Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé - Partie V

Philippe Brindet - 16 Mars 2022
Suite de Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé - Partie IV

Dans la quatrième partie de cet article, on a décrit comment les chercheurs indépendants ont pu montrer combien le slogan de la propagande covidiste était faux. "Le vaccin Covid est sûr" disent-ils. Il ne l'est pas et les bases de données des effets adverses de vaccins tenus par les autorités sanitaires elles-même le prouvent. Malgré l'évidence, ces mêmes autorités sanitaires mentent effrontément jusque dans des études scientifiques. Les autorités politiques poursuivent leur agenda sur la base de ce mensonge.

Les études scientifiques démontrent les dangers de la protéine de pointe et partant, de la vaccination Covid et son défaut d'efficacité

Un nombre remarquable d'études scientifiques ont déjà été publiées qui démontrent que le slogan des autorités sanitares et politiques - le vaccin Covid est sûr et efficace - est un mensonge. Nous allons présenter certaines de ces études. En effet, elles sont beaucoup trop nombreuses pour être toutes recencées dans un article comme le notre. Mais la sélection présentée ici est édifiante.

1 - Jiang et Mei, une étude sur le rôle du virus SARS-CoV-2 sur l'endommagement de l'ADN

Deux chinois travaillant dans un laboratoire de l'université de Malmö, Suède, ont étudié [1] l'impact du virus SARS-CoV-2 sur le noyau des cellules humaines. Il faut noter que dans cet article il n'a pas été directement étudié des particules vaccinales. Mais, il a été découvert que des protéines de pointe entières ont été repérées dans des cellules humaines de culture. Et c'est leur action qui a été étudiée ici. Or cette étude a mis en évidence que la protéine de pointe lorsqu'elle a a traversée la membrane nucléique, et qu'elle a pénétrée le noyau y intervient directement sur le mécanisme nucléique de réparation de l'ADN humain lors de ses réplications. Il est donc démontré que, même si l'ARN de la particule virale ne s'intègre pas au génome humain, elle est susceptible de modifier la réplication de l'ADN ce qui peut avoir des conséquences encore plus graves qu'une inserttion génomique. De plus, Jiang et Miei ont démontré que la protéine de pointe complète dégradait un mécanisme V(D)J responsable de la construction du système immunitaire.

Sur la question des vaccins, Jiang et Mei sont très nets : " En revanche, nos données fournissent des détails précieux sur l'implication des sous-unités de protéines de pointe dans la réparation des dommages à l'ADN, indiquant que les vaccins à base de pointes pleine longueur peuvent inhiber la recombinaison de V(D)J. Nos résultats fournissent des preuves que la protéine de pointe détourne la machinerie de réparation des dommages à l'ADN et la machinerie immunitaire adaptative in vitro. Nous proposons un mécanisme potentiel par lequel les protéines de pointe peuvent altérer l'immunité adaptative en inhibant la réparation des dommages à l'ADN. " (notre Traduction).

2 - L'étude de Ambati pourrait placer la firme pharmaceutique MODERNA à l'origine du pathogène SARS-CoV-2

Dans cette étude [2], Ambati a découvert que le gène S du génome de SARS-CoV-2, apparu en décembre 2019 en Chine, contient une séquence qui se retrouve dans une séquence génétique définie dans un brevet américain de la société MODERNA [3] datant de 2016. Plus précisément, la séquence génomique contient un groupe d'acides aminés codés de la façon suivante :

5'-CTACGTGCCCGCCGAGGAG-3' (nt 2733-2751 of SEQ ID11652), such that the resulting mRNA would have 3'- GAUGCACGGGCGGCUCCUC-5', or equivalently 5'- CU CCU CGG CGG GCA CGU AG-3' (nucleotides 23547-23565 in the SARS-CoV-2 genome, in which the four bold codons yield PRRA, amino acids 681–684 of its spike protein). This is very rare in the NCBI BLAST database. 5'-CTACGTGCCCCGCCGAGGAG-3' (nucléotides 2733-2751 de SEQ ID11652), de sorte que l'ARNm résultant aurait 3'- GAUGCACGGGCGGCUCCUC-5', ou de manière équivalente 5'- CU CCU CGG CGG GCA CGU AG-3' (nucléotides 23547 -23565 dans le génome du SARS-CoV-2, dans lequel les quatre codons en gras donnent PRRA, les acides aminés 681 à 684 de sa protéine de pointe). Ceci est très rare dans la base de données NCBI BLAST.
Citation de l'étude de AMBATI et al.

Le problème que pose cette découverte qu'un brevet MODERNA contient une partie d'un gène qu'on retrouve dans le pathogène "naturel" SARS-CoV-2 provient du fait qu'il consiste en une fraction active du gène humain MSH3 et cette partie de 19 nucléotides est responsable de la plupart des cancers du colon ou du cancer des ovaires chez les humains. Ainsi, contrairement à ce que beaucoup d'ignorants français ressassent depuis qu'une partie de cette séquence a été repérée par Luc Montagnier en Février 2020, ces codes sont suffisamment longs pour être caractérisés et pour être rendus responsables d'un certain nombre de fonctions biologiques essentielles. Ici la liaison aux récepteurs ACE-2 de beaucoup de cellules humaines pour le code PRRA d'une part et pour la genèse de plusieurs cancers mortels pour l'être humain d'autre part.

Ambati et ses collègues sont conscients de l'extrême gravité de leur découverte et ils n'en tirent aucune conclusion, appelant à de nouvelles études indépendantes :

The presence in SARS-CoV-2 of a 19-nucleotide RNA sequence encoding an FCS at amino acid 681 of its spike protein with 100% identity to the reverse complement of a proprietary MSH3 mRNA sequence is highly unusual. Potential explanations for this correlation should be further investigated. La présence dans le SARS-CoV-2 d'une séquence d'ARN de 19 nucléotides codant pour un FCS à l'acide aminé 681 de sa protéine de pointe avec 100 % d'identité avec le complément inverse d'une séquence d'ARNm MSH3 propriétaire est très inhabituelle. Les explications potentielles de cette corrélation devraient être étudiées plus avant.
Citation de l'étude de AMBATI et al.

On note ici aussi que l'étude ne porte absolument pas sur les vaccins Covid. Mais, encore une fois l'étude de Ambati met en cause une société de production d'un vaccin Covid à la fois :

  • sur la fabrication d'un pathogène qu'on nous a présenté comme "naturel" alors que tout démontre qu'il ne l'est pas ; et
  • sur les intentions du fabricant d'un vaccin à ARNm qui, reprenant intégralement le code génomique du gène S de SARS-CoV-2 avec une modification dangereuse ProLine-1, comporte un gène de cancer breveté par son fabricant.

3 - L'efficacité réelle des vaccins Covid dans l'étude Roöltgen

Dans un article [4] on étudie l'empreinte immunitaire, l'étendue de la reconnaissance des variants et de la réponse du centre germinal dans l'infection et la vaccination par le SRAS-CoV-2 humain. Il s'agit de vérifier en situation réelle qu'elle est l'efficacité des vaccins Covid.

We investigated whether antibodies stimulated by mRNA vaccination (BNT162b2), including third-dose boosting, differ from those generated by infection or adenoviral (ChAdOx1-S and Gam-COVID-Vac) or inactivated viral (BBIBP-CorV) vaccines. Nous avons recherché si les anticorps stimulés par la vaccination par ARNm (BNT162b2), y compris le rappel à la troisième dose, diffèrent de ceux générés par une infection ou des vaccins adénoviraux (ChAdOx1-S et Gam-COVID-Vac) ou viraux inactivés (BBIBP-CorV).

La réponse de Roöltgen est que les anticorps vaccinaux sont différents des anticorps viraux et que les anticorps vaccinaux sont encore efficaces, même si c'est moins, pour les variants de SARS-CoV-2 souche origninale Wuhan-1. En réalité, Roöltgen confirme en vaccination réelle l'étude Thomas [5] qui, issue des essais cliniques de Pfizer, établissait que l'immunité vaccinale s'évanouissait dès la deuxième semaine après la vaccination. Roöltgen estime que le pic d'immunité est supérieur pour la troisième dose ou booster, mais qu'elle s'évanouit aussi en quelques semaines.

L'étude de Roöltgen détermine une autre information essentielle :

We performed in situ hybridization with control and SARS-CoV-2 vaccine mRNA-specific RNAScope probes in the core needle biopsies of the ipsilateral axillary LNs that were collected 7–60 days after the second dose of mRNA-1273 or BNT162b2 vaccination and detected vaccine mRNA collected in the GCs of LNs on days 7, 16, and 37 postvaccination, with lower but still appreciable specific signal at day 60 (Figures 7A–7E). Nous avons effectué une hybridation in situ avec des sondes RNAScope spécifiques à l'ARNm du vaccin SARS-CoV-2 dans les biopsies à l'aiguille centrale des LN axillaires ipsilatérales qui ont été collectées 7 à 60 jours après la deuxième dose d'ARNm-1273 ou BNT162b2 vaccination et vaccin et on a détecté de l'ARNm collecté dans les GC [cellules germinales] des LN [noeuds lymphatiques] aux jours 7, 16 et 37 après la vaccination, et avec un signal spécifique plus faible, mais toujours appréciable au jour 60 (figures 7A à 7E).

Cette découverte vient ruiner la propagande vaccinale selon laquelle les particules vaccinales avec ARN disparaissaient au bout d'un jour après l'injection. Roöltgen en trouve de manière appréciable 60 jours après dans les noeuds lympatiques (LNs) où se situent les cellules germinales. Le corps du vacciné produit donc des protéines de pointe à l'aide de l'ARN vaccinal deux mois après la date d'injection.

4 - Covid-19 et Sida selon Zhen-Li Shi et le Wuhan Institute of Virology

A nouveau un article [6] qui ne concerne pas directement le vaccin mRNA ou ADN Covid, mais qui nécessairement indique que l'action de la protéine de pointe générée par les particules vaccinales doivent nécessairement produire les effets de la Covi-19 relevés par les auteurs de l'article scientifique.

Cet article scientifique est rédigé par une équipe de virologues chinois dirigée par la patronne de l'Institut de Virologie de Wuhan, Zhen-Li Shi, dont un laboratoire est directement soupçonné d'être à l'origine de l'épidémie de SARS-CoV-2, peut être par une fuite accidentelle. L'étude chinoise a relevé des lymphocytopénies chez les malades de la Covid-19, et ont identifié un locus gp120 du gène S, le gène qui génère la protéine de pointe de SARS-CoV-2. Or gp120 est un gène caractéristique du VIH, le virus du Sida découvert par Montagnier et qui a été identifié comme la cause de la déficience immunitaire caractéristique du SIDA.

En bref, le malade de la Covid-19, comme les sidéens, perd ses cellules T et son système immunitaire s'effondre. Igor Chudov [7] qui a révélé le premier la parution de l'article de Zhen-Li Shi, et qui a lui-même été malade de la Covid-19 - sans être vacciné - a donné les chiffres suivants:

avant l'infection SARS-CoV-2 pendant l'infection SARS-CoV-2 Après l'infection Sars-CoV-2
Lymphocytes en %30.217.430.5
Lymphocytes en 103/µL1.981.202.09

Chudov a remarqué que au 28 Février 2022, le registre VAERS des effets adverses déclarés des vaccins contient 328 déclarations de lymphocytopénies sévères. L'existence de telles lymphocytopénies post-vaccinales indique que la protéine de pointe vaccinale produit elle aussi les dégats caractéristiques du SIDA. Mais, c'est un effet adverse rare et ces cas ne sont que fortuits : il n'a pas été démontré qu'ils étaient strictement provoqués par la vaccination, mais sont seulement survenus peu après la vacination Covid. Il faut noter que la modicité du nombre de lymphocytopénies dans le registre VAERS remonte à une sous-déclaration systématique en matière d'effets adverses de vaccins. Enfin, on ne sait rien des lynphocytopénies moins sévères ni de celles qui ne sont pas détectées.

5 - Intégration de l'ARN vaccinal par rétrotransciption dans le génome humain, selon l'étude de Alden

Les auteurs de cette étude [8] ont travaillé sur des cultures de cellules humaines et leur ont inoculé des particules vaccinales du vaccin Pfizer :

To determine if BNT162b2 enters human liver cells, we exposed human liver cell line Huh7 to BNT162b2. Pour déterminer si BNT162b2 pénètre dans les cellules hépatiques humaines, nous avons exposé la lignée de cellules hépatiques humaines Huh7 à BNT162b2.

Cette étude de Alden et alii ruine définitivement les slogans diffusés par la propagande des covidistes comprenant les agences étatiques qui ont distribués les vaccins Covid selon qui l'ARN du vaccin ne pouvait s'intégrer au génome ADN humain. Alden conclut :

In this study we present evidence that COVID-19 mRNA vaccine BNT162b2 is able to enter the human liver cell line Huh7 in vitro. BNT162b2 mRNA is reverse transcribed intracellularly into DNA as fast as 6 h after BNT162b2 exposure. [...] Our study is the first in vitro study on the effect of COVID-19mRNAvaccine BNT162b2 on human liver cell line. We present evidence on fast entry of BNT162b2 into the cells and subsequent intracellular reverse transcription of BNT162b2 mRNA into DNA. Dans cette étude, nous présentons des preuves que le vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 est capable d'entrer dans la lignée de cellules hépatiques humaines Huh7 in vitro. L'ARNm de BNT162b2 est transcrit intracellulairement en ADN aussi vite que 6 h après l'exposition à BNT162b2. [...] Notre étude est la première étude in vitro sur l'effet du vaccin ARNm COVID-19 BNT162b2 sur la lignée cellulaire du foie humain. Nous présentons des preuves de l'entrée rapide de BNT162b2 dans les cellules et de la transcription inverse intracellulaire ultérieure de l'ARNm de BNT162b2 en ADN.

Cependant, il faut noter que cette intégration nucléaire est réalisée in vitro et n'a pas été identifiée sur des individus vivants et injectés avec le vaccin Pfizer. Mais, d'autres études montrent une diffusion des particules vaccinales injectées par Pfizer dans le foie et des tissus semblables de sorte qu'il est certain qu'il s'en trouve dans chaque vacciné. De plus, il devient évident que une part plus ou moins grande des noyaux de ces cellules d'individus vaccinés sont le siège d'une modification du génome humain. C'est le cas des organes sexuels comme l'avait prévu des généticiens comme Alexandra Henrion-Caude [9], soulevant l'hilarité et la condamnation des "savants obsolètes" qui ont dirigé l'opération "Covid". Il en résulte que des modifications génétiques majeures pourraient intervenir et être transmise à la descendance humaine.



à suivre


Notes et commentaires

[1] L'article de Jiang et Mei publié le 13 octobre 2021, est SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro, Hui Jiang,* and Ya-Fang Mei*, Viruses 2021,13, 2056. La Revue C-Politix a publiée deux articles sur cet étude scientifique :

[2] Il s'agit de l'article de AMBATI BK intitulé "MSH3 Homology and Potential Recombination Link to SARS-CoV-2 Furin Cleavage Site", publié le 21.02.2022 dans Frontier in Virology.

[3] Il s'agit du brevet US 9,587,003 déposé le 4 Février 2016. En réalité, selon le dossier complet du brevet de MODERNA, la séquence génomique trouvée par Ambati et alii pourrait même être antérieure et remonter au 2 avril 2012. La séquence génomique fait partie d'un dépôt de plusieurs milliers d'unités génomiques qui appartiennent dorénavant à MODERNA. La séquence génomique identifiée par AMBATI et alii a été enregistrée aussi dans la grande base de données génétiques NCBI à l'url ........ où elle peut être retrouvée.

[4] L'article est Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination , Katharina Roöltgen, Cell 185, 1-16, March 17, 2022.

[5] Safety and Efficacy of the BNT162b2 mRNA Covid-19 Vaccine through 6 Months, par S.J. Thomas et alii in The New England Journal of Medicine, 27 Septembre 20221.

[6] ACE2-independent infection of T lymphocytes by SARS-CoV-2, Zhen-Li Shi et al, Signal Transduction and Targeted Therapy, 11 mars 2022.

[7] L'article de Z.-L. Shi et son équipe est signalé et analysé par I. Chudov, Sars-Cov-2 Kills T-Cells, Just Like HIV, 14 Mars 2022.

[8] Intracellular Reverse Transcription of Pfizer BioNTech COVID-19 mRNA Vaccine BNT162b2 In Vitro in Human Liver Cell Line, by Markus Aldén et alii, Published: 25 February 2022 in CIMB, Volume 44, Issue 3 .

[9] Lire notre article Revue C-Politix, 10.03.2022, Vaccins Covid. ARN et ADN. La propagande covidiste du régime occidental américanisé - Partie II.

Au sujet de la surveillance des études concernant les vaccins Covid, on peut lire :

  1. Robert W. Malone : https://rwmalonemd.substack.com/
  2. Igor Chudov : https://igorchudov.substack.com/
  3. Jessica Rose : https://jessicar.substack.com/
  4. Celia Farber : https://celiafarber.substack.com/
  5. Steve Kirsch : https://stevekirsch.substack.com/
  6. Merryl Nass : https://anthraxvaccine.blogspot.com/
  7. "Dr. Peter McCullough: Findings From Early COVID-19 Vaccine Studies Potentially Alarming", The Epoch Times, 8 Mars 2022, qui donne quelques aperçus sur les études de Röltgen et de Alden.

... et en français, il existe surtout le site de Patrice Gibertie : https://pgibertie.com/ ainsi que le site https://www.francesoir.fr/.


Revue C-Politix (c) 16 Mars 2022