Vie ou mort du SARS-CoV-2. Quelques observations d'une science dogmatiqueUne vidéo sur youtube éditée par un jeune microbiologiste (ou quelque chose du même genre) est assez intéressante pour qu'on s'y attarde. En fait, je préfère ne pas indiquer son lien et mon lecteur va comprendre pourquoi. Le grand problème de la science moderne, c'est que son premier et son plus grand débouché est qu'elle s'enseigne. Je veux dire que même si la "science" trouve à s'appliquer dans des médicaments rapportant des milliards de dollars à ses investisseurs, au bout du compte, ce ne sont pas les "petites mains" de la "Science" qui en profitent vraiment. A elles, ces "petites mains", revient l'enseignement ... C'est très bien, puisque des ignorants comme moi peuvent en bénéficier, mais cela à un effet pervers. Le problème de ces petites mains, c'est que pour elles, la "Science" est ce qui s'explique. Et ce qui ne l'est pas, le sera : la "Science" est explicable. Cette explicabilité de la "science" pose un énorme problème. Et son explicitation dans l'enseignement est largement aussi problématique. Je ne plaide pas pour une science "'inexplicable" ou "inexpliquée". Je dis qu'à un certain degré, l'explication par le "scientifique" - celui qui dit la "Science" - exige la crédulité de son auditeur. Je sais bien que l'auditeur n'a quà refaire les expériences qui ont permis d'arriver au résultat. Or, le "truc" de la science moderne, c'est que l'expérience coûte une fortune et il est hors de question pour l'auditeur de "refaire les calculs", que d'ailleurs le "scientifique" n'explique jamais et n'a lui-même jamais reproduit. Ô manes de Popper ... Alors, il y a deux solutions :
Cela revient au même, et il n'y a exactement plus aucune science dans l'un ou l'autre cas. Dans la crise sanitaire du coronavirus, on nous a littéralement sommés de "croire à la Science" sans même nous dire de laquelle il s'agissait. Nous nous sommes - du moins en occident américanisé - soumis à la "Science" et, en récompense, "on" nous a soumis à la tyrannie des mesures barrière. Or, nous avons tous constaté que, mesures barrière ou pas, que nous soyons à Manaus ou au Royaume-Uni, en France ou en Suède, les épidémies successives de coronavirus affectent une forme en cloche, quelqu'intervention non pharmaceutique on nous applique ou pas. Le plus souvent, quoique nos "bons docteurs" fassent, l'épidémie en un endroit donné montait rapidement et, presque sans solution de continuité, redescendait, généralement moins rapidement qu'elle n'était montée. C'est toujours vrai pour le nombre d'infectés, même comptés avec des méthodes fausses, le nombre d'hospitalisés, bien que leurs chffres soient très souvent truqués par des contorsions "comptables et sanitaires", le nombre de réanimations ou le nombre de décès, ces deux derniers étant faux pour les deux raisons précitées. La stratégie de la vidéo à laquelle je fais référence a commencé par expliquer la vie et la mort d'un pathogène. Très clair. Puis, elle explique assez bien, mais en termes si généraux que celà n'a aucune application au coronavirus, la résistance de l'organisme humain. Passant allégrement du comportement biologique individuel à un comportement biologique social, la vidéo conclut que nous en avons pour 500 ans - l'auteur de la vidéo voulait dire pour plusieurs générations humaines - à vivre avec le coronavirus de plus en plus pathogène. Le drame ? Non pas ! Parce que "ils" ont la solution : "le "Vaccin" vous dis-je". Et là, c'est vraiment du domaine du religieux. L'auteur de la vidéo n'a aucunement besoin de se référer aux caractéristiques biochimiques du "Vaccin". Le "Vaccin" a toutes les vertus. Il empêche par principe de l'infection, il protège l'organisme, défend la société contre le coronavirus. Tout cela est parfaitement faux, en gros et en détail, en général et en particulier. Mais l'auteur de la vidéo s'en moque. Il a appliqué le dogme de la "Science". Nous sommes vraiment en danger. Pas du coronavirus. Mais en danger du dogmatisme aveugle et ignorant de la "Science de la communauté scientifique unanime". Ce dogmatisme tue le plus dans la crise sanitaire. Et pendant ce temps, paniquée par le dogme scientiste relayé par la presse lourde, "mamie" se rue dans les vaccinodromes pour avoir le droit religieux "d'embrasser ses petits-enfants". Alors qu'elle est infectée et en danger. Liste des publications parcourues dans la vidéo :
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