Crises modernes. Le problème de l'évanouissement de la politique

Philippe Brindet - 5 Février 2022

Du scandale sanitaire au constat de la toute-puissance de l'Administration

Beaucoup d'entre nous, amis lecteurs, sommes obnubilés par le caractère scandaleux de la crise épidémique, particulièrement en France où nous vivons. Mais le problème de la pandémie est à peu près identique en France et partout en Europe, aux Etats-Unis, au Canada, en Australie ou en Nouvelle-Zélande. Et dans d'autres Etats aussi.

Beaucoup de gens se demandent pourquoi nous sommes alarmés par cette communauté d'alarmes alors que la pandémie, étant produite par un seul pathogène, SARS-CoV-2, il est naturel que tous les Etats affrontent de la même manière le même problème. Ils ont radicalement tort. Sauf sur un point. Nous ne devrions pas nous laisser obnubilé par la seule crise sanitaire de la Covid.

Parmi les alarmes levées à l'occasion du scandale sanitaire en cours, on a remarqué l'extinction du rôle des Parlements, réduits à de simples Chambres d'enregistrement ou de légalisation de décisions administratives. Mais aussi l'extinction des organes républicains dévolus à la défense des droits des citoyens. De la Liberté tout simplement.

Nous savons pourtant que la démocratie moderne, encore présumée en force en Occident américanisé, repose sur la séparation des pouvoirs avec trois piliers:

  • le corps législatif, qui produit les lois et normes,
  • le gouvernement qui, pour l'Etat, exécute les Lois et normes du corps législatif, et
  • le corps judiciaire qui résout les conflist entre l'Etat et les citoyens lors de l'exécution des lois par les uns et les autres.

Nous admettons que, peu à peu s'est imposée une quatrième force que l'on peut désigner par "l'état de droit", c'est-à-dire une institution supplémentaire qui regroupe un certain nombre de pouvoirs autrefois éparpillés, et aujourd'hui de plus en plus concentrés, et qui sont présumés affirmer le droit face aux - ou contre les - trois pouvoirs traditionnels de la démocratie. Ils regroupent les experts juridiques notamment, mais au delà, la presse libre, les arts, les ONGs et peut être d'autres forces. Selon les contrées, ce quatrième pouvoir est plus ou moins avancé. En France, on peut le tenir pour très peu avancé pour des raisons peut être historiques, peut être à cause d'autres facteurs.

Mais l'une des observations les plus importantes des cinquante dernières années identifie une certaine disparition de la politique au profit de l'administration. C'est certainement le cas aux USA où, quelque soit la mandature présidentielle, c'est toujours l'Administration qui décide, que ce soit Bush ou Obama, Trump ou Biden. En France, si Mitterrand a apporté une politique nouvelle après le gaullisme et la nouvelle société de Giscard, on peut craindre qu'il ait aussi apporté la permanence du pouvoir de l'Administration puisque, quelque soit le régime présidentiel, quelque soit la législature, c'est toujours la même politique qui est faite essentiellement à base de décisions arbitraires de l'Administration. La plupart des représentants législateurs comme la plupart des membres de l'exécutif en France sont des membres de l'Administration. Et de fait, 80% des lois votées par le Parlement proviennent des services du gouvernement. Ces services sont composés essentiellement de fonctionnaires de l'Administration.

La Chose est admise maintenant et on ne crédite plus d'originalité les affirmations selon lesquelles "la France n'est plus gouvernée mais administrée" [1]. C'est très certainement le constat du début de l'évanouissement de la politique.

Le gouvernement tente maintenant d'échapper à son Administration

A peine avons nous pris le temps de constater l'emprise de l'Administration sur le gouvernement, avec il faut le reconnaître la disparition presque complète du Corps législatif [2] et du Corps judiciaire [3], qu'il faut nous alarmer d'un nouveau danger bien plus grand. Presque tous les gouvernements occidentaux sont tombés sous la coupe de quelques cabinets "internationaux" de conseils [4].

Selon les critiques, souvent de démocrates révoltés par l'évanouissement de la politique, ce serait le moyen pour ces gouvernements de réduire la taille de leurs administrations en s'en remettant au secteur privé. Il faut reconnaître que le discours "politique" joué ces derniers temps consiste à faire croire aux électeurs "qu'il y a trop de fonctionnaires". Cela fait trente ans et plus que le "discours" est servi. Souvent juste avant une consultation électorale tenue avec des taux d'abstention de plus en plus élevés. La promesse électorale est bien entendu oubliée au magasin des choses qui "hélas, n'étaient pas encore réalisables" ...

De fait, une fois en place, le politicien se réfugie derrière l'affirmation que "les citoyens demandent plus d'instituteurs, d'infirmières, de policiers, ..." Mais dans le même temps, l'Etat tente de réduire son Administration ou bien en envoyant ses missions sur le secteur privé ou bien tout simplement en fermant les services publics C'est le cas de la Poste ou du transport ferré.. C'est le cas de la Santé publique, où l'Etat depuis au moins dix ans, réduit la capacité de l'hôpital public à traiter des malades, que ce soit aux urgences, saturées depuis vingt ans, ou en situation épidémique, comme on y assiste en ce moment.

Mais dans ces cas, le recours à des cabinets de conseil n'a rien à voir avec la réduction des charges budgétaires de l'Etat. Le déficit budgétaire s'accroît absolument sans aucune limite et, plus ce déficit s'accroît, plus les cabinets privés sont "sollicités" pour des montants de plus en plus élevés. Il faut admettre d'ailleurs que la doléance selon laquelle ces mêmes cabinets conseillent au gouvernement de réduire le nombre de ses fonctionnaires et renvoit au secteur privé un grand nombre des services publics est certainement fondée. Seulement, "ils" ne s'en vantent pas.

Deux secteurs de services publics sont, en France, extraordinairement menacés par les "cabinets de conseil privés" :

  • le secteur des retraites aujourd'hui largement partagé entre l'Administration de la Sécurité Sociale et la quasi- Adminsitration des mutuelles corporatistes, selon un régime de "solidarité" qui glisse vers le gouffre pour des raisons démographiques, mais aussi sociales à cause de la raréfaction du travail et de la réduction cachée des salaires et revenus du travail des futurs retraités ;
  • le secteur de la santé publique avec la lente disparition du soin privé libéral et la constante dégradation du système hospitalier public.

Le rôle pervers des cabinets de conseil privés est certainement incontestable.

Les enquêtes publiées [4] pointent notamment la perversité du cabinet McKinsey. La pénétration de ce cabinet dans les ggouvernements est extraordinaire. On sait que le fils de l'actuel président du Conseil constitutionnel est lui même directeur associé de la filiale française de McKinsey. Mais c'est aussi le cas du fils de la présidente de la Commission de Bruxelles, l'allemande Von Der Leyen. L'incontestable parfum d'honorable corruption fleure bon le cinéma italien des années 60. Malheureusement, la chose est beaucoup plus grave que de fournir un amusement de cinéma.

Si on examine ce qui est connu du "système McKinsey", on trouve les bonnes vieilles recettes de la corruption politique. Mais, il y a quelque chose de plus inquétant. La France dispose d'un Etat en situation de faillite financière depuis trente ans et plus [5]. Un tel Etat, on le sait de l'Histoire politique, ne peut se soutenir que par la corruption. Le recours à l'endettement ou à l'impôt du futur, recettes assurées pour avancer plus vite vers le gouffre, sont évidemment imposées par les cabinets de conseil privés. Parce que ces "recettes" éculées, essayées cent fois dans l'Histoire, débouchent toutes sur la mise en coupe réglée du pays par des puissances financières qui détiennent la dette. Le pillage est alors tel que la guerre ou la révolution seules permettent de casser le cercle vicieux aujourd'hui "armé" par les cabinet "à la McKinsey".

La faillite de l'Etat monarchique a débouchée sur la révolution de 1789 et la faillite de l'Empire napoléonien a débouché sur les deux campagnes de France qui ont vu la France occupée deux fois en deux ans par les Allemands, les Autrichiens et les Russes. Les français devraient s'en souvenir.

Avec McKinsey, ce sont TOUS les Etats européens et probablement l'Etat fédéral yankee qui sont visés par l'offensive "à la McKinsey". Parce que McKinsey travaille pour une puissance étrangère. A laquelle se vendent les gouvernements comme celui de Macron lorsqu'ils signent un contrat avec McKinsey.

Du gouvernement national à celui des organes mondiaux

En réalité, il faut se souvenir du mouvement historique que nous esquissons ici. De l'épuisement de la politique, on est passé à celui de l'Administration ce qui nous conduit directement vers le contrôle absolu de l'exécutif par des organes privés non nationaux.

Je voudrais d'abord dire un autre danger, marginal aujourd'hui. Il est clair que la Chine montre des volontés géopolitiques la guident vers une emprise planétaire. Il est possible que son destin planétaire passe par un affrontement armé avec les USA. Il faudrait donc attendre le résultat de cet affrontement militaire avant de s'alarmer d'une éventuelle prise de contrôle du globe par la Chine. On peut estimer aujourd'hui qu'on est proche d'un tel conflit armé.

Mais en laissant cette hypothèse de côté, on aperçoit un danger dans une toute autre direction. Le danger hypothétique de la Chine est en effet un danger classique de puissance étatique tentant de dominer plus loin que chez elle. Et plus loin que la Chine, il y a le reste du monde. Il existe cependant un autre danger qui est constitué de manière entièrement nouvelle. Il s'est en effet créée une classe d'occidentaux qui sont qualifiés "d'hyper-riches". Parmi eux, on compte des milliardaires comme Gates, Zuckerberg ou Soros. Mais aussi des institutions comme Vanguard ou BlackRock. Il s'agit de puissances industrialo-financières qui, depuis une dizaine d'années, pas davantage, ont perdu toute allégeance à quelque Etat que ce soit. La raison principale réside en ce que leur capital a cessé dêtre identifié dans la portée de nuisance d'un Etat donné. Ils n'ont plus aucun risque ni de saisie ni d'imposition.

Cette situation est totalement nouvelle.

Il faut bien remarquer de quoi il s'agit. Nous sommes passé du régime démocratique libéral, fondé sur l'équilibre des trois piliers, à celui d'un gouvernement qui s'est affranchi et du législateur et de son administration. Aujourd'hui, comme partout en occident américanisé, nous allons vers un gouvernement qui exécute les décisions d'une oligarchie d'hyper-milliardaires. Ces décisions sont actuellement transmises par les cabinets de conseil privés comme McKinsey.

Sur quels faits peut on dénoncer une telle trahison des gouvernements ?

Il suffit d'aborder l'histoire de l'actuelle tyrannie sanitaire depuis son origine. Faisons-le de manière simple et abrégée.

Lorsque la pandémie de Covid est déclarée, les cadres sanitaires d'Etat, un peu partout en occident, regardent avec mépris les menées de la Chine : confinement des populations, contrôles des individus, fermeture des transports et du commerce mondial. Toutes ces mesures sont tenues pour dangereuses et tyranniques. En France, les autorités gouvernementales sont à deux doigts de nous rejouer le coup du "nuage de Tchernobyl" qui s'est arrêté à la frontière à cause de l'anticyclone ...

Et puis en l'espace de quinze jours, tous les gouvernements prennent peur et enferment à leur tour toutes leurs populations, sauf quelques "travailleurs essentiels".

Si vous prenez le cas de la France, tout passe par un Conseil scientifique [6]. Il faut remarquer que ce "conseil" n'est pas issu d'un cabinet "à la McKinsey". Au contraire, il est composé de fonctionnaires déguisés en scientifiques comme son président Delfraissy. Le Professeur Raoult , nommé au Conseil scientifique, refuse d'y siéger. Il est lui-même fonctionnaire. Mais il est réellement un scientifique. Concluez. Par contre, tous ces siégeants du Conseil scientifique sont "en main" avec les laboratoires pharmaceutiques et des "institutions scientifiques" financées par la Fondation Bill & Melinda Gates. L'un de ses membres, le fonctionnaire Cauchemez, est un émissaire [9] d'un Centre de modélisation des épidémies de l'Imperial College de Londres, Centre entièrement financé par la Fondation Bill & Melinda Gates [10]. Et c'est justement sur la base de ses modélisations informatiques complètement fausses [11] que le Conseil scientifique de Delfraissy transmet à Macron l'ordre de Bill Gates : "Confinez immédiatement votre population". Cet ordre est communiqué à presque tous les gouvernements occidentaux qui l'appliquent. Parfois à leur manière, Mais tous - sauf la Suède - obéissent.

La responsabilité de la caste des hyper-milliardaires dans l'imposition de la tyrannie sanitaire

L'évocation de Bill Gates dans la crise épidémique a été faite dès le départ. La réplique a été unanime parce qu'elle était concertée. La presse lourde - qu'on appelle "main stream" en anglais, - a immédiatement et unanimement condamnées les "thèses complotistes". Cette unanimité avait été mise en place, :

  • par Bill Gates qui finance la presse lourde par centaines de milions de dollars ;
  • par Zuckerberg, le milliardaire [7] propriétaire de Facebook, qui avait préparé des firmes spécialisées dans le "fact-checking" ;
ces "firmes" qui, à côté de la presse lourde chargée de la propagande directe, sont chargées de pourchasser les "hérétiques" de la religion covidiste.

Il a fallu attendre les premières révélations de la manipulation sociale en cours lors de la dénonciation des origines de la pandémie [8] pour prouver au public berné que le "complotisme" était essentiellement la révélation de la vérité écartée par les mensonges de la propagande du covidisme et les assauts de son scandaleux "fact-checking". Malheureusement, beaucoup de gouvernements et de leurs services se sont tellement compromis dans les menées covidistes qu'ils sont encore incapables de faire marche arrière.

Mais, au bout du compte, s'il n'y a en effet aucun complot, c'est seulement parce que la caste industrialo-finanière possède depuis logtemps tout le pouvoir et qu'il s'agit d'un coup d'Etat de vingt ans au cours duquel le pouvoir politique est passé du peuple au gouvernement, puis subrepticement, du gouvernement à la caste industrialo-financière. Cette dernière est responsable à 100% de la pandémie et de son scandale. Les gouvernements ne sont plus que des laquuais qui leur sont soumis.

L'activisme de Gates

Pour comprendre la stratégie de Bill Gates et de ses complices de la caste des hyper-milliardaires, il faut remonter à son début dans la "philanthropie". Il n'est nullement l'inventeur de cette "philanthropie". Elle était déjà inventée par des Ford ou encore des Rockfeller et bien d'autres. Ce que Bill Gates a inventé, c'est un concept développé par un héritier de Henry Kissinger, Klaus Schwab, le propriétaire du Forum de Davos. Cet individu a inventé le concept du partenariat public - privé. Et c'est Bill Gates qui, le premier, l'a mis en oeuvre.

L'idée de Gates se fonde sur une croyance : toutes les grandes maladies du monde peuvent être combattues par la vaccination. Pas forcément la vaccination historique, mais par l'injection d'un produit biologique, génétique même, qui permet de générer dans le corps humain de quoi combattre la maladie avant qu'elle ne soit déclenchée. Le résultat est que il n'y a plus besoin ni de médecins ni d'hôpitaux, plus besoin de services de santé. De quoi comprendre pourqouoi quelques années le gouvernement français ferment les hôpitaux, détruit les lits d'hôpitaux, décourage le personnel soignant par des règles absurdes, des salaires miséreux, et l'interdiction du recrutement par les numerus clausus notamment. Non, le système de santé publique devient "obsolète". Selon Bill Gates, il suffit de prévoir des structures mondiales de vaccination systématique des humains. Comme il faut commencer par quelque chose, Gates commence par l'éradication de la polio dans le Tiers-Monde. Pour atteindre cet objectif, il fonde une ONG, GAVI. Et plusieurs autres, comme CEPI pour les épidémies. Mais, la technique de l'ONG n'est pas bien adaptée pour déclencher une campagne de vaccination du moins à l'échelle envisagée. Gates applique l'idée de Schwab et de son Forum de Davos de faire un partenariat public - privé.

A cette fin, il forme une ONG pour porter le projet et la dote largement. Jamais moins d'un milliard de dollars et il ouvre l'ONG à tous ceux capables d'apporter chacun au moins un milliard. L'effet de levier, si vous voulez. Quelques milliardaires suivent. Quelques Etats aussi comme l'Inde. Et le projet s'exécute selon les objectifs de Bill Gates. Il s'agit exactement d'un partenariat public - privé.

Dans le cas de la vaccination, il faut savoir que Gates ne se limite pas à former des ONG - qui ressemblent bigrement à des entreprises privées avec des capitaux d'Etat. Il devient propriétaire ou au moins actionnaire de référence de nombreuses firmes pharmaceutiques. Il est actionnaire de Pfizer et une des salariés de sa Fondation est actuellement Vice-Présidente de Pfizer [12]. Mais il est aussi investi chez Gilead et bien d'autres. Auprès d'autres firmes pharmaceutiques comme Moderna, il négocie des droits spéciaux comme des droits de brevets qu'il possède. De ce fait, son business et sa philanthropie se renforcent. Il détient à la fois le vendeur et l'acheteur !

Et Gates n'a plus rien à redouter. Ce qu'il pense, il ne le dit pas. Il le fait quoi que vous en pensiez, que vous fussiez peuple, gouvernement ou administration. Et Gates ne se limite pas à la "santé publique" et aux "épidémies". Il s'occupe également d'alimentation humaine et d'énergies [13]. Et probablement d('autres choses. Mais tout ceci est une autre affaire.

Le déploiement de l'activisme de Gates dans la politique sanitaire française.

L'action directe de Gates en France n'aurait aucun intérêt. En effet, la France a cédé le droit d'acheter des vaccins à la Commission de Bruxelles. Or, la Commission est présidée par une certaine Von der Leyen. Cette dame est mariée à un sanitariste allemand qui dirige les centres qui ont réalisés les essais cliniques des vaccins Pfizer. Et le fils de cette dame est Directeur associé de la filiale allemande du cabinet de conseils McKinsey [14]. De ce même cabinet McKinsey à qui Macron a fait confier la mission d'organiser la vaccination forcée de la population française [15].

On peut remarquer que des spécialistes comme Raoult ou Perronne ont été délibérement écartés de la gestion de la crise sanitaire. Comme tous les fonctionnaires, ils ont en réalité été "débarqués" par le partenariat public - privé animé par Bill Gates avec d'une part des homme-liges comme la plupart des covidistes qui émargent sur les feuilles de paye de Gates et d'autre part par des salariés de Gates comme les membres du cabinet McKinsey, cette dernière entité seùmblant se placer comme un membre du partenariat initié par Gates.

On a noté parfois chez les covidistes une tentation de renvoyer les principes de la gestion de la crise pandémique à des normes sanitaires édictées par l'Organisation Mondiale de la Santé. Or, Bill Gates est le premier contributeur privé au budget de l'OMS, et le seciond de tous les contributeurs derrière les USA. Et plus encore, la plupart des experts de l'OMS appartiennent à des institutions médicales financées par sa Fondation. De ce fait, les covidistes ne peuvent pas écarter la direction de Gates dans leur gestion de la pandémie.

La gestion par Gates de la pandémie consacre une nouvelle ère où la politique des Etats nations est remplacée par l'idéologie profitable des hyper-milliardaires.

Sortirons-nous de la pandémie ?

Nous l'espérons tous. En effet, SARS-CoV-2 semble vouloir se "dissoudre" dans le néant. Malheureusement, la caste des hyper-milliardaires a éprouvé lors de la crise des outils d'une efficacité remarquable pour soumettre les démocraties politiques d'une part et les peuples eux-mêmes d'autre part. Gates et ses amis n'ont aucune raison de relâcher leur emprise. Et de fait, on ne voit pas bien pourquoi le vainqueur abandonnerait ses conquêtes.

Mais, Gates et les hyper-milliardaires renonceraient ils à poursuivre la crise sanitaire, qu'ils disposent de dix affaires capables de subjuguer la politique traditionnelle.

Les prochaines offensives de la caste des hyper-milliardaires

Les hyper-milliardaires ont travaillé sur plusieurs autres offensives actuellement quelque peu en sommeil "grâce" à la crise sanitaire. L'affaire suivante pourrait être un retour de la stupide forgerie du "réchauffement climatique". La plupart des outils utilisés lors de la crise sanitaire sont utilisables dans le traitement du "réchauffement climatique". Jusqu'au confinement des populations lors d'une canicule. Ou l'instauration d'un passe portant une allocation de droits dépendant du bilan énergétique de son porteur.

Des individus comme Gates sont prêts à prendre le contrôle des Etats lors d'une "crise fabriquée" liée au réchauffement climatique. La presse et les fact-checkers sont encore "chauds". Déjà Macron nous a annoncé un "retour" du nucléaire avec des réacteurs de "proximité" [16]. Cette technologie est un peu particulière. Elle appartient à Bill Gates [17]. Si Macron veut développer cette filière, il devra passer par Gates. Qui par dessous milite en faveur de l'extinction des autres centrales nucléaires, la promotion d'éoliennes incapables d'assurer une quelconque suffisance énergétique.

Il faut noter aussi que depuis trente ans, peut être plus, un autre hyper-milliardaire, Georges Soros, investit dans de nombreuses organisations dans deux domaines :

  • la subversion classique dans divers Etats qu'il semble tenir pour des cibles comme la Géorgie ou l'Ukraine, probablement la Russie et peut être aussi la Chine. Ces cibles ont pour caractéristiques d'être ausis des cibles de l'impérialisme d'2tat américain. ;
  • la subversion plus originale à l'intérieur même des démocraties occidentales par l'infiltration de la Justice [18] et l'agitation de divers mouvements nouveaux, "woke", "cancel culture", "Black lives matter", ... Cette subversion vise à renverser la politique américaine de l'intérieur d'une part et la politique notamment des états européens sous le contrôle des Etats-Unis, comme le Royaume-Uni ou la France, d'autre part.

Les Etats européens et les institutions communautaires ne semblent pas exclus du champ d'intérêt de Soros et de son mouvement. Ainsi, on sait que des magistrats européens sont recrutés alors qu'ils ont développé des liens de subordination au mouvement Soros. Personne en s'en émeut, mais de nombreuses décisions judiciaires prennent de plus en plus fréquemment un tour qui ne doit plus rien à la jurisprudence moyenne européenne [20].

L'ensemble des actions financées et contrôlées par Soros semble orientée par l'idéologie de l'Open Society dérivée d'idées philosophiques de Karl Popper, largement revues par le matérialisme typique des démocrates américains. Les liens de Soros avec le parti Démocrate se révèle notamment par sa propension à subventionner fortement ce parti [19]. Il en résulte que beaucoup des actions des firmes de Soros ressortent de partenariats public - privé entre lui et les "administrations démocrates" comme de celles d'Obama ou de Biden, à commencer par les révolutions "orange", mais aussi les agitations "woke", indigénistes, etc. On estime que toutes ces menées pourraient déboucher sur un blocage monumental de l'Histoire de l'occident américanisé ... Mais c'est une autre affaire de savoir quel avantage cherche à en tirer Soros..

Le monde d'après sera sans la politique ...

Les techniques de soumission de masse

Une autre offensive se découvre peu à peu. Il semble que, depuis quelques années, les gens de pouvoir se seraient aperçu que le recours à la loi ou aux normes édictées autoritairement, même par un Parlement ou par un gouvernement élu démocratiquement, ne serait pas aussi efficace qu'on l'imagine. Des moyens modernes permettraient d'obtenir plus efficacement la soumission de la population à des objectifs qu'une loi ou une norme aurait de la peine à atteindre. Il s'agit de l'emploi de techniques de manipulation psychologique, adaptées aux masses humaines [21]. Très clairement, cette ces manipulations de la psychologie des masses reposent sur la succession rapide de punitions et de récompenses, l'instillation de la peur puis de la joie, ces séquences étant répétées jusqu'à ce que l'ensemble de la population asservie se soit soumise à l'ibjectif fixé par les manipulateurs.

Lors de la crise sanitaire, on a connu des successions d'instillation de la peur de la maladie et de la mort, puis de la joie de la délivrance par le vaccin, et aussi les successions de sanctions sociales : confinements, privation de réunions, de déplacements, de travail, ces sanctions étant suivies de récompenses par la délivrance sélective d'autorisations comme le passe vaccinal ou d'autres objets connectés comme le crédit social. On peut mesurer le taux de soumission de la population française à plus de 90% s'il est mesurée par le taux de vaccination. On peut donc estimer que les techniques de manipulation psychologique de masse ont un grand avenir.

Elles présentent une particularité ! Elles sont profondément anti-démocratiques et même elles sont des atteintes aux institutions de la démocratie moderne que sont la Justice, la législation et l'exécution des lois.

Mais, il semble que les gens de pouvoir ont définitivement entérinée l'évanouissement de la politique. Dans une vidéo récente diffusée par la télévision publique qui prépare la ré-élection de Macron, on peut entendre Macron qui discute en souriant avec de jeunes lycéens de la crise sanitaire. L'un des jeunes évoque le fait que lui Macron à fait fermer 5.700 lits pendant la pandémie. Macron fronce le sourcil et sans se troubler fait "Ohoh! Vous êtes bien politisé, vous ! ..." [21] et il lui tourbne le dos. Dans son esprit, la fermeture des 5.700 lits n'est pas une décision politique. C'est une décision "scientifique" qui n'est pas ouverte au débat politique. Parce qu'il n'existe plus de politique !

Toute la crise sanitaire a démontré que l'ensemble des décideurs, souvent inconnus du public, édictaient des contraintes et des facilités de façon complètement indépendante de toute légitimité politique mais, par exemple "au nom de la Science". Le ministre de la santé a par exemple proféré qu'il était de son devoir de vacciner de force ceux qui ne le voulaient pas. Pour leur bien.

Cet évanouissement de la politique est en relation avec la montée des techniques de manipulation des masses par la peur et le plaisir, la sanction et la récompense.

Qui bénéficiera de la manipulation des masses ?

La réponse est simple : celui qui détient les moyens de manipulation. Et aujourd'hui, nous connaissons ces moyens de manipulation. Ce sont les grands médias modernes détenus par les hyper-milliardaires : Facebook, Google, YouTube, Apple, Twitter, PayPal, Amazon, ....

Les médias de masse traditionnels leur appartiennent aussi [22], mais leur règne est pratiquement terminé. De même les arts et la "culture", cinéma, musique, ... tout cela sera dans un proche avenir ... un passé oublié. L'intelligence artificielle sera chargée de saturer les gens d'émotions incomparablement plus violentes [23] que celles d'un concert de "rock" même sous amphétamines ... ou qu'un film d'action d'Arnold Schwarzenegger !...

Peut être pendant quelques générations Gates aura t'il encore besoin d'un Biden ou d'un Macron pour jouer la comédie de la démocratie et éliminer les derniers protestataires. Mais, déjà nous n'avons plus le pouvoir de choisir nos dirigeants. Macron a été choisi par la caste des hyper-riches, tout comme Biden.

Le mouvement du Great Reset

Il s'agit d'une initiative du Forum de Davos. Il faut ici donner trois moyens utilisés par le Forum de Davos pour atteindre ses objectifs :
  1. Davos réunit périodiquement l'ensemble des élites politiques, industrialo-financières et culturelles pour permettre de confronter les opinions des décideurs et des forces de la société civile et d'ouvrir des espaces de négociation pour former les partenariats public-privé qui sont décrits plus haut ;
  2. Davos forme des "promotions" de personnalités que les dirigeants de Davos évaluent comme les décideurs de demain : les Global Young Leaders. Merkel a été de la première promotion en 1992 alors qu'elle était totalement inconnue, même en Allemagne, Macron ou de Montchalin aussi. Ces "promotions" apprennent à coopérer entre elles et à participer aux objectifs du Forum de Davos.
  3. Davos a un nouvel objectif qu'il a formalisé dans un ouvrage : Covid 19 : The Great Reset. Juillet 2020. Dans son introduction Schwab et Malleret écrivent :
    At the time of writing (June 2020), the pandemic continues to worsen globally. Many of us are pondering when things will return to normal. The short response is: never
    Le Forum de Davos ne propose rien : il décide. Et sa décision, c'est d'opérer le "Great Reset".
... will we put into motion the Great Reset? Resetting is an ambitious task, perhaps too ambitious, but we have no choice but to try our utmost to achieve it. It’s about making the world less divisive, less polluting, less destructive, more inclusive, more equitable and fairer than we left it in the pre-pandemic era. ... mettrons-nous en marche la Grande Réinitialisation ? La réinitialisation est une tâche ambitieuse, peut-être trop ambitieuse, mais nous n'avons d'autre choix que de faire tout notre possible pour y parvenir. Il s'agit de rendre le monde moins diviseur, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que nous ne l'avons laissé à l'ère pré-pandémique.

Mais ce qui nous importe ici, c'est la simultanéité du mouvement du Great Reset et celui de l'évanouissement de la politique. Si Davos estime que le Great Reset s'applique à l'économie, la société, la géopolitique, l'environnement et la technique, il ne voit aucun évanouissement de la politique qui, pour eux, reste permanente depuis cinq siècles :

One of the great lessons of the past five centuries in Europe and America is this: acute crises contribute to boosting the power of the state. It’s always been the case and there is no reason why it should be different with the COVID-19 pandemic. L'une des grandes leçons des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises aiguës contribuent à renforcer le pouvoir de l'État. Cela a toujours été le cas et il n'y a aucune raison pour qu'il en soit autrement avec la pandémie de COVID-19.
(page 38/110)

Les promoteurs du mouvement politique du Great Reset estiment très certainement que la politique est le moyen naturel de contrainte du peuple. Il en résulte que le jeu démocratique est pour eux une sorte d'apparence qui permet à une oligarchie de régner sur le monde à son profit.

Je me suis longtemps demandé sur quel écrit pourrait-on démontrer une telle estimation. Je pense qu'il n'en existe pas. "Ils" sont suffisamment conscients pour ne pas risquer d'alarmer le public endormi. Il faut déduire cette estimation des faits. La diffusion des techniques numériques - l'informatique aujourd'hui, la cybernétique jadis - l'organisation du travail notamment avec des salaires et des revenus de travail juste suffisants pour maintenir une vie sociale minimale, la destruction progressiste de l'instruction publique et la mise hors d'état des études supérieures (wokisme, technicisation, spécialisation, ...) , la barbarisation de la culture occidentale progressive depuis les deux Guerres mondiales, et bien d'autres choses nous conduisent historiquement dans la voie de la décadence.

La réaction de l'oligarchie a été essentiellement d'accroître le contrôle social, confié originellement au pouvoir politique, mais de plus en plus à des organes privés détenus par l'oligarchie. Depuis trente ans, la réaction a pris un nouvel essor en décidant de jouer sur le chaos en créant l'instabilité géopolitique, et en détruisant les structures sociales fondées sur la liberté personnelle et les liens privés, familiaux et amicaux, mais aussi de plus en plus d'institutions autrefois contrôlés par l'Etat comme les académies, les théâtres, la musique, les beaux-arts, qui se trouvent attraites dans des mouvements délétères de cancel culture, de wokisme, ....

Le prochain mouvement est probablement en cours. Ce serait le Great Reset : le fait que notre économie, va probalement s'effondrer totalement, retourner à "zéro", le RESET. Déjà, le travail est devenu une rareté. Avec une épidémie probablement largement "fabriquée", "ils" ont été capables de nous contraindre à essayer une société dans laquelle personne ne travaille plus, ou très peu, une société dans laquelle seuls les commerces essentiels fonctionnent de façon réduite. Tout indique que cet état deviendra - si l'on se soumet à l'oligarchie réactionnaire - la règle commune. "Ils" ont les moyens de financer la dette des Etats qui, pour maintenir les populations en état de soumission totale, leur distribuera des allocations leur permettant d'assurer les consommations vitales.

Et si le régime hygiéniste déjà essayé avec la "covid" ne lui semble pas suffisant, l'oligarchie recourrera certainement à la farce du réchauffement climatique par exemple en imposant une réduction de la consommation énergétique de chaque individu à l'aide de permis accordés en fonction de critères de conformité sociale enregistrés dans le système de contrôle numérique des populations soumises. L'Etat pourrait se voir confier le rôle de punir les gens qui ne se soumettent pas au régime de contrôle. Ce qu'il a déjà fait lors de la "covid".

Déjà deux voies s'ouvrent :

  • la création de sociétés parallèles qui se constitueront en marge de la société resettée = cette tendance est illustrée par exempla par les idées de Louis Fouché en France, par certains milieux survivalistes aux Etats-Unis, ...
  • la levée de groupes révolutionnaires qui formeront des révoltes contre l'oligarchie = cette voie est actuellement sous forme infantile par les mouvements protestataires comme les Gilets Jaunes, les maifestations anti-passe, le mouvement des camionneurs canadiens, ... ;

Actuellement, l'immense majorité de la population occidentale - déjà rendue complètement impuissante par l'inculture et l'ignorance incroyable développée depusi cinquante ans et plus - s'est soumise très volontiers. Une minorité a été immédiatement alarmée par la dictature, puis par les divers éléments constitutifs du mouvement du Great Reset. On notera que des intellectuels écoutés, comme Michel Maffesoli, ou Michel Onfray, en France, ont plus ou moins à leur manière alertés l'opinion publique et, de fait, une minorité est très active dans la protestation. Il manque encore un événement pour jeter ces hommes encore debout dans la lutte contre l'oppression par l'oligarchie occidentale.

On peut remarquer un fait très caractéristique. La Chine a déjà depuis plusieurs années instauré un système de contrôle numérique de sa population en attribuant des points à un compte individuel géré par la téléinformatique et qui s'appelle le "crédit social". De nombreux auteurs en occident sont persuadés de la ressemblance entre les divers passes sanitaires , vaccinaux, green pass et autres avec cette démarche universellement reconnue comme oppressive. Mais, certains imaginent l'instauration d'une société occidentale à la "chinoise" Or, en Chine le catholicisme est coupé en deux : une Eglise patriotique est entièrement soumise au Parti Communiste Chinois, tandis qu'une autre Eglise dite "souterraine", s'est développée sous la persécution impitoyable des autorités chinoises. Eh bien le catholicisme occidental est en train de se diviser lui-même en deux Eglises : la première, animée par Pape François, s'est soumise à l'oligarchie occidentale, tandis que se constitue peu à peu une Eglise souterraine animée par des prêtres révoltés comtre l'oppression oligarchique [24].

Cette situation du catholicisme, devenu hélas marginal en occident à cause de son extraordinaire décadence, révèle la proximité du régime occidental avec celui de la Chine. Le Great Reset serait certainement une opération qui conduirait à la victoire d'un capitalisme réservé à l'oligarchie, qui imposerait un socialisme à la chinoise à la population soumise.


Notes et commentaires

[1] Parmi quelques utilisations :

[2] Grâce à l'urgence sanitaire le parlement a été suspendu et seulement convoqué par le gouvernement pour entériner des lois d'une perversité que tout le monde peut aujourd'hui admettre. Loin de se rebeller, le Parlement s'est livré à des génuflexions devant la tyrannie du gouvernement que ce dernier a fait bénir par le Conseil d'Etat et le Cosneil Constitutionnel. La situation "politique" est à peu près partout la même. Ce qui en est d'autant plus inquiétant.

[3] Sauf quelques décisions de tribunaux civils, Conseil d'Etat et tribunaux administratifs, autant qu'ils ont pu, ont favorisé la tyrannie du gouvernement. La même situation se retrouve en Allemagne où quelques très rares décisions critiquent la tyrannie hygiéniste locale. Ou encore au Portugal, en Italie ou en Bosnie.

[4] Le coup d'Etat du cabinet McKinsey est l'objet d'une excellente vidéo par Rémy de Juste Milieu sur youtube :

Le SCANDALE McKinsey : Macron, politique vaccinale et pognon de dingue

qui fait un excellent rapport sur le rôle des cabinets de conseil privés auprès de l'exécutif. Il donne les sources suivantes :

[5] La faillite de l'Etat français avait été actée notamment par François Fillon, premier ministre du catastrophique Nicolas Sarkozy. Lire par exemple : Fillon : "je suis à la tête d'un Etat en situation de faillite", Rédaction Europe1.fr 18h11, le 21 septembre 2007.

[6] "Le Conseil scientifique COVID-19 est un conseil de scientifiques mis en place le 10 mars 2020 permettant au gouvernement de disposer des dernières informations scientifiques afin de l’aider dans ses décisions. Il donne des avis sur l’état de la crise sanitaire et les mesures envisagées pour y faire face. Il a été officialisé par le décret du 3 avril 2020, sous le nom de comité de scientifiques constitué à titre de l’urgence sanitaire en application de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 d'urgence pour faire face à l'épidémie de Covid-19." Source page d'accueil du Conseil scientifique au 2 Février 2022.

[7] Pour comprendre la psychiatrie d'un hyper-milliardaire comme Zuckerberg, il suffit de lire cet article paru le 2 Février 2022 dans The Telegraph : Historic railway bridge will be dismantled to make way for Jeff Bezos's £360m superyacht, BOZTAS S - The Telegraph, 02/02/22. La destruction du pont historique est typiquement un autre exemple de partenariat public - privé. Pour comprendre un mécanisme d'escroquerie de partenariat public - privé, comme GAVI, lire ; Conte regala milioni nostri a Bill Gates. Ha deciso lui, da solo., Maurizio Blondet 5 Giugno 2020

[8] Lire par exemple dans la Revue C-Politix, 21.11.2020,Un lobby verrouille l'hypothèse d'une origine artificielle du SARS-CoV-2.

Cauchemez est issu du CRC de l'Imperial College

[9] On sait que Cauchemez a travaillé dans l'équipe de modélisation de l'Imperial College. Cauchemez a cosigné plusieurs articles scientifiques de Ferguson comme :

Financement de Ferguson par Gates.

[10] Le site de la Fondation Gates possède une base de données des subventions accordées par Gates. La base est interrogeable et, à la requête See "MRC Centre for Outbreak Analysis and Modelling - Imperial College London" in Committed Grants, la réponse est immédiate : "74 Grants found". Le total des subventions accordées à Ferguson par Gates de 2005 à 2022 s'élèverait à 448 804 169 USD, soit 450 millions de dollars.

[11] Lire dans la Revue C-Politix : 24.12.2021, Omicron et le problème de l'idéologie guidée par la Science.

[12] Lire par exemple Revue C-Politix, 17.07.2021, Les liens entre Pfizer et la galaxie Gates. Plus largement le rôle de Gates dans le contrôle de la pandémie Covid est mis en lumière dans l'étude : Corporate Charity – Is The Gates Foundation Addressing Or Reinforcing Systemic Problems Raised By COVID-19?, Rohit Malpani, Brook Baker & Mohga Kamal-Yanni dans Health Policy Watch News - 31/10/2020 .

[13] Gates dans l'alimentation et l'énergie :

Fabius et Von Der Leyen chez McKinsey.

[14] Lire :

[15] Lire par exemple :

les réacteurs nucléaires de Macron.

[16] Lire :

  • Que sont les SMR, ces mini-centrales nucléaires que veut développer Emmanuel Macron ?, Par Océane Herrero et Guillaume Guichard, Le Figaro, Publié le 04/10/2021
  • les réacteurs nucléaires de Gates.

    [17] Lire:

    [18] Lire par exemple :

    [19] Lire par exemple George Soros Pledges 'Unprecedented' $125 Million To Help Democrats Win In November, Tyler Durden - site ZeroHedge 28/01/22.

    [20] Lire Revue C-Politix, 29.01.2022, Quelques aspects de la manipulation des comportements sociaux lors de la Covid. Des gouvernements aux milliardaires.

    [21] Macron : « Vous êtes très politisé vous », Youtube, le 1er Février 2022.

    [22] La Fondation Bill et Melinda Gates a inscrit 4.014.512 USD de dons au groupe de presse Le Monde entre 2012 et 2019.

    [23] Lire What is the metaverse? Meaning explained, By Patrick Knox, The Sun, The New York Post, October 21, 2021.

    [24] Lire notamment : >a href="Senior Cardinal Warns Elites Ushering In "Total Control Surveillance State" Through COVID" target="blank">Senior Cardinal Warns Elites Ushering In "Total Control Surveillance State" Through COVID, Steve Watson - Summit News 15/12/21 . L'article qui analyse une déclaration du cardinal allemand Müller, évoque aussi les alertes de l'Archevêque Carlo Vigano et du Cardinal Robert Sarah.


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