La folie étatique à l'assaut de la santé des gens - Le prétexte des perturbateurs endocriniensDepuis deux ans, nous assistons, impuissants et rageurs, aux assauts irrépressibles de l'Etat contre la santé des gens au prétexte de "protéger la santé public", c'est-à-dire de protéger les hôpitaux contre l'afflux de patients. Interdiction d'utilisation de médicaments éprouvés, imposition de vaccins inefficaces et dangereux, de mesures à prétention "sanitaire" qui sont des mesures de manipulation des comportements privés, des mesures de nature à pousser irrémédiablement la société libre dans une société opprimée de contrôle et de sanctions sans fin. Une vidéo YouTube nous signale l'existence d'une question écrite d'une Sénatrice, le 13 janvier 2022, soit il y a une semaine. Cette Sénatrice s'émouvait de ce qu'un complément alimentaire essentiel, la Vitamine D, sous sa forme calciférol [1], pourrait devenir interdite par un projet d'arrêté du Ministère de la Santé. La supplémentation en Vitamine D est une nécessirté chez beaucoup d'enfants et d'adultes âgés. Pour ces derniers, la supplémentation en Vitamine D est une dernière chance pour ralentir la destruction osseuse connue sous le nom d'ostéoporose. Mais avant tout, la Vitamine D a un très puissant effet antiviral, anti-inflamatoire et elle a enfin un rôle pour doper le système immunitaire (en dehors des cas d'immuno-dépression, dans lesquels il faut consulter absolument). Son interdiction éventuelle serait un crime contre la santé des gens et les placerait davantage dans la dépendance de la santé d'Etat à laquelle tout citoyen depuis la catastrophique gestion sanitaire de l'épidémie de SARS-CoV-2 doit une méfiance complète. Or, très étrangement, Darmanin, le sinistre de l'Intérieur, la semaine passée a fait courir le bruit que le cannabidiol (CBD) (site commercial de kalapa-clinic) serait interdit à la vente [2]. Cet autre complément alimentaire qui n'a aucun rapport avec une drogue hallucinogène, est une aide puissante et efficace pour de nombreux malaises chroniques. Il a été tout simplement interdit par un arrêté du 31 décembre 2021. Et le CBD partage avec la Vitamine D et l'hydroxychloroquine, d'être des traitements efficaces contre les infections virales en général, contre celle à SARS-CoV-2 en particulier [3]. Or, de manière suggestive, l'Etat prendrait cet arrêté en application d'une Directive européenne pour lutter "contre les perturbateurs endocriniens". Or, la Vitamine D n'est pas un perturbateur endocrinien. Mais, l'hydroxychloroquine n'était pas mieux une substance "vénéneuse" telle que l'a pourtant déclaré l'Arrêté de Jérôme Salomon, inamovible Directeur de la Santé, du 13 janvier 2020 alors que l'épidémie était croissante en Chine où les médecins annonçaient qu'ils traitaient les malades de la Covid-19 avec succès et avec l'hydroxychloroquine ! Le prétexte de s "perturbateurs endocrinies" sert à tromper le public. Or, la récente pandémie a vue une action mondiale contre les médicaments "anciens" au bénéfice des vaccins à ARN messager ou à ADN. Ces vaccins ne sont absolument pas des vaccins, mais des outils de programmation génique du biotope humain. Avec ces nouveaux outils, les entreprises pharmaceutiques estiment pouvoir faire produire directement par les cellules humaines des agents thérapeutiques pour éradiquer toute maladie en se passant :
Il faut noter que les prétendus vaccins à ARN (Pfizer, Moderna) ou adénovirus porteurs d'ADN (Johnson&Johnson, AstraZeneca) ont fait la preuve de leur inefficacité d'une part et de leur dangerosité, d'autre part. Ces échecs complets de ces techniques aventureuses sont sévèrement dissimulés :
Il faut noter de plus que l'interdiction de médicaments efficaces contre la Covid-19 est aussi circonstancielle. En effet, les autorisations temporaires d'utilisation des prétendus vaccins Covid, dont on a montré qu'ils sont des outils de programmation génique, inefficaces et dangereux, ne sont possibles que s'il n'existe aucun médicament pour traiter l'infection. Interdire ces médicaments est donc une exigence pour laisser la place à Pfizer et ses "concurrents". L'Etat, par corruption, prend depuis des années et avec une vitesse croissante, des décisions interdisant de plus en plus de médicaments, réduisant le nombre et le droit des médecins à les prescrire pour favoriser et les bénéfices des investisseurs et le chiffre d'affaire de firmes "pharmaceutiques" qui organisent un chaos médical dont nous n'avons que commencé à voir les ravages. Dans une Annexe à télécharger depuis ce site, j'ai réuni les textes ou fragments de textes officiels qui ont servi à la rédaction de cet article. Notes et commentaires[1] Lire à ce sujet l'article Calciférol?: définition, explications et ses liens sur l'encyclopédie en ligne https://www.aquaportail.com/. [2] Lire :
[3] Les fonctionnaires qui exercent le monopole d'Etat de la violence prétendue légitime en santé publique ont, depuis le début de l'épidémie avertis que l'utilisation de médicaments tels que l'hydroxychloroquine et l'azithromycine (le traitement du protocole Raoult), avec ajout de Zinc (protocole Zelenko) ou encore celui à base d'Ivermectine, étaient à la fois dangereux et inefficaces. Leurs injonctions péremptoires sont fausses et irresponsables.. Mais elles leur sont imposées par la corruption des laboratoires pharmaceutiques : Pfizer qui favorise ses traitements et son vaccin très chers, ou Gilead avec le Remdesivir, déclaré inefficace et dangereux par l'OMS en Juillet 2021. |