Un fournisseur de Moderna révèle le réseau d'intérêts autour de la Covid-19
Philippe Brindet - 4 Septembre 2022
Note : cet article a été écrit le 21 août 2022. Des retards de publication le font paraître quinze jours plus tard.
Je sais que c'est exactement le genre d'articles que les braves gens - en vacances ou non - détestent lire. D'ailleurs, ils ne les lisent pas, les écartant avec dédain, dégoût et colère. "On" les a suffisamment prévenu contre la "nocivité" de tels articles. Complotistes, négationistes, rassuristes, alarmistes, fake-news, ... peu importe pourvu qu'on les calomnie et qu'on ne les lise pas ! J'en conjure donc mes lecteurs : ne soyez pas de "braves gens" ...
Ce matin, j'ai été attiré par un article du blog du journaliste italien Maurizio Blondet qui traduisait un article plutôt étonnant, relayé par plusieurs sites américains. Dans cet article [1], la journaliste américaine Whitney Webb résumait une enquête qu'elle a mené sur la société Moderna.
Moderna fait autoriser sans aucune preuve à titre expérimental un vaccin contre le variant Omicron
Cette société est comme on ne peut guère l'ignorer - le deuxième producteur "autorisé" à vendre un vaccin COVID-19 à base de ARNm. Or, le vaccin Covid-19 de quelque marque que ce soit, est actuellement développé sur la souche du SARS-CoV-2 de Wuhan de janvier 2020 et semble de moins en moins efficace [2]. Pfizer et Moderna ont alors "vendus" aux Etats occidentaux effrayés de l'inefficacité des vaccins Covid, une nouvelle version de leurs vaccins adaptée aux derniers variants. Ou presque.
Tout récemment, Moderna est parvenu à faire approuver par l'agence sanitaire MHRA du Royaume-Uni, à titre expérimental, sa nouvelle version basée sur le variant BA.1.1. C'est un variant un peu ancien, mais qui peut faire illusion ... Aucun article scientifique n'a été publié concernant sa sécurité ou son efficacité, sauf deux communiqués du service commercial de Moderna. Les autorités sanitaires du Royaume-Uni, et d'aucun autre Etat, n'ont jamais menée la moindre enquête scientifique sur ce produit.
Il s'agit donc d'un nouveau scandale sanitaire qui n'est plus sans précédent, puisque le vaccin "originel" a été autorisé exactement de la même façon. Mais il y a plus curieux.
Moderna ne produit plus lui-même l'ARN de ses vaccins Covid.
En Septembre 2021, en pleine vaccination Covid, la presse d'affaire a annoncé qu'une société nouvelle américaine, National Resilience, allait produire des composés à base d'ARNm pour le compte de Moderna selon un accord prévu pour plusieurs années. Le nouveau "booster" Moderna sera le premier produit de Moderna à incorporer un composé ARNm qui ne sera pas produit par Moderna, mais par National Resilience.
On sait que Pfizer fait produire son composé ARNm par BioN'Tech. Le procédé n'est donc pas nouveau. Il pose cependant de très nombreux problèmes qu'il n'est guère possible d'aborder ici.
Mais la jounaliste Whitney Webb a alors enquêté sur la société National Resilience.
Une firme de microbiologie sortie de nulle part ....
Selon l'enquête de Whitney Webb, National Resilience a été fondée en Septembre 2020 et, depuis ce jour, les subsides tombent sur cette société par centaines de millions de dollars ...Dans cette société, on ne connaît aucun biologiste ou médecin, aucun spécialiste des vaccins. La société ayant déjà plusieurs centaines de salariés, il est certain qu'elle en possède un nombre conséquent. Mais la société National Resilence, alors qu'elle est une société de production de composés microbiologiques est avant tout une firme animée par des "politiciens".
C'est aussi une caractéristique du capitalisme contemporain : les firmes scientifiques, techniques ou industrielles importantes, fondées actuellement, ne sont presque jamais opérées par des scientifiques, par des techniciens ou par des industriels. Elles sont opérées par des "politiciens", une espèce nouvelle à mi-chemin entre les financiers et les commerciaux, qui sont sélectionnés par les cercles politiciens occidentaux.
Dans son enquête, la journaliste Whitney Webbs note les membres suivants du Board of Directors de la société nouvelle National Resilience :
- Rahul Singhvi CEO (directeur général) de National Resilience :
- ex - CEO of NovaVax, vendeur de vaccins Covid en Europe et en Inde [3] ;
- operating partner at Flagship Pioneering, fond d'investissement qui a joué un rôle majeur dans la création et l'essaimage de Moderna [4].
- president of Ring Therapeutics [5]
La présence de Singhvi chez National Resilience révèle le rôle d'un fonds d'investissement Flagship Pioneering dans le milieu des sociétés de microbiologie.
- Robert Nelsen, co-fondateur de National Resilience, patron du fonds d'investissement Arch Venture Partners[6] :
- co-fondateur de Illumina, avec le groupe d'investissement Welcome Trust. Illumina est la plus importante firme de production de machines de tests PCR et autres.
- Nelsen a été conduit à créer National Resilience par une ancienne fonctionnaire fédérale (FDA) Luciana Borio :
- vice-présidente de In-Q-tel, le fonds d'investissement de la CIA ;
- senior fellow sur la santé mondiale au Council on Foreign Relations (CFR) ;
- consultant de la banque d'affaires Goldman Sachs ;
- membre de l'Alliance CEPI d'organisation des épidémies et vaccinations, ONG financée par Bill Gates ;
- partner at Nelsen’s venture capital firm ARCH Venture Partners ;
- publie un article [7] recommandant de forcer la vaccination Covid par la réservation de droits pour les vaccinés.
- Chris Darby, membre du Board of Directors de National Resilience :
- CEO (Directeur Général) de In-Q-tel, le fonds d'investissement de la CIA ;
- member of the National Security Commission on Artificial Intelligence (NSCAI) qui oeuvre pour l'utilisation de l'Intelligence artificielle dans le contrôle de la population.
- Drew Oetting, membre du Board of Directors de National Resilience :
- représentant de Cerberus Capital Management, firme de Steve Feinberg :
- ex- President de l'Intelligence Advisory Board (supervision des services spéciaux US) dans l'administration Trump
- propiétaire par Cerberus de DynCorp, firme de sécurité agissant pour les services spéciaux américains et engagée dans de nombreux scandales notamment de trafic sexuel dans les zones de conflits
- membre de la société gestionnaire des actifs de Bill Gates, la Bill & Melinda Gates Foundation Trust ;
- co-fondateur de 8VC, société de capital-risque, principal investisseur de National Resilience, avec Joe Lonsdale :
- co-fondateur, avec Peter Thiel et Alex Karp, de Palantir, compagnie de collecte d'informations agissant pour la CIA ;
- Oetting est aussi membre de l'ONG Thorn, liée à la CIA et spécialisée dans la lutte contre le trafic d'enfants.
- Joseph Robert Kerrey, membre du Board of Directors de National Resilience :
- former US Senator for Nebraska and
- a former member of the conflict-of-interest-ridden 9/11 Commission, on Resilience’s board.
- "managing director" de la banque d'investissement Allen & Co., de New York.
La banque Allen & Co., selon Whitney Webb, la journaliste citée en [1], serait un acteur majeur de réseaux liant le grand banditisme et les services spéciaux américains..
- Susan Desmond-Hellmann [8], membre du Board of Directors de National Resilience :
- Ancienne chancelière de l'Université de l'Etat de Washington, entièrement financée par Bill Gates
- ancienne CEO (directeur général) de la Fondation Bill & Melinda Gates ;
- Vice-Présidente de la firme pharmaceutique Pfizer, appartenant à Bill Gates
- Scott Gottlieb, membre du Board of Directors de National Resilience :
- ancien directeur de la FDA jusqu'en 2021 ;
- membre du Board of Directors de Pfizer ;
- Frances Arnold, membre du Board of Directors de National Resilience :
- membre du Board of Directors de Alphabet (= Google) ;
- membre du Board of Directors de Illumina, firme de test PCR déjà citée ;
- Patrick Yang, membre du Board of Directors de National Resilience :
- ancien exécutif de la firme d'ingéniérie génétique Genentech ;
- ancien exécutif de la firme pharmaceutique Merck.
Cette analyse des seuls membres du board of Directors d'une société nouvelle (moins de deux ans d'âge), bénéficiant d'investissements de plusieurs milliards de dollars montre qu'il existe une entente entre entités qui sont souvent réputées en concurrence et qui en fait s'entendent, de clients qui contrôlent leur fournisseur, de fonctionnaires gouvernementaux qui émargent à des opérations privées obscures, ....
En résumé, on voit s'esquisser une sorte de réseau qui regroupe de manière très peu transparente des gens que rien ne devrait réunir : Pfizer et Google, la CIA et la FDA, des banques et des universitaires, .... Comme l'exprime Whitney Webb, la journaliste qui a réuni ces informations :
Il est certainement révélateur que Moderna, normalement avide de publicité, ait si peu parlé de son partenariat avec Resilience et que Resilience, malgré ses plans ambitieux, ait également évité les projecteurs médiatiques.
Quelques observations sur le réseau révélé par le détail des membres du Board of Directors de National Resilience
Trois puissances derrière National Resilience
Ces trois puissances sont très clairement :
- La haute administration américaine, qui s'est libérée de tout contrôle républicain : les services spéciaux avec la CIA comme chef de file et les administrations sanitaires avec la FDA en chef de file
- la caste des hyper-milliardaires qui domine largement la haute administration américaine avec comme chef de file Bill Gates ;
- le gang mafieux des organisations financières, banques d'investissement et autres capital-risqueurs avec Flagship Pioneering comme chef de file.
Cette entente démontrée par l'association révélée par le Board of Directors de National Resilience, interroge sur les complicités qui sont parvenues à autoriser l'utilisation illicite de produits du génie génétique et qui tentent ici d'accroître encore la force et la richesse financière du réseau. Certains, à cette évocation, flagornent du "complotisme". Il s'agit simplement d'escroquerie en bande organisée et cette escroquerie profite aux milliardaires du réseau parce que la haute administration américaine est complètement corrompue et que les agioteurs se précipitent sur les "bonnes affaires" que promet une société obscure comme National Resilience.
Et pour une société comme National Resilience qui a attirée l'attention d'une journaliste clairvoyante, combien d'autres sociétés sont encore inconnues qui appartiennent au "réseau" ?
De puissantes entités aux contours et motivations obscures
La CIA rôde dans le réseau à force de prête-noms, d'ONGs mal dissimulantes, ... Bill Gates et son propre réseau mafieux constitué autour de sa Fondation, largement dotée par tre,nte ans de rapines, sont dans le réseau. S'y retrouvent des groupes comme Google. Pourquoi Google ? Pourquoi pas Google ? Quand on sait la part que Google a pris dans l'organisation de la propagande pandémique, dans la censure des alertes des adversaires de la mafia covidiste( avec Youtube, mais aussi en rendant invisibles dans les résultats deson moteur de recherche des sources d'informations et d'opinions contestatrices de la loi covidiste qui semble émaner de Gates ....
Le résau dont les contours s'esquissent à la simple analyse des membres du Board of Directors de National Resilience, est évidement construit pour enrichir ses participants. On remarque que les entreprises comme Pfizer et Moderna encaissent deux chiffres d'affaire. D'abord, celui des "subventions" délivrées par les gouvernements : 50 milliards de dollars pour les USA et 20 milliards pour l'Union européenne. National Resilience, fournissseur de particules mARN injectables de Moderna, bénéficie indirectement de ces subentions accordées sans aucune expertise scientifique et commerciale. Escoruqées par une prétendue urgence sanitaire, déclenchés dès le 15 mars 2020, et jamais vraiment levée ! Celà peut toujours servir.
Mais, le second chiffre d'affaire des producteurs de prétendus vaccins est constitué par la vente captive aux Etats qui les ont déjà subventionnés des doses de faux vaccins qui, en contradiction avec le slogan publicitaire, anoné par des abrutis décorés des noms de médecins ou de scientifiques et qui en ayant le titre déshonoraient leur science, n'étaient ni sûrs, ni efficaces. Plusieurs contestataires ont agité le problème du cumul des subventions et des ventes aux "vaccins Covid". Ils n'ont encore obtenu aucun résultat tangible.
Pire encore, tant Moderna que Pfizer, ont manifestement négocié des contrats de fournitures de produits qu'ils savaient "frelatés" avant même que fabriqués. Frelatés par conception. Et sachant qu'ils étaient "frelatés", les vendeurs des prétendus "vaccins covid" se sont rendus contractuellement inattaquables des préjudices que provoquent déjà leurs produits ignobles.
Pour parvenir à une telle politique sanitaire, il fallait rien de moins qu'un réseau mafieux du genre de celui révélé par le Board of Directors de National Resilience. Un réseau qui, nécessairement, doit réunir la complicité des milliardaires, des financiers et des fonctionnaires étatiques corrompus que l'on aper_çoit dans la composition du Board of Directors de National Resilience. Et si la corruption règne, il faut aussi admettre que les motivations d'un tel réseau sont misérables alors que, au vu des milliards de dollars mis en jeu, les "braves gens" attendent des buts d'une grande noblesse de vue élevée. Il n'en est rien. D'où que l'entité National Resilience appara^t de contour flou et de motivations obscurs. C'est tout le contraire : - son contour est net : une "mafia" corrompu" et
- son but clair " partager la rapine entre les corrompus.
Dans le réseau qui aboutit à National Resilience, l'idéologie domine sur toute considération
C'est une chose étrange. Mais tous ces gens que l'on retrouve dans les Board of Directors comme celui de National Resilience sont affiliés à une idéologie bien caractéristique. Cette idéologie, vous la trouvez définie par exemple dans les chartes d'usage des comptes Google ou Youtube. C'est la même idéologie chez Twitter ou Facebook. Vous la lirez tous les jours dans The New York Times ou The Washington Post. Dans les déclarations du sénile Bieden.
Dans la pandémie de SARS-CoV-2, cette idéologie est imposée par des puissances bien déterminées qui ont fixée une fois pour toutes le contenu idéologique de la politique qui en sera la simple exécution :
- le coronavirus est naturel et provient d'une zoonose créée par la destruction par l'homme de l'habitat d'espèces sauvages (la chauve-souris).
- étant nouveau le coronavirus produit une nouvelle maladie la Covid-19 pour laquelle il n'existe aucun traitement autorisé ;
- seul un vaccin, lorsqu'il aura été inoculé à l'ensemble de la population mondiale, permettra d'arrêter l'épîdémie ; et
- dans l'attente de ce vaccin et de sa distribution mondiale, seules des mesures de distanciation sociale comprenant, masques, lavage des mains, confinements, quarantaines, interdiction d'activités permettront de limiter la diffusion épidémique et par conséquence, de protéger le système de santé publique de s'effondrer devant le nombre des morts et des formes graves.
Cette idéologie est notamment illustrée par la publication de la John Hopkins University à laquelle a participé l'une des inspiratrices du projet de société de National Resilience, la fonctionnaire fédérale Luciana Borio, qui a activé le Directeur Nelsen de National Resilience (voir Note [7]). Elle débouche sur la nécessité de contraindre l'ensemble de la population mondiale à la vaccination par un crédit social.
L'idéologie est d'une extrême simplicité. Un enfant de douze ans peut la comprendre. Un fonctionnaire de la Cia autant qu'un financier véreux de New York. Grâce à cette simplicité, la presse peut aisément faire la propagande de cette idéologie et censurer les rares oppositions ou contestations. D'autant que la presse est entièrement aux mains des puissances qui ont fabriquée l'idéologie qui va bien avec le plan de l'escroquerie.
Notes
[1] RNA for Moderna’s Omicron Booster Manufactured by CIA-Linked Company, Whitney Webb - 18 Aug 2022. L'article provient en fait originalement du site The Hangout.
[2] On sait que notamment le vaccin Pfizer dès sa mise sur le marché et selon son vendeur, Pfizer - lire Thomas et al. Six Month Safety and Efficacy of the BNT162b2 mRNA COVID-19 Vaccine, medRxiv preprint doi: https://doi.org/10.1101/2021.07.28.21261159; this version posted July 28, 2021, n'avait plus aucune efficacité contre quelque chose que ce soit après 6 mois de l'injection. Au fur et à mesure que l'épidémie se déroulait, que les variants nouveaux apparaissaient, les vendeurs de vaccin ont été contraint d'admettre une absence d'efficacité au delà de 4 mois puis de 2 mois. Les achteurs de ces produits frelatés, essentiellement les Etats occidentaux, prétendaient qu'ils étaient efficaces contre les formes graves de la maladie, puis devant l'évidence que non, qu'ils étaient efficaces contre le risque de mort, ce qui était tout aussi faux. On sait aujourd'hui que, non seulement les vaccins Covid ne sont pas efficaces contre SARS-CoV-2, mais qu'ils favorisent l'infection, aggravent les maladies qui en découlent et que, de plus, ils produisent des effets adverses si graves et si nombeux qu'ils ne sont pas plus sûrs qu'ils sont efficaces.
[3] Lire par exemple le communiqué de l'OMS Vaccin Novavax contre la COVID-19 : ce qu’il faut savoir, 13 juin 2022.
[4] Sur le rôle de Flagship Pioneering dans la création de Moderna, lire par exemple : https://www.flagshippioneering.com/companies/moderna/, qui décrit l'action de Flagship Pioneering.
[5] Lire : https://ringtx.com/news/flagship-unveils-ring-therapeutics/
[6] Lire le site de Arch Venture Partners.
[7] Lire The Public’s Role in COVID-19 Vaccination: Planning Recommendations Informed by Design Thinking and the Social, Behavioral, and Communication Sciences, Schoch-Spana M, Brunson E, Long R, Ravi S, Ruth A, Trotochaud M on behalf of the
Working Group on Readying Populations for COVID-19 Vaccine. Baltimore, MD: Johns Hopkins Center for Health Security; 2020.
Le nom de Borio est au début de la la liste des membres du groupe d'auteurs, page 3 sur 47.
[8] Desmond-Hellman a été étudiée dans trois articles de la Revue C-Politix :
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