Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé

Lorsque, premier vaccin Covid mis sur le marché occidental, le vaccin Pfizer est paru, beaucoup de scientifiques, spécialistes de microbiologie notamment, ont élevé des soupçons concernant la sécurité d'un tel "vaccin", qui est en fait un outil de traitement génétique. Parmi leurs très nombreuses alertes, l'une a concentré la fureur des covidistes, ces officiels du régime occidental qui s'étaient attribuée la tâche à la fois de proclamer la supériorité du vaccin Pfizer - qui sauvera le monde de l'épidémie Covid - et de pourchasser comme "fake news" toute contestation de leur propagande.

La propagande covidiste a présenté dès le premier jour de l'épidémie deux caractères assez remarquables.

1. Elle est la même partout dans le monde occidental sous forme de slogans d'une imbécilité consternante ;
2. Pour toute démonstration de la vérité de sa propagande, le covidiste dénonce partout les complotistes et les fake news.

La propagande covidiste s'est illustrée sur tous les plans de la crise :

1. sur la prévision par modèles informatiques ;
2. sur la thérapie médicamenteuse et les soins ;
3. sur le traitement social de l'épidémie ; et en dernier sur ce qui nous occupe ici :
4. sur la vaccination Covid et essentiellement sur la vaccination génique à ARN ou à ADN.

La propagande covidiste s'est toujours - et elle continue de le faire - développée en trois temps qui se recouvrent :

1. La propagande expose le moyen unique qui doit être obéi partout "au nom de la Science unanime" ;
2. Des scientifiques séparés partout dans le monde alertent l'opinion de problèmes issus de la solution unique promue par la propagande ; et
3. La propagande lance une censure contre les opposants qui sont instantanéménet éliminiés des media et leurs idées diabolisées.

Cette unique stratégie sur tous les plans de l'épidémie pose bien entendu un problème politique et certainement pas scientifique. D'autant que cette stratégie unifiée est partout la même dans tout l'occident américanisé. Dans ce qui suit, on va se limiter à la question de la gestion politique de la vaccination covid et à cet aspect particulier de la propagande.

La propagande covidiste sur les vaccins

Dès les premiers jours de l'épidémie, le discours officiel s'est exprimé sous forme de slogans à prétentions scientistes :

1. SARS-CoV-2 est un nouveau virus.
2. La Covid-19 est une maladie nouvelle.
3. Pour une maladie nouvelle, il n'existe aucune thérapie autorisée scientifiquement.
4. Seul un vaccin est capable de sauver le monde des ravages d'une épidémie infectieuse.

Ajoutez à ces quatre slogans, quelques "principes" concernant la distanciation sociale et l'hygiène, et voilà à quoi se résume "la Science" que les covidistes ont répandu par la propagande inlassablement diffusée par les politiciens et leur presse aux ordres.

Une chose n'a pas été dissimulée : les vaccins Covid - Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Janssen - ont été développés en à peine plus d'un an avec des essais cliniques très nettement insuffisants puisque plusieurs études absolument capitales demandent plus de 5 ans de durée. Pire, les données fournies par Pfizer (ou par Moderna) sont manquantes, couvertes par le secret, et dissimulent tous les problèmes que posent ce genre d'outil génétique. Mais, toujours est-il que les autorités étatiques, souvent corrompues par Pfizer, ont donné des autorisations temporaires d'utilisation et organisées avec les vendeurs de vaccins Covid l'irresponsabilité de tous les intervenants dans une sorte d'entente mafieuse. Celui qui se laisse vacciner perd par là même le droit de réclamer en justice contre toute atteinte consécutive à sa vaccination. Il est présumé avoir agi en connaissance de cause. De cette présomption de connaissance, le vacciné volontaire est aussi présumé avoir exprimé son consentement éclairé à la vaccination Covid.

Les académies et autres sociétés savantes vont se livrer à une débauche de propagande en faveur des vaccins Covid à la technique desquels la plupart de leurs membres ne connaissent rien d'autres que par "science infuse" ... C'est le cas de l'Académie de Médecine en France [1]. C'est le cas de la SPILF [2] Ces "honorables" institutions, dont on retrouve des clones dans presque tous les Etats occidentaux, semblent adhérer sans aucune intervention de raison scientifique à un dogme : par principe, le vaccin quel qu'il soit est sûr et efficace, parce que c'est un vaccin.. C'est bref, définitif et rassurant. C'est de la propagande.

La plupart des revues médicales - The Lancet, The New England Journal of Medicine, The British Medical Journal, ont publié des articles analysant de nombreuses études [3] provenant des vendeurs de vaccins, mais aussi d'universités ou de centres hospitaliers de l'ensemble du monde occidental. Très suggestivement, ils n'ont presque jamais publié d'articles décrivant des problèmes quelconques posés par les vaccins Covid et leur développement anarchique.Lorsqu'on lit ces articles, on découvre en général que les données qu'ils dissimulent tant qu'ils peuvent donnent des informations contraires à la conclusion systématique que ces mêmes articles donnent : "le vaccin est sûr et efficace." C'est bref, définitif et rassurant. C'est de la propagande.

La presse lourde [4] notamment à partir du mois de décembre 2020 va se livrer à une débauche de "publi-reportages" où sont placardées partout que "le vaccin covid est efficace à 97%", le chiffre évoluant selon les marques de vaccin Covid ou les publics ciblés de 90 à 99%. Ce qui est permet de diffuser partout le slogan : "le vaccin covid est sûr et efficace". C'est bref, définitif et rassurant. C'est de la propagande.

Et la chose se répète identiquement aux USA, au Royaume-Uni ou en Allemagne. Effrayée par un an de mensonges sur les statistiques des décès et réanimations covid, la population n'en demande pas davantage et se laisse vacciner avec satisfaction.

La propagande a aussi jouée sur l'opposition entre "les anti-vax permanents - ce ramassis d'ignorants " et "la Science unanime qui offre le vaccin covid pour sauver l'humanité". Sur la technique des insertions géniques à ARN ou à ADN, pratiquement pas un mot autre que celui de dire qu'il s'agit d'une technique extraordinaire qui serait la seule de nature à éradiquer le virus. L'effet de cette propagande atteindra son objectif : alors qu'en décembre 2020, 56% des français déclaraient qu'ils n'envisagaient pas de se faire vacciner, en décembre 2021, plus de 80% des français s'étaient fait vacciner par Pfizer ou Moderna, les deux produits à base d'ARN messager.

On constate ainsi que la propagande covidiste a été d'une grande violence contre l'opinion publique qui ne pouvait pas se défendre :

1. parmi les organisations académiques médicales comme l'Académie de Médecine ou parmi les syndicats professionnels médicaux comme la SPILF ;
2. parmi les grandes revues scientifiques qui s'alimentent en études provenant de grands centres hospitaliers ou universitaires ;
3. dans la grande presse qui a relayée la propagande en y ajoutant un enthousiasme qui ressortait plus du niveau des financements qu'elle reçoit des covidistes que de l'effet de son esprit critique.

Le drame de cette propagande remonte à deux racines principales :

1. la propagande en faveur des vaccins est scientifiquement fausse et les propagandistes le savaient ;
2. les propagandistes du vaccin sont dans leur immense majorité corrompus par l'argent des firmes pharmaceutiques et de leurs propriétaires.

Les erreurs scientifiques éructées par des scientifiques qui mettaient en avant leurs titres professionnels notamment de professeurs de médecine ou de "grands" chercheurs dans des Instituts prestigieux ont certainement ruinée la réputation de la science en général, mais surtout la réputation de la médecine dans l'esprit public et celà pour longtemps.

La corruption financière qui règne dans les milieux médicaux, biologistes et pharmaceutiques et dont l'effet éclate dans la propagande en faveur des vaccins Covid entraîne une détestation profonde des délinquants qui s'en sont rendus coupables avec tous les honneurs que les Etats et les Institutions internationales leur ont décernés.

C'est ce que nous allons détailler dans les prochaines parties de cet aticle.

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