Vaccination Covid : effets adverses et éventualité d'une recombinaison viraleIl existe actuellement trois types de vaccins anti-Covid : un seul vrai vaccin :Plusieurs auteurs ont fait remarquer qu'il était étrange que les semences agricoles produites par génie génétique - les fameux OGM - provoquent une acceptation très faible et souvent plutôt un franc rejet de la part des populations. Or, une communication "habile" a permis d'insinuer dans le public une forte acceptation de produits génétiquement modifiés à injecter dans le corps humain. Parce que les vaccins diffusés dans l'Occident sont tous des OGM. Il a suffit de dire partout que ces produits étaient des "vaccins" et dans le même temps de qualifier d'"antivax" - une insulte qui vaut dénonciation d'un délit pénal dans l'esprit de beaucoup de gens - toute critique à l'égard de ces produits pourtant encore à l'état expérimental. Tout le monde a compris qu'il fallait accepter ces produits pourtant OGM, mais "dissimulés" sous le nom de "vaccins" pour accepter ce terrible et irresponsable tour de passe-passe. Les produits OGM anti-Covid sont seulement des produits expérimentauxIl faut absolument noter qu'aucun essai de phase III n'a encore été exécuté sur aucun des quatre "vaccins" OGM qui nous sont imposés. Alors même que les essais de phase I ou II en ont été bâclés. Et Tout ceci au nom de l'urgence sanitaire décrétée dans la panique sanitaire. Une panique générée par les firmes pharmaceutiques et les ONGs de leurs propriétaires directs ou indirects. Trop d'universités et de centres de recherche ainsi que la presse lourde, pour la plupart achetés par ces firmes pharmaceutiques et autres ONGs précitées - parmi lesquelles la Fondation Gates et EcoHealth Alliance financée par l'Administration américaine - ont diffusée cette panique, aidées par l'OMS, elle même entre les mains de ces mêmes puissances industrielles et financières. En particulier , leur caractère expérimental est aggravé par le fait que aucun vaccin à ARNm ou aucun produit à base d'adénovirus n'a encore jamais été utilisé sur l'homme en dehors de quelques essais cliniques dont la plupart ont été interrompus en catastrophe. Mais, les centres de recherche depuis une quinzaine d'années et plus ont déjà produits des maquettes de produits OGM destinés à induire des réponses immunitaires chez l'homme. Ces produits OGM en sont restés à des modèles animaux ou à des essais in vitro. Et lors de ces essais, les scientifiques qui ont pris la décision de ne pas pousser plus loin leurs essais, ont à chaque fois identifiés des risques énormes sur la santé publique. Il est donc absolument inadmissible d'avoir imposé à la population mondiale des produits OGM anti-Covid [1] alors même que l'urgence sanitaire a largement été surévaluée par ceux-là même qui y cherchaient un avantage mercantile : les firmes pharmaceutiques et les puissances financières supranationales installées par l'incurie des Etats démocratiques. Cette panique est maintenant clairement surjouée puisque chacun peut constater que un an après les débuts inexpliqués de la pandémie, on sait que la Covid-19 est une maladie débile qui n'est mortelle que pour les personnes âgées avec des comorbidités et pour les obèses, notamment diabétiques. Actuellement, les taux d'infection dans les populations sont très faibles et le taux de mortalité comme rapport des infectés aux décès, alors même les deux nombres sont le plus souvent susestimés pour des raisons commerciales d'un rapport 10 à 50 sont extrêmement faibles. Un deuxième élément démontre combien la panique a été vraiment surjouée : l'interdiction de médicaments parfaitement efficaces : principalement l'Hydroxychloroquine et l'Ivermectine - complétés avec d'autres médicaments, ainsi que les anticoagulants et l'oxygène, suffisent à traiter la plupart des cas depuis les cas de Covid modérés jusqu'aux cas de Covid sévères. La pluaprt des ces traitements sont à la fois largement disponibles et très peu coûteux. Mais, leur autorisation par les atorités sanitaires internationales et nationales interdirait celle des produits OGM que les firmes pharmaceutiques veulent à tout prix imposer au monde entier. Ici, il faut noter que les gouvernements démocratiques de l'Occident ont littéralement abdiqué devant le coup d'état occidental des firmes pharmaceutiques. Or, ces gouvernements qui se targuent d'être démocratiques, le plus souvent, en ont profité pour établir en quelques jours une dictature en utilisant la panique sanitaire provoquée par les firmes pharmaceutiques et leurs propriétaires. Cette dictature dure encore et rien n'indique qu'elle prendra fin prochainement. Le problème de l'invasion du génome humain par les produits OGM anti-CovidIl existe deux problèmes :
Le premier problème des vaccins ARN messager a été nié par la presse lourde qui se charge de "traquer les fake news". La même position est soutenue dans un article sur le site Internet de la SPILF, une société "savante" d'infectiologues de langue française. Dans une vidéo de janvier 2021 [1], intitulée satiriquement, "Riri, Fifi et Loulou font de la science", le Pr Didier Raoult a fait justice de cette position de "debunkage" en rappelant que la transcription inverse de l'ARN en ADN est un mécanisme connu depuis 1989 et utilisée tous les jours dans les travaux de microbiologie. Pour l'insertion de l'ADN converti - cADN - elle peut être exécutée par une enzyme produite par des rétrovirus naturels qui infectent en permanence tout être humain. La probabilité qu'un tel rétrovirus infecte la même cellule qu'un ADN converti de l'ARN d'un produit anti-Covid est faible, mais loin d'être négligeable, d'autant que la vaccination vise à atteindre plusieurs milliards d'êtres humains. Le problème de la recombinaison virale des produits OGM anti-Covid avec des virus "naturels"C'est certainement un événement rare. Mais, la vaccination Covid est tellement répandue - elle tend vers plusieurs milliards de vaccinations - que les probabilités faibles devienent de plus en plus fortes. Il faut imaginer qu'une particule vaccinale avec son matériau ADN ou ARN se trouve dans le cytoplasme d'une cellule déjà infectée par un virus à ADN ou à ARN et dont les matériels génétiques se recombinent l'un l'autre pour former un nouvel organisme, capable de se dupliquer [3]. Ce nouvel organisme sort de la cellule infectée et infecte à son tour une autre cellule humaine, où elle se reproduit. Une infection locale démarre alors sur le nouvel organisme. Si le nouvel organisme recombiné hérite par exemple du mécanisme infectant du virus recombinant, il peut alors sortir de son hôte humain initial et infecter un autre humain et ainsi de proche en proche. On génère ainsi une nouvelle épidémie avec un nouvel agent infectieux. Si le vaccin à ADN ou à ARN est diffusé largement, par exemple à plusieurs milliards d'humains, la probabilité très faible de mettons 10-7 - soit 1 événement sur 1 million - pourra se produit sur quellques milliers de cellules humaines. Toutes ne sont pas infectés par un virus recombinant, mais, selon le nombre de particules vaccinales disponibles dans l'injection, la probabilité qu'une cellule inoculée par le vaccin recombinant peut devenir forte et le risque cde créer un nouveau virus infectant est absolument pas invraisemblable. Le risque est donc d'engendrer avec la vaccination contre SARS-Cov-2 un virus doté d'une partie du gène de la glycoprotéine de spike du SARS-CoV-2, rendant le virus recombinant peut être plus infectieux pour l'homme. C'est un risque qui serait peut être dramatique pour l'humanité. Il faut ici noter que si le produit à ADN ou à ARN recombinant est un médicament de thérapie génique, par exemple pour une maladie rare, la probabilité de la recombinaison accidentelle est certainement faible et peut être qu'elle serait négligeable. Mais dans le cas d'une "vaccination" comme la vaccination anti-Covid, on voit que la probabilité est loin d'être négligeable. Qui a négligé ce risque ? Pourquoi ? Notes[1] La précipitation des autorisations temporaires des produits OGM contre le SARS-CoV-2 a été rendue possible par un Réglement 2020-1043 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 15 juillet 2020. Ce texte absolument irresponsable, voté malgré l'opposition des députés européens concernés, est attaqué en nullité devant la Cour de Justice Européenne, par un consortium de 6 associations internationales. Voir l'information de l'avocat responsable de la plainte, M° Tumerelle. "VACCINS OGM – pour le maintien des analyses de risques et des protocoles de sécurité sanitaire", 21 Octobre 2020, sur le site du Cabinet. [2] Riri, Fifi et Loulou font de la science Pr Didier Raoult, site de l'IHU de Marseille, 19 janvier 2021. [3] Lire C. Vélot, "NOTE D’EXPERTISE GRAND PUBLIC SUR LES VACCINS AYANT RECOURS AUX TECHNOLOGIES OGM", CRIIGEN, Septembre 2020, notamment paragraphe 3.1 page 8/15.
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