Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé - Partie III

suite de Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé - Partie II

Dans la deuxième partie de cet article, on a décrit les principales alertes des scientifiques indépendants. Esssais cliniques insuffisants et trompeurs, dangers intrinsèques de l'injection des produits ARN ou ADN, réactions de l'organisme, recombinaisons virales, effets facilitant l'infection, efficacité nulle, ...

La réaction des covidistes

La traque des alertes produites par les scientifiques a été confiée à des médecins de plateau [1], notamment en France, et à des gens sans aucune formation scientifique [2] ou alors, tellement dévaluée, qu'elle est inutile pour former le moindre esprit critique. Parmi ces gens se trouvent les tenanciers de ces "bordels de l'opinion publique" que sont les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Youtube, ... C'est ainsi que beaucoup de scientifiques comme Robert W. Malone [3], se sont trouvés exclus du débat public, laissés sous le contrôle dictatorial du régime covidiste : propagande et ignare fact-checking, qui déguisait ses praticiens en commissaires politiques du temps du bolchevisme. Ou du jacobinisme. Alors que les scientifiques indépendants sont les éléments les plus créatifs et les plus progressistes du milieu scientifique.

Le fact-checking d'abord ...

Dans un article du 27 Juillet 2021 [4], on peut lire :

"Alors que la vaccination contre le Covid-19 se poursuit en France, les vaccins à base d'ARN messager, dont Pfizer et Moderna, posent question et sèment le doute parmi les anti-vaccins quant à leur capacité à modifier le génome. Invité ce 25 juillet sur LCI, le Pr Rémi Salomon, président de la Commission médicale d'établissement de l'AP-HP, a apporté des éclaircissements."

"A aucun moment, l'ARN n'est entré dans le noyau. Notre patrimoine génétique est tranquille. On n'y a pas touché", a-t-il indiqué.

Le Professeur Rémy Salomon a fait toute sa carrière comme gestionnaire des ressources humaines dans une administration de santé. Ses connaissances en matière de biologie semblent remonter à ses études médicales lointaines et il ne semble pas les avoir mises à jour depuis. Or, cela faisait sept mois que la vaccination Covid battait son plein et de nombreux articles scientifiques identifiaient le problème de la perturbation et du génome humain et du système immunitaire humain par la vaccination Covid à ARN ou à ADN. Dans le même article de fact-checking de l'AFP, on peut encore lire :

Contacté par France 24, Antoine Flahault, médecin épidémiologiste et directeur de l'Institut de santé globale à la faculté de médecine de l'université de Genève, coupe lui aussi court aux fausses informations.

"Je n'arrive pas à comprendre comment on peut avoir peur qu'un vaccin puisse faire quelque chose qui serait pire que le virus contre lequel on veut se battre. D'autant plus que l'ARN messager du vaccin est détruit en quelques heures à tel point qu'il faut faire une deuxième dose. Il n'y a pas de subsistance de l'ARN messager dans les cellules au-delà de quelques heures".

Flahaut est lui aussi une personne du meilleur monde. Mais il est spécialiste de statistiques médicales et ses connaissance sen matière de microbiologie ne semblent pas, elles aussi, très à jour. En effet, l'erreur de Salomon ou de Flahaut, partagée par de nombreux covidistes comme des membres de la SPILF, provient de ce que leurs études de médecine remontent aux années 70 et début 80. A cette époque, le dogme central de la microbiologie avait été établi par un Prix Nobel de médecine français, Jérôme Monod et a été promulgué de manière définitive, indiscutable et de la façon suivante : " L'ADN s'exprime en ARN, puis en protéines, et cela de manière irréversible". Or, manque de chance pour les dogmatiques et les académiques d'aujourd'hui, justement au temps de leurs premières études, un certain David Baltimore et un certain Luc Montagnier, montraient la rétrotranscription de l'ARN en ADN et ruinaient - enfin - le dogme imposé par le très académique français. Tant Baltimore que Montagnier ont reçu des prix Nobel depuis. Ni l'un ni l'autre ne se sont "académisés". Au contraire, ils ont gardé leur créativité. Mais Salomon et Flahaut sont loin d'être les seuls à commettre une erreur d'étudiant contemporain, qui a appris sa biologie dans des manuels d'occasion - activité très dangereuse.

Le Pr Raoult qui publie depuis trente ans un nombre extrêmement élevé d'études scientifiques en microbiologie et en infectiologie a été "fact-checké" lui-même par des branquignols de faculté. Il les a assaisoné de la belle manière [5]. Cela n'a strictement causé aucun tort à leurs carrières, puisque l'un d'eux par exemple, protégé par un membre du croquignolesque Conseil scientifique du Président Macron, est devenu deux ans après sa thèse, chef de service dans un grand hôpital parisien.

Mais, le grand public qui lit les articles de fact-checking appuyé sur des personnages aux titres prestigieux et aux connaissances obsolètes, estime que l'article de fact-checking a nécessairement raison et que la personne "fact-checkée" est un abruti ignare et déconsidéré. C'est comme cela que la covidocratie supprime les alertes des scientifiques indépendants contre la propagande vaccinale des covidistes.

... et la bonne vieille censure

Mais la censure travaille aussi de manière plus directe. Il devient rapidement impossible à un scientifique indépendant de publier le moindre article d'alerte contre la vaccination Covid. Il ne trouve ni un titre de la grosse presse qui accepte de le publier ou même de l'interroger. il ne trouve plus une revue scientifique de quelque prestige pour le publier. Il se rabat alors sur les réseaux sociaux.

Mais ceux-ci ont édictées des chartes de bonne conduite. C'est le cas de Facebook, de Twitter, de YouTube, mais de bien d'autres encore. Dans ces chartes, le tenancier de la plateforme détaille ce qu'il est permis de publier ou ce qu'il est interdit de publier. Et cela va très loin. Par exemple, dans la charte de YouTube on peut lire :

YouTube n'autorise pas les contenus qui propagent des informations médicales incorrectes contredisant celles des autorités sanitaires locales ou de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) concernant la COVID-19. [6]

C'est ainsi que, le professeur Raoult s'est fait censuré pendant quelques heures une vidéo de sa chaîne Youtube [7], parce qu'il y enfreignait - heureusement - les règles de YouTube interdisant de contredire en matière médicale l'OMS ou les "autorités sanitaires" françaises. Plusieurs scientifiques indépendants, comme le Dr Mercola, américain, ont été censurés par YouTube ou Facebook ou Twitter. Les mêmes règles que celles rapportées par Youtube existent sur Facebook ou Twitter. Et plusieurs scientifiques ont été expulsés des plateformes [8], ce qui les prive de contacts avec le grand public qu'ils cherchent justement à alerter.

La contre-attaque des covidistes contre Henrion-Caude

Pour contrer l'action d'alerte de Alexandra Henrion-Caude (voir la partie II de notre article) au sujet des risques sanitaires des vaccins ARN, l'AFP alliée à Facebook, publie un article de "fact-checking" [8] dans lequel est réaffirmé que "Toutes ces affirmations sont fausses ou exagérées. Des scientifiques, médecins et institutions reviennent pour l'AFP Factuel sur les infox mises en avant dans ce long entretien." AFP cite par exemple le regretté Axel Kahn qui aurait proféré une stupidité d'étudiant de première année de biologie :

Cette instruction génétique ne peut pas modifier les gènes car dans le corps humain "le chemin génétique, c'est : l'ADN qui est transcrit (recopié, NDLR) en ARN. On ne voit jamais le chemin inverse", expliquait le généticien français Axel Kahn à l'AFP dans un précédent article.

Or Axel Kahn est un cancérologue, aujourd'hui décédé, qui a été largement médiatisé grâce à un petit sourire condescendant et un ton vaguement persifleur. Mais, son domaine d'action est resté celui du cancer où il a rendu de grands services, dans la gestion de grands centres de traitement et de recherche de cette terrible pathologie. Il aurait dû être au courant des derniers progrès de la génétique. Il semble hélas qu'il n'avait pas remis à jour ses connaissances depuis 1981, date de la prise du pouvoir par Mitterand. C'est dommage ...

Enthousiasmée par son "fact-checking", l'AFP dans le même article appelle en soutien du dogme qui "condamne" Henrion-Caude, le Dr Maria Victoria Sanchez du laboratoire d'immunologie et de recherche vaccinale IMBECU-CCT-CONICET en Argentine, ou encore le professeur d'immunologie Jean-Daniel Lelièvre, membre de la Commission vaccination à la Haute autorité de santé et qui déclament avec la certitude des ignorants la même stupidité.

Ceci est un exemple classique de fact-checking qui accumule la citation de personnalités aux titres et prestiges fameux, mais qui profèrent de sinistres stupidités, peut être parce qe le "fact-checker" n'a pas daigné leur soumettre son article vengeur. Mme Henrion-Caude a subi plus d'une dizaine de "fact-checking", tous aussi ridicules et erronés que celui de l'AFP. Au passage, il faut souligner que cette Agence de l'Etat français exécute ses fact-checking avec les subventions et sous le contrôle de la firme Facebook, appartenant à l'hyper-milliardaire Zuckerberg, pendant toute la pandémie de Covid. Zuckerberg a ainsi cumulé dans la covidocratie les fonctions de propagandiste et de censeur. D'autres hypermilliardaires ont participé à ce rôle comme Bill Gates [9] qui a pris le contrôle de la presse lourde par des subventions qui lui permettent de contrôler le contenu de cette presse corrompue. Mais Gates possède aussi la plupart des entreprises sanitaires, comme le géant Pfizer, avec lesquels il corrompt [10] l'ensemble des autorités sanitaires jusqu'à 'OMS dont il est le deuxième contributeur financier.

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Et c'est ainsi, qu'entre fact-checking et censure, les lanceurs d'alerte contre la propagande vaccinale ont été neutralisés auprès du grand public par la covidocratie.

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