Le cas Project Veritas contre Pfizer (cum grano salis)Qui est Project VeritasProject Veritas est une entreprise de presse américaine fondée en 2011 par le journaliste James O'Keefe. L'entreprise se définit elle-même de la façon suivante : Aujourd'hui, Project Veritas enquête et dénonce la corruption, la malhonnêteté, les transactions personnelles, le gaspillage, la fraude et d'autres inconduites dans les institutions publiques et privées pour parvenir à une société plus éthique et transparente. Project Veritas est devenu très célèbre à la suite d'une série de reportages, notamment des interviews vidéo, de l'un de ses journalistes, Daleiden, qui a enquêté sur les utlisations commerciales des organes et tissus d'enfants avortés par le Planning Familial aux USA. Plusieurs procès ont eu lieu au cours desquels le Planning Familial américain n'a jamais nié l'authenticité des témoignages recueillis par Daleiden. Mais plusieurs de ces décisions ont condamnées les techniques de reportage en caméra cachée. Il n'est pas question ici d'interroger cette question ni les découvertes de Project Veritas au sujet du business de l'avortement aux USA. Qui est Pfizer ?Pfizer est une énorme société pharmaceutiques qui a adopté une stratégie de croissance par rachats d'entreprises de pharmacie et de biologie. Elle est détenue par des fonds d'investissement comme Vanguard et BlackRock, et surtout par le milliardaire américain Bill Gates [1] : le vice-président de Pfizer est une salariée de la Fondation Bill & Melinda Gates, ancienne présidente de l'Université de Washington, qui appartient presque entièrement à Bill Gates.Pfizer est connu pour avoir été condamné dans de nombreux pays pour des pratiques commerciales illégales qui comprennent la dissimulation des effets adverses des médicaments que Pfizer vend. Pfizer est réputé être une plaque tournante du trafic de corruption dans le monde de la santé, y compris dans la santé publique. Cette corruption est souvent dissimulée derrière des contrats de recherche, ou des honoraires d'experts de sorte que cette corruption est souvent dénoncée comme de bénins "conflits d'intérêt". Il n'est pas question ici d'interroger l'activité légale ou non de Pfizer, ni de son lien avec les milliardaires américains les plus puissants du monde. Cependant, avec la pandémie de SARS-CoV-2, Pfizer s'est assuré un revenu de plusieurs dizaines de milliards de dollars avec un "vaccin" dit à ARN Messager, développé par la firme allemande Bio N'Tech. Le vaccin Pfizer est le vaccin Covid le plus répandu en occident. Comme les autres "vaccins Covid", le vaccin vendu par Pfizer a été autorisé par des autorités sanitaires étatiques dans des conditions extrêmement douteuses de sorte que sa sécurité et son efficacité sont aujourd'hui considérées par les scientifiques, libres des pressions de Pfizer, comme très mauvaises. Cependant, tant Pfizer que les autorités administratives occidentales qui ont autorisé son vaccin contestent absolument toute critique. Project Veritas enquête sur Pfizer ...C'est dans cet environnement toxique que se situe l'enquête de Project Veritas. Selon ce qui apparaît, il semble que le journaliste de Project Veritas ait obtenu un "rendez-vous" plus ou moins galant dans un bar spécial d'une ville des Etats-Unis avec Walker, le directeur de chez Pfizer. Dans une conversation à bâtons rompus, Walker, qui a ultérieurement expliqué qu'il avait tenté de "briller" aux yeux de son interlocuteur, a données deux informations essentielles sur le vaccin Pfizer. Selon la première information, Pfizer a mené des expériences biochimiques de façon à créer des variants du coronavirus SARS-CoV-2 en insérant des mutations dans les génômes de ces différents variants déjà connus : Alpha, Delta, Omicron, ... On comprend que ces efforts ont été dirigés par le souhait de créer un nouveau vaccin polyvalent, bivalent à tout le moins, ce que Pfizer a mis sur le marché en Juillet 2022. Walker a précisé que ces mutations ont été développées dans un laboratoire de Pfizer sur le sol américain selon une technique microbiologique dite d'"évolution dirigée". Or, cette "technique" est une désignation "large" qui recouvre à la fois :
Or, le cadre réglementaire de ces techniques est actuellement controversé. En 2014, l'administration Obama a été contrainte d'imposer un moratoire interdisant l'exécution des méthodes dites de gain de fonction, trop dangereuses si un virus traité s'échappe accidentellement d'un laboratoire. Or, pour "contourner" cette réglementation, les biologistes américains, à la fois du secteur privé et du secteur public, ont exportées ces recherches dans des pays éloignés comme la Chine (cas de l'institut de virologie de Wuhan, la plus probable cause de l'épidémie de SARS-CoV-2) ou en Ukraine, (les biolabs, découverts par l'invasion russe, et déniés farouchement pas les américains). Il n'y a aucune preuve objective. Seulement la déclaration d'un Directeur de Pfizer, piégé lors d'un rendez-vous galant avec un journaliste dissimulé. Pfizer va laisser échapper une protestation faible selon laquelle Pfizer affirme ne rien faire d'illégal sur le sol américain, contester qu'il s'agisse d'une technique de gain de fonction. A ce niveau, vous croyez ce que vous voulez. Selon la seconde information, Pfizer a reçu des "signaux statistiques alarmants" concernant l'impact destructeur de son vaccin sur la fertilité et la santé des femmes vaccinées. Mais, là aussi, Walker n'a pas donné de faits objectifs. Il a seulement reconnu que Pfizer recevait des données alarmantes d'effets adverses sur la gynécologie des femmes vaccinées et il a estimé devant le "journaliste caché" que si cela s'avérait exact, ce serait explosif pour l'avenir de Pfizer. Au bout d'un certain temps, Walker s'est rendu compte qu'il s'était fait piégé par le "journaliste caché" et il est entré dans une grande colère, se livrant à des voies de fait sur le "journaliste caché" et sur son équipe de tournage. Il a cherché à détruire les appareils ayant enregistré l'entretien. Il a aussi tenté de s'opposer au départ de l'équipe de Project Veritas, tentant de la retenir jusqu'à l'arrivée de la police qu'il avait appelé. La réaction de Pfizer et de la presse lourdePfizer a tenté d'abord de contester la teneur des déclarations de son Directeur Walker. Puis, probablement de concert avec la presse lourde, il a décidé de s'abstenir de s'intéresser à cette divulgation. Il a produit une note de service interdisant à ses employés de parler à la presse sur l'enquête de Project Veritas. La presse lourde a commencé par contester la qualité de Directeur de Pfizer du malheureux Walker. Mais, bien entendu, les réseaux sociaux ont "tracé" l'employé de Pfizer. Et tout porte à admettre le fait qu'il était réellement directeur de niveau 3 dans la hiérarchie de Pfizer, sur une opération - la vaccination Covid - essentielle pour le business de Pfizer. Selon les informations révélées, Walker est réellement un médecin américain. Il est entré chez Pfizer après avoir été consultant dans une grande firme de conseils américains, le Boston Consulting Group, à l'issue d'une opération de conseil à Pfizer. De fait, comme Pfizer, la presse lourde s'est rapidement tue au sujet de l'enquête de Project Veritas et seule la presse libre et les réseaux sociaux se sont animés pour discuter des conséquences des "révélations Walker". Walker quant à lui a disparu, probalement éliminé par Pfizer. Les conséquences de l'enquête Walker de Project VeritasA court et moyen termes, cette enquête ne devrait avoir aucune conséquence sur le court des opérations. Pfizer va continuerà diffuser son vaccin de concert avec les autorités sanitaires étatiques occidentales. On peut même estimer que Pfizer va tenter de "mouiller" encore plus les gouvernements dans le scandale de la vaccination, de façon à rendre "impossible" tout retour en arrière et surtout toute mise en cause judiciaire de ce scandale inégalé dans l'Histoire. De fait, sauf quelques rares décisions "troublantes", aucune cour de justice dans la sphère occidentale n'a encore pris la moindre mesure contre Pfizer et ses concurrents dans le scandale de la Covid-19. Et tout porte à croire que la situation n'est pas près de changer. "Il n'est pas cécessaire d'espérer pour entrependre ..." A plus long terme, ou en cas d'événement imprévu, tout peut encore diverger. Pfizer a déjà reconnu que son vaccin perdait toute efficacité contre la transmission de l'infection quelques semaines après l'injection. Mais, lui et ses clients, les Etats occidentaux, affirment qu'il est parfaitement éfficace contre les formes graves et les décès. Cette assertion est soutenue par des statistiques dont on sait qu'elles sont fausses. Mais encore faut-il le démontrer et trouver un "public" à qui le démontrer. Ce n'est pas près d'arriver ... .Pfizer et ses clients refusent par contre de reconnaître le moindre effet secondaire à son vaccin en dehors de quelques rougeurs au point d'injection et des effets secondaires extrêmement rares. Le slogan répété en boucle est que "le vaccin Covid est sûr et efficace" et que la balance bénéfice à risque reste en toute circonstance favorable à la vaccination". Ici aussi, Pfizer invoque des statistqiques complètement fabriquées, même si des indices extrêmement inquiétants démontrent qu'il y a un problème. C'est le cas de l'excès de mortalité en 2022 ou encore l'effondrement de la natalité 9 mois après le débit des campagnes de vaccination. En réalité, l'affaire Walker découverte par Project Veritas est un coup de boutoir qui seul ne fait pas s'effondrer la terrible défense de Pfizer et des autorités sanitaires responsables de la plus grande catastrophe sanitaire connue. Mais, un jour viendra où d'autres pouvoirs percevront que la situation devien "ingérable" et ils se rallieront aux adversaires de Pfizer et des autorités sanitaires. Mais, on ne voit encore que de très rares frémissements. La corruption et la hauteur des enjeux financiers sont à des niveaux si élevés que la réaction devra être immense. Grâce au contrôle du public, actuellement, Pfizer et ses complices maîtrisent parfaitement la situation. Notes[1] Lire : [2] Lire par exemple : [3] A titre de revue de presse, on peut consulter les articles suivants :
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