Sur l'origine artificielle du pathogène OMICRON1 - Un état des lieux dans la pandémie SARS-CoV-2Jusqu'à il y a quelques semaines, on savait que, depuis la souche originale de Wuhan de décembre 2019, SARS-CoV-2 évolue "naturellement" pendant 5 à 7 semaines pour produire un nouveau variant. Au mois de décembre 2021, on découvre au Bostwana un nouveau variant que l'OMS va baptiser "Omicron". La surprise scientifique est que ce variant de SARS-CoV-2 comporte un nombre très élevé de mutations et particulièrement des mutations sur le gène S qui est l'origine de la protéine de pointe, "spike protein" [1]. Après avoir alerté de la dangerosité de ce variant, les autorités sanitaires ont été contrainte de reconnaître que s'il était beaucoup plus infectieux que les précédents variants, il est moins dangereux (en nombre d'hospitalisations ou de décès). Par ailleurs, on a appris que Omicron se met lui aussi à varier et on connaît au moins deux lignages BA.1 et BA.2. On a aussi craint sa recombinaison avec les variant précédents encore actifs dans certaines populations, pour former un nouveau virus recombinant dénommé Deltamicron. Il semble que même le recombinant ne soit pas très dangereux. Et beaucoup de pays se mettent à lever leurs mesures sanitaires. La vaccination par ailleurs, en France comme en Europe ,est à un plus bas depuis le début de la vaccination avec moins de 0,05% de la population vaccinée chaque jour (OurWordldinData). Le taux de vaccination ne permet certainement pas de couvrir les doses de rappel en cours. 2 - Une découverte surprenante au sujet de OmicronOr, depuis quelques jours, plusieurs observateurs ont fait des remarques assez surprenantes. Il semble que la littérature scientifique ait dégagée des particularités remarquables concernant le génome de Omicron. La première observation scientifique concerne le nombre anormal de mutations ainsi que leur placement dans le génome de Omicron par rapport aux précédents variants. La vitesse d'évolution de Omicron n'est pas compatible avec la génétique de SARS-Cov-2 issu de la souche de Wuhan.. La deuxième observation est que la localisation des mutations est étrange et ne semble pas pouvoir provenir d'une évolution naturelle. Ces mutations se trouvent concentrées sur une partie du gène nsp-14 et sur des zones particulières du gène S. Elles ne se répartissent pas au hasard. La troisième observation est que la plupart de ces mutations ne sont pas inertes : elles ont une fonction biologique déterminée, ce qui n'arrive jamais aussi souvent dans une évolution naturelle, au hasard. On doit l'identification de ces observations éparses dans la litétrature à trois observateurs : Sherryl Atkinsson, Igor Chudov et Will Jones. Or, ils ont identifié un auteur très particulier dans la littérature concernant la génétique des SARS-CoV-2 : l'américain Ralph Baric. 3 - On retrouve Ralph BaricRalph Baric est un biologiste qui s'est spécialisé notamment dans l'étude du génome des coronavirus. Il appartient à un groupe dominant dans la microbiologie. Ce groupe estime que, pour connaître un coronavirus, il faut lui appliquer des techniques de génie génétique notamment pour savoir comment pourrait-il devenir plus infectieux, ou plus léthal, ou mieux capable de provoquer telle ou telle maladie cardiaque ou tissulaire. Il s'agit de mettre en oeuvre des techniques microbiologiques dites de gain de fonction. Une deuxième direction de ce groupe de recherche est de mettre au point des vaccins spécifiques contre les coronavirus, et des vaccins qui sont prétendus capables de produire des anticorps, même pour des variants de coronavirus qui ne sont pas encore apparus. Le problème de ces recherches, c'est qu'elles ont à la fois les mêmes buts et utilisent les mêmes outils que les laboratoires de guerre biochimique. Les américains ont ainsi répandus dans la plupart des pays peu développés de tels laboratoires de guerre biochimique, batériologique et virale notamment [2]. Un récent rapport du Sénat américain en recense 587 de par le monde, sans compter les laboratoires installés déjà aux Etats-Unis. Il en existe au moins 28 en Ukraine dont une partie est tombée aux mains des envahisseurs russes. La chose a fait "bondir" une sous-secrétaire de Biden,Victoria Nuland, qui "tremblait" de savoir que ses armes bactériologiques allaient tomber aux mains des Russes !... La seule différence entre la recherche sur les coronavirus et celle sur les armes biochimiques est que la recherche sur les coronavirus attend qu'un pathogène apparaisse dans la nature pour offrir ses services quand les laboratoires de guerre bactériologique prévoient les méthodes pour répandre leurs pathogènes eux-mêmes. Sincèrement, la différence n'est pas grande ... Une simple fuite "accidentelle" d'un laboratoire. A Wuhan par exemple ... [3] Un autre point commun entre ces deux axes de recherche, c'est que leur financement est à la fois assuré par des fonds du gouvernement des Etats-Unis sous la supervision d'un gourou de biologie, le Dr Anthony Fauci, et par des investisseurs privés comme l'ONG EcoHealth Alliance. Ne posez pas la question de savoir pourquoi. C'est comme cela. Et personne d'ailleurs n'y trouve rien à redire. Surtout pas Biden dont le fils, Hunter, est copropriétaire avec plusieurs oligarques ukrainiens de sociétés d'exploitation des biolabs en Ukraine ... Toujours est-il qu'il est très difficile d'admettre une séparation entre la recherche "médicale" sur les coronavirus d'une part et la recherche d'armes biochimiques d'autre part. Pour revenir à Ralph Baric, il devient connu - un peu - du grand public en avril 2021, quand on découvre - certains spécialistes de biochimie du moins - que le génome de SARS-CoV-2 est radicalement le résultat d'un ingéniérie génétique. S'écroule le mensonge de l'origine zoonotique de SARS-CoV-2 à coup de pangolins et de marché aux poissons. Cependant, les soupçons publics se portent plus sur une improuvable "fuite accidentelle" d'un laboratoire chinois. et "oublient" l'origine artificielle évidente de SARS-CoV-2. On dénonce le rôle de l'Institut de Virologie de Wuhan et on découvre que cet Institut appartenant à l'Armée populaire de Chine, est en réalité financé par Anthony Fauci qui dirige les crédits fédéraux américains pour la recherche médicale et par un bizarre biologiste, Daszac, propriétaire d'une non moins bizarre ONG nouillaurquaise, EcoHealth Alliance [4]. C'est peu après d'apprendre cette information capitale, qu'on découvre qu'en plus, Fauci a organisé un transfert de technologie entre le laboratoire de Ralph Baric à l'Université de Caroline du Nord, et le laboratoire d'une spécialiste chinoise des coronavirus de chauve-souris, Zhen-Li Shi, de l'Institut de Virologie de Wuhan. ils ont publié plusieurs articles scientifiques et plusieurs brevets dès 2015, dans lesquels ils décrivent comment augmenter l'infectivité d'un coronavirus comme SARS-CoV-1 de 2003. Plusieurs codons du génome de SARS-CoV-2 sont décrits dans ces publications et n'ont été retrouvés dans aucun coronavirus naturel. 4 - OMICRON ne serait pas un variant naturel de SARS-CoV-2C'est en janvier 2022 qu'on fait un saut de plus dans l'histoire de la pandémie de SARS-CoV-2. On a vu que au moins trois indices scientifiques prouvent que OMICRON ne peut pas descendre génétiquement par évolution naturelle de précédents variants de SARS-CoV-2. C'est alors que les scientifiques découvrent un brevet de 2021, déposé après le début de la pandémie de SARS-CoV-2, au nom de Ralph Baric. Dans ce brevet, Baric et son équipe de recherche de l'Université de Caroline du Nord montrent comment augmnter l'infectivité et réduire la parthogénicité du coronavirus SARS-CCoV-2 en le faisant passer par des cultures de cellules de souris humanisées. Les codons modifiés de SARS-CoV-2 qui sont modifiés par l'ingéniérie génétique de Barix sont identifiés et définis. Il s'agit de deux mutations spécifiques sur le gène S de la protéine de pointe responsable de la plupart des affections tissulaires de la Covid-19, et un groupe variable de mutations du gène nsp-14 - ou partie de gène - de SARS-CoV-2 qui est responsable de sa réplicabilté renforcée. Ces mutations se retrouvent toutes dans OMICRON et elles portent la trace de l'origine par la culture des souris humanisées décrites par Baric dans son brevet. Toutes ces mutations ont été analysés dans la littérature scientifique sur OMICCRON (voir en notes la documentation). 5 - Comment le produit de l'ingéniérie génétique de Baric se retrouve t'elle dans la nature ?Il n'y a que deux solutions : ou bien il s'agit d'une fuite d'un laboratoire qui a mis en oeuvre l'enseigneemnt du brevet de Baric, ou bien Baric a participé au relâchement dans la nature de son pathogène à infectivité renforcée et pathogénicité réduite.Et les soupçons se portent alors sur un biolab au Bostwana qui srait la source de OMICRON en décembre 2021. Un biolab ? Mais lequel ? Et cette hypothèse se heurte à une autre information. Plusieurs diplomates étrangers en poste au Bostwana étaient dans les premiers malades détectés OMICRON. Ils ont pu apporter le pathogène d'un autre endroit. Comme on ignore leurs voyages à cette époque ... En saura t'on jamais plus ?
Documentation
Notes[1] Dans la revue C-Politix, lire :
[2] Dans la revue C-Politix, lire : 19.03.2022, La question des 'biolabs' américains en Ukraine - Observations [3] Dans la revue C-Politix, lire :
[4] Lire dans la recue C-Politix :26.02.2022, Une nouvelle insertion génique dans le gène S de SARS-CoV-2. |