Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé - Partie V
Les études scientifiques démontrent les dangers de la protéine de pointe et partant, de la vaccination Covid et son défaut d'efficacitéUn nombre remarquable d'études scientifiques ont déjà été publiées qui démontrent que le slogan des autorités sanitares et politiques - le vaccin Covid est sûr et efficace - est un mensonge. Nous allons présenter certaines de ces études. En effet, elles sont beaucoup trop nombreuses pour être toutes recencées dans un article comme le notre. Mais la sélection présentée ici est édifiante. 1 - Jiang et Mei, une étude sur le rôle du virus SARS-CoV-2 sur l'endommagement de l'ADNDeux chinois travaillant dans un laboratoire de l'université de Malmö, Suède, ont étudié [1] l'impact du virus SARS-CoV-2 sur le noyau des cellules humaines. Il faut noter que dans cet article il n'a pas été directement étudié des particules vaccinales. Mais, il a été découvert que des protéines de pointe entières ont été repérées dans des cellules humaines de culture. Et c'est leur action qui a été étudiée ici. Or cette étude a mis en évidence que la protéine de pointe lorsqu'elle a a traversée la membrane nucléique, et qu'elle a pénétrée le noyau y intervient directement sur le mécanisme nucléique de réparation de l'ADN humain lors de ses réplications. Il est donc démontré que, même si l'ARN de la particule virale ne s'intègre pas au génome humain, elle est susceptible de modifier la réplication de l'ADN ce qui peut avoir des conséquences encore plus graves qu'une inserttion génomique. De plus, Jiang et Miei ont démontré que la protéine de pointe complète dégradait un mécanisme V(D)J responsable de la construction du système immunitaire. Sur la question des vaccins, Jiang et Mei sont très nets : " En revanche, nos données fournissent des détails précieux sur l'implication des sous-unités de protéines de pointe dans la réparation des dommages à l'ADN, indiquant que les vaccins à base de pointes pleine longueur peuvent inhiber la recombinaison de V(D)J. Nos résultats fournissent des preuves que la protéine de pointe détourne la machinerie de réparation des dommages à l'ADN et la machinerie immunitaire adaptative in vitro. Nous proposons un mécanisme potentiel par lequel les protéines de pointe peuvent altérer l'immunité adaptative en inhibant la réparation des dommages à l'ADN. " (notre Traduction). 2 - L'étude de Ambati pourrait placer la firme pharmaceutique MODERNA à l'origine du pathogène SARS-CoV-2Dans cette étude [2], Ambati a découvert que le gène S du génome de SARS-CoV-2, apparu en décembre 2019 en Chine, contient une séquence qui se retrouve dans une séquence génétique définie dans un brevet américain de la société MODERNA [3] datant de 2016. Plus précisément, la séquence génomique contient un groupe d'acides aminés codés de la façon suivante :
Le problème que pose cette découverte qu'un brevet MODERNA contient une partie d'un gène qu'on retrouve dans le pathogène "naturel" SARS-CoV-2 provient du fait qu'il consiste en une fraction active du gène humain MSH3 et cette partie de 19 nucléotides est responsable de la plupart des cancers du colon ou du cancer des ovaires chez les humains. Ainsi, contrairement à ce que beaucoup d'ignorants français ressassent depuis qu'une partie de cette séquence a été repérée par Luc Montagnier en Février 2020, ces codes sont suffisamment longs pour être caractérisés et pour être rendus responsables d'un certain nombre de fonctions biologiques essentielles. Ici la liaison aux récepteurs ACE-2 de beaucoup de cellules humaines pour le code PRRA d'une part et pour la genèse de plusieurs cancers mortels pour l'être humain d'autre part. Ambati et ses collègues sont conscients de l'extrême gravité de leur découverte et ils n'en tirent aucune conclusion, appelant à de nouvelles études indépendantes :
On note ici aussi que l'étude ne porte absolument pas sur les vaccins Covid. Mais, encore une fois l'étude de Ambati met en cause une société de production d'un vaccin Covid à la fois :
3 - L'efficacité réelle des vaccins Covid dans l'étude RoöltgenDans un article [4] on étudie l'empreinte immunitaire, l'étendue de la reconnaissance des variants et de la réponse du centre germinal dans l'infection et la vaccination par le SRAS-CoV-2 humain. Il s'agit de vérifier en situation réelle qu'elle est l'efficacité des vaccins Covid.
La réponse de Roöltgen est que les anticorps vaccinaux sont différents des anticorps viraux et que les anticorps vaccinaux sont encore efficaces, même si c'est moins, pour les variants de SARS-CoV-2 souche origninale Wuhan-1. En réalité, Roöltgen confirme en vaccination réelle l'étude Thomas [5] qui, issue des essais cliniques de Pfizer, établissait que l'immunité vaccinale s'évanouissait dès la deuxième semaine après la vaccination. Roöltgen estime que le pic d'immunité est supérieur pour la troisième dose ou booster, mais qu'elle s'évanouit aussi en quelques semaines. L'étude de Roöltgen détermine une autre information essentielle :
Cette découverte vient ruiner la propagande vaccinale selon laquelle les particules vaccinales avec ARN disparaissaient au bout d'un jour après l'injection. Roöltgen en trouve de manière appréciable 60 jours après dans les noeuds lympatiques (LNs) où se situent les cellules germinales. Le corps du vacciné produit donc des protéines de pointe à l'aide de l'ARN vaccinal deux mois après la date d'injection. 4 - Covid-19 et Sida selon Zhen-Li Shi et le Wuhan Institute of VirologyA nouveau un article [6] qui ne concerne pas directement le vaccin mRNA ou ADN Covid, mais qui nécessairement indique que l'action de la protéine de pointe générée par les particules vaccinales doivent nécessairement produire les effets de la Covi-19 relevés par les auteurs de l'article scientifique. Cet article scientifique est rédigé par une équipe de virologues chinois dirigée par la patronne de l'Institut de Virologie de Wuhan, Zhen-Li Shi, dont un laboratoire est directement soupçonné d'être à l'origine de l'épidémie de SARS-CoV-2, peut être par une fuite accidentelle. L'étude chinoise a relevé des lymphocytopénies chez les malades de la Covid-19, et ont identifié un locus gp120 du gène S, le gène qui génère la protéine de pointe de SARS-CoV-2. Or gp120 est un gène caractéristique du VIH, le virus du Sida découvert par Montagnier et qui a été identifié comme la cause de la déficience immunitaire caractéristique du SIDA. En bref, le malade de la Covid-19, comme les sidéens, perd ses cellules T et son système immunitaire s'effondre. Igor Chudov [7] qui a révélé le premier la parution de l'article de Zhen-Li Shi, et qui a lui-même été malade de la Covid-19 - sans être vacciné - a donné les chiffres suivants:
Chudov a remarqué que au 28 Février 2022, le registre VAERS des effets adverses déclarés des vaccins contient 328 déclarations de lymphocytopénies sévères. L'existence de telles lymphocytopénies post-vaccinales indique que la protéine de pointe vaccinale produit elle aussi les dégats caractéristiques du SIDA. Mais, c'est un effet adverse rare et ces cas ne sont que fortuits : il n'a pas été démontré qu'ils étaient strictement provoqués par la vaccination, mais sont seulement survenus peu après la vacination Covid. Il faut noter que la modicité du nombre de lymphocytopénies dans le registre VAERS remonte à une sous-déclaration systématique en matière d'effets adverses de vaccins. Enfin, on ne sait rien des lynphocytopénies moins sévères ni de celles qui ne sont pas détectées. 5 - Intégration de l'ARN vaccinal par rétrotransciption dans le génome humain, selon l'étude de AldenLes auteurs de cette étude [8] ont travaillé sur des cultures de cellules humaines et leur ont inoculé des particules vaccinales du vaccin Pfizer :
Cette étude de Alden et alii ruine définitivement les slogans diffusés par la propagande des covidistes comprenant les agences étatiques qui ont distribués les vaccins Covid selon qui l'ARN du vaccin ne pouvait s'intégrer au génome ADN humain. Alden conclut :
Cependant, il faut noter que cette intégration nucléaire est réalisée in vitro et n'a pas été identifiée sur des individus vivants et injectés avec le vaccin Pfizer. Mais, d'autres études montrent une diffusion des particules vaccinales injectées par Pfizer dans le foie et des tissus semblables de sorte qu'il est certain qu'il s'en trouve dans chaque vacciné. De plus, il devient évident que une part plus ou moins grande des noyaux de ces cellules d'individus vaccinés sont le siège d'une modification du génome humain. C'est le cas des organes sexuels comme l'avait prévu des généticiens comme Alexandra Henrion-Caude [9], soulevant l'hilarité et la condamnation des "savants obsolètes" qui ont dirigé l'opération "Covid". Il en résulte que des modifications génétiques majeures pourraient intervenir et être transmise à la descendance humaine. à suivre Notes et commentaires[1] L'article de Jiang et Mei publié le 13 octobre 2021, est SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro, Hui Jiang,* and Ya-Fang Mei*, Viruses 2021,13, 2056. La Revue C-Politix a publiée deux articles sur cet étude scientifique :
[2] Il s'agit de l'article de AMBATI BK intitulé "MSH3 Homology and Potential Recombination Link to SARS-CoV-2 Furin Cleavage Site", publié le 21.02.2022 dans Frontier in Virology. [3] Il s'agit du brevet US 9,587,003 déposé le 4 Février 2016. En réalité, selon le dossier complet du brevet de MODERNA, la séquence génomique trouvée par Ambati et alii pourrait même être antérieure et remonter au 2 avril 2012. La séquence génomique fait partie d'un dépôt de plusieurs milliers d'unités génomiques qui appartiennent dorénavant à MODERNA. La séquence génomique identifiée par AMBATI et alii a été enregistrée aussi dans la grande base de données génétiques NCBI à l'url ........ où elle peut être retrouvée. [4] L'article est Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination , Katharina Roöltgen, Cell 185, 1-16, March 17, 2022. [5] Safety and Efficacy of the BNT162b2 mRNA Covid-19 Vaccine through 6 Months, par S.J. Thomas et alii in The New England Journal of Medicine, 27 Septembre 20221. [6] ACE2-independent infection of T lymphocytes by SARS-CoV-2, Zhen-Li Shi et al, Signal Transduction and Targeted Therapy, 11 mars 2022. [7] L'article de Z.-L. Shi et son équipe est signalé et analysé par I. Chudov, Sars-Cov-2 Kills T-Cells, Just Like HIV, 14 Mars 2022. [8] Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line, by Markus Aldén et alii, Published: 25 February 2022 in CIMB, Volume 44, Issue 3 . [9] Lire notre article Revue C-Politix, 10.03.2022, Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé - Partie II. Au sujet de la surveillance des études concernant les vaccins Covid, on peut lire :
... et en français, il existe surtout le site de Patrice Gibertie : https://pgibertie.com/ ainsi que le site https://www.francesoir.fr/. |