la covidocratie ont tour à tour obligés au port du masque, en intérieur, en extérieur, partout, pour les personnes fragiles pour tout le mond, ... Bref n'importe quoi, n'importe comment. Or, peu à peu a émergé le fait que le pathogène s'il se mêlait aux particules de mucus qui se trouvent en supension dans l'air expiré et qui sont modérément arrêtés par le masque chirugical de grade élevé, se diffuse en aérosols secs de dimensions extrêement réduites qui traversent sans aucune résistance la barrière mécanique du masque. La mascarade des masques a révélé au public à l'occasion de cette honteuse pandémie l'ignorance autoritaire des prétendus scientifiques salariés par la covidocratie et la servilité des politiciens.

    Et le port du masque, surtout s'il est systématique, accroît le taux de gaz carbonique dans l'air inspiré, ce qui a, à terme, un effet nocif sur le sang et le cerveau. Et le port du masque a des effets délétères au point de vue social parce qu'il dissimule le bas du visage de sorte qu'un certain nombre d'émotions essentiels à la communication entre les gens ne sont plus perceptibles. Cette amoindrissement est catastrophique pour l'épanouissement des enfants et des jeunes adultes et pour la santé mentale des personnes âgées. Pour l'ensemble de la population, l'imposition du port du masque a un effet politique inadmissible dans un régime libre : il est signe et propagande de soumission aveugle à une autorité illégitime.


  7. Le problème du Remdesivir

    Le Remdesivir est un médicament développé dans les années 2015 pour contrer des menaces épidémiques sévères. Il avait alors démontré sa toxicité, rénale notamment, et son innefficacité. Son fabricant la firme US Gilead, l'a alors utilisé contre la Covid. Elle voulait en faire, contre le slogan de la covidocratie - qui est "pas de médicament ancien contre une maladie nouvelle" - le médicament de référence contre la Covid. Malgré les alertes de nombreux médecins comme le Pr Raoult, qui voyaient bien que le "changement de maladie" pour le Remdesivir ne changeait pas sa toxicité pour les malades, Gilead, qui a corrompu de nombreux médecins dont beaucoup de chefs de services hospitaliers en France et partout dans le monde est parvenu à vendre des millions de doses de ce médicament hors de prix. En dernier auprès de la scandaleuse Commision européenne contre laquelle une enquête criminelle devrait être diligentée, la veille de la publication d'une Recommandation (c'est en fait une Instruction autoritaire) de l'OMS qui souligne et l'innefficacité du Remdesivir et sa toxicité.

    En réalité, cette "mise à mort" du Remdesivir par l'OMS est le résultat d'une action de la covidocratie qui voyait la sortie en autorisation temporaire de ses vaccins. Or, l'existence du Remdesivir, s'il assurait un revenu fabuleux à Gilead, ruinait la licéité de l'autorisation temporaire des vaccins qui est suspendue dès lors qu'un "traitement médicamenteux est autorisé" ! Il a permis de démasquer la corruption générale de la médecine par les firmes pharmaceutiques, notamment en France. Mais, il illustre aussi le pouvoir de la covodicratie qui a préféré sacrifier les profits de l'un des siens, Gilead, au dogme de la pandémie.

    Certains médecins, en France le Pr Raoult ou le Dr Maudrux, ne comprennent toujours pas comment le Remdesivir toxique et inneficace pouvait être vendu partout, alors que c'était interdit pour l'Hydroxychloroquine ou pour l'Ivermectine. Il est facile de leur répondre : l'autorisation de ces médicaments aurait ruiné l'autorisation temporaire d'utilisation des "vaccins" Covid de Pfizer, Moderna, AstraZeneca, ...


  8. Le problème des tests PCR

    Encore un scandale à inscire au procès de la covidocratie, mêlant grosses fortunes philanthopes, "scientifiques" corrompus par l'argent, politiciens corrompus par on ne sait quoi, firmes corruptrices, notamment pharmaceutiques, médias. Le test PCR est un test qui permet de détecter et de compter le nombre de particules virales d'une espèce donnée dont on connaît au moins une partie du génôme dans un échantillon prélevé sur un individu dont on cherche à savoir s'il est infecté. Le problème de ce test c'est qu'il génère autant de copies d'une particule virale que l'on veut. De sorte que si l'on n'a pas un indice que l'échantillon est réellement infecté, un échantillon libre de la particule virale peut être testé positif.

    La première cause de ces faux positifs réside dans l'étendue du clonage de la particule virale de test. Si vous la clonez suffisament, l'échantillon sans aucune particule virale infectieuse sera testé positif. La deuxième cause vient de la contamination accidentelle de l'échantillon à tester, des produits de test et de la machine de test par la particule virale infectieuse. Or, en l'absence d'épidémie, en utilisant des procédures fortes avec du personnel hautement qualifié, le test PCR a des avantages indéniables. Pendant une pandémie où l'urgence et la masse dominent, avec du personnel moins qualifié et en répétant des milliards de fois le test, le risque de contamination n'est plus accidentel. Il est systémique.

    Un virologue allemand, expert à l'OMS et propriétaire d'une firme pharmaceutique produisant des réactifs de test PCR, Drosten, a au mois de Janvier 2020, alors qu'il ne disposait d'aucun échantillon SARS-CoV-2, écrit un protocole de test PCR sur le SARS-CoV-2 qu'il a fait homologuer par l'OMS et, par suite, par tous les Etats du monde. Or, son protocole utilise des réactifs qui détectent des particules virales mortes ou incomplètes, et son test en génère autant qu'on le désire. De ce fait, des scientifiques critiques - lire Borger ou Yeadon notamment - ont affirmé que l'immense majorité des tests PCR étaient des faux positifs.

    Or, ce fut sur ce test PCR "à la Drosten" que tous les Etats décidèrent du nombre d'infectés, du nombre de malades hospitalisés ou en réanimation, du nombre de décès Covid. C'est Drosten qui a "inventé" le moyen pris par la Covidocratie pour "raconter" à la presse une pandémie "catastrophique" alors qu'elle est très peu infectieuse et encore moins mortelle. Même en "inventant des cas de Covid qui n'existent pas, la mortalité 2020 est inférieure dans la plupart des Etats à celle avant 2015 ou 2016 ! Et cette mortalité est essentiellement concentrée sur les personnes âgées de plus de 80 ans. Quelques comorbidités sont en plus critiques.

    C'est encore une honte à l'actif de la covidocratie. Mais le test Drosten est aussi une escroquerie dont on espère qu'un tribunal allemand se saisira pour punir Drosten et son équipe, mais aussi le reste de la covidocratie. Plusieurs Tribunaux ont déjà établi la tromperie du test Drosten, notamment la Cour d'appel de Lisbonne. Que la Justice n'en reste pas là. D'autant que d'autres tests sont aussi pernicieux.


  9. le problème des vaccins imposés par la covidocratie

    La vaccination Covid est un problème d'une telle ampleur qu'il faudrait un volume entier pour parcourir rapidement son étendue. Simplifions. Actuellement, les 4 vaccins Covid inoculés en occident américanisé consistent à injecter un composant du SARS- CoV-2. Le résultat le plus fréquent de la vaccination est que le vacciné devient porteur et souvent générateur d'un pathogène qui n'est pas du tout "atténué" ou "mort" comme dans les cas des vaccins anciens. En effet, notamment les vaccins Covid à ARNm insèrent dans les cellules humaines un code génétique qui enseigne au corps à produire l'une des protéines du SARS-CoV-2 qui est responsable des maladies du sang caractéristiques des cas graves de Covid. Robert Malone, l'inventeur du principe des vaccins à mARN et d'autres du même genre, avertit du danger des actuels vaccins Covid. Son message est censuré par la presse lourde, ce bizarre conglomérat de journalistes salariés et de plateformes Internet américaines appartenant à la covidocratie.

    Des "fact-checkers, d'une ignorance inégalable, utilisent des "consultants" presque aussi ignorants qu'eux pour renseigner le public sur ce que la covidocratie lui laisse le droit de "croire" et désigner à la haine populaire les scientifiques opposés à la "covidéologie". En réalité, utilisant la très bonne réputation d'efficacité des vaccins - contre la rougeole, contre la poliomélite, ... - la covidocratie et ses media menteurs transfèrent cette réputation sur les "vaccins" Covid; de sorte que toute observation qulifiant négativement une caractéristique scientifiquement définie d'un vaccin Covid est "pourchassée" par la covidocratie comme de l'ignorance et de la barbarie. Or, le mensonge est le fait de la covidocratie. Les "vaccins" Covid ne sont pas des vaccins, mais des outils biochimiques de transformations génétiques, qui ont été testés de manière très insuffisante - ils ne peuvent recevoir une AMM - et les données exposées aux agences sanitaires d'autorisation ont été certainement trafiquées.

    Les scientifiques raisonnables et les médecins attorent l'attention du public sur les dangers de ces vaccins et beaucoup ne la recommandent pas. Ils sont peu écoutés à cause du mensonge systématique de la covidocratie, mensonge exposé quotidiennement depuis un an dans la presse lourde.Il faut savoir que Bill Gates est propriétaire des firmes Pfizer et Moderna. Et de beaucoup d'autres.


  10. Le problème de l'instauration sanitaire d'une dictature totalitaire

    C'est probablement le problème le plus dramatique de la pandémie. Nous parvenons probablement aux derniers instants où il est encore possible de le "murmurer" entre nous. Bientôt, il ne sera plus temps.

    Sous le prétexte d'une pandémie, pour un pathogène dont on sait qu'il est d'origine artificiel et dont on soupçonne qu'il a été diffusé sciemment par la covidocratie, les Etats ont été précipités dans la crainte. Contraints par le terrible "principe de précaution", sous l'instigation de la covidocratie, les Etats ont pris des mesures tyranniques à l'abri du motif sanitaire. Mais, les politiciens au pouvoir dans ces Etats ont très vite compris que l'instigation de la terreur cette fois dans la population, l'a rendait complètement docile à la dictature, ce coup-ci, même sans prétexte sanitaire.

    Les politiciens ont alors convergé avec la covidocratie et ont accepté de "porter" la dictature pour elle.

    Comme lors de l'instauration de la plupart des dictatures du passé, la dictature actuelle en train se s'installer avec les acclamations de la populace. Ainsi en France, la majeure partie des plaintes contre le gouvernement pour sa gestion de la première épidémie de Mars 2020 portent sur le grief qu'il n'a pas agi assez tôt et pas asez violemment. Quelques rares décisions dans divers Etats (Portugal, Espagne, Royaume-Uni, Italie, Allemagne, Bosnie, ...) ont condamnés la suppression des droits civiques et plusieurs mensonges de la covidocratie adoptés par les gouvernements concernant notamment les tests PCR ou l'obligation du masque ou du confinement.

    La majeure partie de la population occidentale se soumet à l'obligation vaccinale imposée par la covidocratie et accepte de ne pas être soignée lorsqu'elle est atteinte du Covid. Sa soumission aux mensonges et aux ordres arbitraires et sans aucune justification scientifique ou médicale est totale. C'est là le problème le plus grave de toute la pandémie. Ce problème se fonde comme toutes les dictatures sur le mensonge. Nous pourrions ne pas nous en relever.






Revue C-Politix
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