Vaccins expérimentaux et absence de médicaments

Philippe Brindet - 10 Mars 2021

Au sujet des effets adverses que les vaccins anti-Covid produisent

Ainsi qu'on le sait, les vaccins Moderna, Pfizer, Astra-Zeneca sont des vaccins dont les essais cliniques ne sont pas terminés. C'est la raison principale pour laquelle les Agences étatiques chargées de délivrer des autorisations d'usage des vaccins n'ont délivré que des autorisations temporaires.

De cette observation, il découle que les 4 millions de français déjà vaccinés et les millions qui sont en train de subir la vaccination utilisent des produits de santé dont la plupart des effets secondaires, surtout ceux à long terme,, ne sont pas connus.Il découle aussi que ces personnes sont placées dans la situation de patients enrôlés dans un essai clinique. Or, le fait qu'ils utilisent un vaccin sous ATU signifie qu'ils sont pleinement conscients des risques incommus auxquels ils sont soumis.

Il est donc probable qu'ils ne disposent d'aucun recours juridique de droit commun contre le fabricant du vaccin ou contre l'autorité qui leur appliqué la vaccination, le plus souvent l'Etat. Et il ne s'agit pas d'avoir ou non accédé à la vaccination avec ou sans un concentement éclairé. On sait qu'au tout début de la vaccination, pour les maisons de retraite, le recueil du consentement éclairé a retardé considérablement la montée en opuissance de la vaccination. Il semble que ce recueil n'est plus pratiqué et, selon mon analyse, il ne s'agit pas d'un manquement. Le recueil du consentement éclairé pour la vaccination Covid serait une opération sans effet pûisque les circonstances de l'ATU (Autorisation Temporaire d'Utilisation) rend évident le fait que le vacciné ne pouvait pas ignorer qu'il s'exposait à des risques inconnus.

L'existence et l'étendue des effets adverses des vaccins anti-Covid

La vraie question est alors de savoir s'il existe des effets adverses aux vaccins Covid.

La réponse à cette question dépend du recueil des informations médicales concernant les effets indésirables.

En France, ce recueil n'existe pas. Il existe une coordination autour d'une Agence d'Etat, l'ANSM, qui tient un Registre de ces effets secondaires. Par les publications rares de ce Registre, on sait qu'il fonctionne. Mal. Ainsi la plateforme Internet de collation des effets adverses a été longtemps en panne. Et le mécanisme est simplement informatif.

Aux USA, les CDC disposent d'une initiative qui existe depuis des années pour mesurer les effets adverses des vaccins, VAERS. Actuellement on avoisine les 2.000 décès consécutifs - consécutifs et pas causés par - à la vaccination Pfizer ou Moderna pour plus de 40 millions de vaccinés. On sait que cette mortalité est 100 fois plus importante que celle des vaccins anti-grippaux. Mais elle reste encore marginale. On peut donc mettre en exerghue tels ou tels décès. On n'a pas encore identifié de catastrophe sanitaire.

La même observation est faite sur l'initiative Yellow Card pour la MHRA au Royaume-Uni.

De fait, il existe des effets adverses importants en quantités relativement élevées. Mais, là aussi, sans révéler une catastrophe sanitaire majeure.

Sauf que, le recueil des effets adverses en Occident n'est pas exhaustif. Il n'existe en réalité aucun suivi des vaccinés en population générale. Or, dans des milieux fermés comme ceux des personnels de santé, on sait que jusqu'à 30% des effectifs ont été placés en arrêt de travail suite à la vaccination Astra Zeneca en France. Ce même vaccin a été arrêté en Autriche pour le décès d'une infirmière et les effets adverses de plus de 30% du personnel médical vacciné.

Sauf que la vaccination anti-Covid ne faisant que débuter, les effets adverses à long terme - les plus à craindre pour les vaccins expérimentaux à mARN - ne se sont donc pas encore révélés.

Et de toute façon, ni les laboratoires producteurs des vaccins Covid, ni les Etats qui sont leurs seuls clients, n'ont intérêt à ce que les effets adverses soient connus pour éviter bien entendu les recours judiciaires puisque aucun mécanisme de garantie vaccinale ne fonctionne. La démonstration que l'effet adverse provient de la vaccination est aujourd'hui complètement inconnue. Les indemnisations ne sont donc pas pour demain. Et ni les Etats, ni les firmes pharmaceutiques n'ont intérêt à comptabiliser les effets adverses. La situation leur est donc particulièrement confortable.

Sur les effets adverses immédiats, on peut penser que la preuve sera pratiquement indémontrable. Par contre, pour les vaccins mRNA et d'autres nouveaux eux aussi, leurs nouveautés pourraient être la cause d'effets adverses spécifiques. Si ces effets adverses apparaissent, ils seront donc probablement plus facilement attribuables aux produits nouveaux en utilisation pour la "prétendue" vaccination anti-Covid.

Pourquoi il n'y a pas de traitements médicamentaux autorisés de la Covid ?

La réponse officielle est simple : il n'y a pas de traitement médicamenteux de la Covid parce qu'aucun n'a été autorisé par les autorités de santé publique. Il faut bien comprendre que le fait que tel médicament n'ait pas "scientifiquement" démontré son efficacité - pensons à l'Ivermectine ou à l'Hydroxychloroquine, mais à d'autres encore - ne suffit pas à comprendre pourquoi une autorisation d'un tel traitement ne peut pas être donnée. La vraie réponse tient aux conditions d'attribtion d'une autorisation temporaire d'utilisation des vaccins anti-Covid.

Cette ATU n'est délivrée que tant qu'un médicament n'a pas été autorisé pour le traitement de la Covid. Or, devant l'engagement financier des Etats poour la production de vaccins contre la Covid, il est économiquement ruineux pour ces Etats d'autoriser un quelconque médicament pour traiter la Covid et qui annulerait l'ATU des vaccins si chèrement acquis par ces Etats.

En réalité, tout le monde savait dès le début ce qui allait arriver. Par décision de la Science officielle - celle qui est admise par l'Etat et les Organisations Internationales comme la Fondation Gates ou sa filiale, l'OMS - le SARS-CoV-2 est un nouveau pathogène relâchée par des animaux sauvages dérangés par l'activité humaine, qui produit une maladie nouvelle, puisque le pathogène est nouveau. Or, à maladie nouvelle, il ne peut correspondre aucun médicament et donc aucun traitement pharmaceutique. Seules fonctionnent des mesures d'atténuation de type social, en attendant la vaccination mondiale. Dans tous les cas, la médecine pratiquée par la Police.

Dès décembre 2019, toutes les publications de la Science officielle ou de la presse lourde imposaient ce dogme toujours en vigueur. Toujours plus, depuis que des "vaccins" ont été développés et ... de nouveaux coronavirus, les "fameux" variants, qui permettent d'envisager une dictature sanitaire permanente.

La Science officielle est un art tout d'exécution ...

Le résultat c'est que il est impossible d'autoriser le moindre médicament, surtout ancien, pour traiter la Covid, et encore moins de l'autoriser ... Comme si la Science officielle et les agences de santé avaient jamais soigné le moindre malade ...

Faut-il se faire vacciner contre la Covid ?

La première réponse est simple : çà vous regarde. Peut être. Selon le degré de responsabilité auquel vous vous estimez.

La deuxième réponse est aussi simple : bien entendu. Si vous êtes un individu soumis aux décisions des autorités médiatiques, sanitaires et politiques.



Revue C-Politix
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