La politique contre le SARS-CoV-2 est une failliteLe monde a commis une erreur majeure pour régler la "première" pandémie du XXI° siècle. Et cette erreur a été commise par la coalition des politiciens et des milliardaires [1], qui s'alignent sur les Etats-Unis. La coalition opère sous l'instigation de sanitaristes dont le pouvoir de nuisance a considérablement crûe depuis dix ans. D'une ignorance ahurissante, ces sanitaristes se caractérisent surtout par leur impertinence. Aujourd'hui, les analyses démontrent que toute la politique sanitaire est en faillite : le coronavirus, les traitements de la maladie, les distanciations sociales (masques et confinements), les vaccinations, les tests d'infection, tout est faux et balayé par la réalité. Les vaccinés peuplent les hôpitaux et les mesures non pharmaceutiques prises ont entraînées à la fois un enrichissement des milliardaires, un accroissement du pouvoir des politiciens et un appauvrissement des populations laborieuses. S'est jointe à la coalition, la presse lourde [2] d'ailleurs contrôlée par les milliardaires américains. S'est couverte de honte la majorité de la classe médicale et pharmaceutique en adhérant aux motions politiques imposées par la coalition pour "résoudre" la pandémie. Des motions politiques d'une bêtise et d'une toxicité inégalées dans l'Histoire moderne. L'erreur mortelle commise par la coalition comporte cinq composantes qui couvrent l'ensemble du champ de la politique sanitaire :
Le tout s'est placé dans un milieu d'une corruption inégalée dans l'histoire de l'humanité. Cette corruption a portée sur les domaines suivants :
On sait déjà que les politiciens crieront qu'ils ont été trompés par les "scientifiques" dont ils ont largement pourvus leurs "conseils scientifiques", tous corrompus par la coalition dans le but d'imposer les mesures destructrices de la société humaine et que l'on connaît bien maintenant. On sait aussi que les "scientifiques" se défendront en affirmant que la science évolue, mais que c'était le "consensus unanime de la communauté scientifique". On sait enfin que les milliardaires ne diront rien. D'ailleurs, quel tribunal accueillera la plainte des peuples maltraités par la coalition dirigeante ? En France, le Conseil Constitutionnel et le Conseil d'Etat ont déjà disqualifiée leur indépendance en adhérant aux folies idéologiques du gouvernement. Les tribunaux civils pourront-ils juger en toute indépendance ? Nous verrons. Les Cours internationales sont ou bien dans la main des politiciens américains ou bien dans celle de certains milliardaires comme Soros. Soros qui possède déjà une minorité de juges de la CEDH par exemple, mais ausi d'autres Cours, y compris aux USA. On sait qu'en Juillet dernier, Merkel a fait nommer un député de son parti à la tête de la Cour Suprême allemande et qu'il la contrôle. Cependant, plusieurs cours supérieures nationales - en Bosnie, en Espagne, en Allemagne, au Portugal et aussi en Angleterre - ont rendues des décisions favorables à la défense des peuples et des libertés [4]. Mais, la bataille essentielle ne se portera pas devant les tribunaux. Elle se livrera certainement dans les urnes. Malheureusement, les électeurs ont été indignement trompés et par les politiciens et par les médias, de sorte que les critiques et contestations de la politique sanitariste sont devenus inaudibles en dehors d'une minorité. En France, la probabilité de ré-élection de Macron - sous réserve qu'il se représente - est forte et ruineuse pour la France. Il existe cependant une autre bataille. La pandémie a en effet révélée la nature profondément dictatoriale [5] de la classe politicienne au pouvoir et soutenue par les milliardaires. On sait que la dictature ne s'arrête jamais. Il faut l'arrêter. Un jour, la dictature de la coalition fera un pas de trop et les peuples se soulèveront. Ou pas. C'est l'incertitude de l'Histoire qui se fait. Mais, pour lutter contre la dictature, il faut sans trêve dénoncer le mensonge et dire la vérité. Alors seulement les peuples se libéreront. Notes[1] Lire notre article L'industrie pharmaceutique et l'épidémie de SARS-CoV-2. Des précédents alarmants dans Revue C-Politix, 10.07.2021. [2] Lire notre article : Commentaire d'un article de Laurent Mucchielli sur le journalisme et la pandémie, Revue C-Politix, 17.07.2021. [3] Lire :
[4] On peut lire :Lawsuits Challenging Covid-19 False Claims, David T. Ratcliffe - 08.06.2021, qui fait un point sur diverses actions en cours devant des traibunaux occidentaux. [5] Ressortie sous différents vocables : tyrannie, despotisme, dictature, réduction des libertés, l'évocation de la dictature a déchaînée chez les soumis au régime de la coalition desquolibets et des rejets qui interrogent sur leur ignorance de l'état dans lequel ils se sentent si bien. Or, cette insidieuse évocation de la dictature ne date pas du tout de la décision du 12 juillet 2021 quand Macron décide autoritairement d'imposer un passe sanitaire au bénéfice des "vaccinés" au détriment des "non-vaccinés". Déjà, au début de la pandémie des juristes de droit international avaient avertis de la montée de la dictature : (référence à retrouver) En France, la Défenseure des droits a averti l'Assemblée Nationale le 25 Septembre 2020 : [...] si la crise sanitaire que nous traversons pourrait justifier des mesures exceptionnelles, le respect des libertés doit demeurer la règle et les restrictions, l’exception, en toutes circonstances.et le 19 mars 2020 : la nécessité de respecter les principes de légalité, de prévisibilité et de nécessité et de s’assurer que les dispositions permettant de restreindre les libertés soient suffisamment précises et strictement encadrées par la loi pour garantir aux individus une protection contre les risques d’abus et d’arbitraire.https://www.defenseurdesdroits.fr/fr/covid-19-et-urgence-sanitaire-le-role-du-defenseur-des-droits Mais avant la pandémie, au tout début du règne de Macron, les états d'urgence "terroriste" heurtaient les juristes notamment de droit pénal : |