Crise pandémique. Un nouveau documentaire de témoignageJe dois à un article de Liliane Held-Khawam [1] de connaître un excellent documentaire : 'Planet Lockdown'. Produit et distribué par un groupe d'activistes de la liberté, ce documentaire expose les témoignages d'une vingtaine de scientifiques et de médecins et aussi d'activistes tous unis contre ce qui fait le moteur de la crise pandémique : la volonté d'une caste de détruire l'humanité et ses valeurs pour produire une société de soumission, de contrôle et de peur. Je dois vous avertir que le film est long - 100 minutes - et extrêmement rapide - beaucoup d'interventions font moins de 10 secondes. La version sous-titrée en français est parfois difficile à lire. Cependant, l'anglais parlé dans le documentaire est le plus souvent très compréhensible. Le visionnage de ce documentaire est donc fatiguant et de plus, il est extrêmement inquiétant. J'y reviendrai. Parmi les français présentés se trouvent la généticienne Alexandra Henrion-Caude, l'économiste Liliane Held-Khawam et le Dr Louis Fouché. L'évêque catholique Athanasius Schneider intervient lui aussi. Interviennent des allemands, des suisses, des italiens, des anglais, dont le microbiologiste Mike Yeadon [2] et des américains. Que démontre 'Planet Lockdown' ?Losque les intervenants ont déroulés leurs observations et opinions, le spectateur est certainement convaincu que la crise pandémique est avant tout une crise terrible de civilisation : la civilisation démocratique, libertaire, de l'occident américanisé est en en train de s'effacer, laissant la place à un régime tyrannique de contrôle, de soumission et de peur. Comme preuve, le documentaire expose deux fraudes majeures de la pandémie : le confinement (Lockdown en anglais) et la vaccination. Le confinementLe confinement est une mesure policière sans aucun fondement épidémiologique, et qui n'a été prise pour cause d'épidémie contre aucune population depuis la nuit des temps [3]. Plusieurs intervenants ont remarqué que le confinement était une mesure disciplinaire prise par le directeur d'une prison lorsqu'il se passe un événement grave qui oblige à enfermer les prisonniers dans leurs cellules. Ces intervenants notent que le confinement qui a été ordonné contre les populations libres revenait à les considérer comme les prisonniers d'une prison dans laquelle se déroulait un événement "grave" : la pandémie. La vaccinationLe documentaire 'Planet Lockdown' insiste sur l'aspect expérimental de la vaccination covid. Notamment, Alexandra Hanrion-Caude et une biologiste américaine montrent la très dangereuse action des particules vaccinales sur l'enveloppe des cellules humaines, sur l'intervention dans le cytoplasme et les ribosomes et enfin sur l'activation par la protéine de pointe de dangereuses réactions immunitaires. Quel est le message de fond de 'Planet Lockdown' ?Le message de fond de 'Planet Lockdown' est certainement résumé par un avocat italien vers la fin du documentaire. Il est surtout illustré par un activiste américain et par le Dr Louis Fouché. L'homme qui puise au fond de son humanité doit se battre sans cesse pour la liberté dans les conditions éprouvantes de la pandémie. Si Louis Fouché et plusieurs activistes suisses insistent sur la solution pacifique qui consiste à se retirer du jeu social pour refonder une communauté locale réelle qui rejette l'oppression, d'autres intervenants insistent sur un combat contre l'oppression dans le cadre de la société actuelle notamment par la participation aux manifestations et à l'action judiciaire pour faire condamner toute atteinte aux droits de l'homme. On notera l'intervention forte de Vaclav Klaus, économiste et ancien président de la République Tchèque, ancien dissident du régime communiste. Pour lui, la lutte contre l'oppression covidiste est exactement la même que celle à laquelle il a participé contre le communisme. Selon lui, les mesures de distanciation sociale sont exactement celles mises en oeuvre sous le régime communiste : empêcher les gens de se relier ensemble pour qu'ils ne puissent jamais fomenter une révolution contre le communisme. Il estime notamment que la stratégie utilisée par le covidisme pour déconsidérer ses adversaires en les accusant de "propager un discours de haine" est exactement celui proféré par les soutiens du régime communiste contre les dissidents. Si j'osais traduire le message de fond de 'Planet Lockdown' à ma façon, je dirais qu'il faut assumer son devoir d'homme : dire la vérité et dénoncer le mensonge. Chacun doit le faire dans le milieu qu'il choisit : dans une communauté locale interpersonnelle comme le veut Louis Foucher, ou par l'action publique dans la société opprimée par la manifestation et l'action judiciaire comme le montre l'avocat italien. Très certainement comme les dissidents du régime soviétique illustrés par Vaclav Klaus. Quelques silences de 'Planet Lockdown'L'origine de la pandémieNous savons que sur ce sujet deux thèses s'affrontent. Selon la première, proférée sans aucune démonstration par le covidisme, le SARS-CoV-2 est un virus d'une chauve-souris passé par un animal intermédiaire, le pangolin qui l'a fait muter en un pathogène pour l'homme. Cette thèse est certainement sans fondement puisque deux ans après le début de l'épidémie, on n'a trouvé ni le patient "zéro", ni l'animal responsable. L'autre thèse se fonde sur la découverte que SARS-CoV-2 est radicalement un pathogène artificiel. Plusieurs Prix Nobel sont certains de cette situation : Montagnier, Baltimore, Lewitt, ... Plusieurs biologistes moléculaires l'on montré comme Dalgleish, Deignin, Claverie et Decroly, Lyons-Weiller, Alina Chan et Li-Meng Yan et beaucoup d'autres. Actuellement, on est presque certain de deux choses : le SARS-CoV-2 a été le produit d'une ingéniérie moléculaire de la Chine, et ces travaux ont été partiellement financés par les Etats-Unis qui ont aussi transféré à la Chine de telles techniques sous l'instigation de deux individus liés à la nébuleuse Gates, Fauci et Daszak. Une question agite les chercheurs et activistes. Savoir si l'épidémie partie de Wuhan pourrait être le produit d'une fuite accidentelle d'un laboratoire de virologie de Wuhan, d'ailleurs financé par Fauci et Daszak. De tout celà, 'Planet Lockdown' ne parle quasiment pas. Le rôle de la caste des hyper--milliardairesCette question est abordée par l'évocation timide de la participation de Bill Gates et de sa Fondation dans le mouvement covidiste. Si ses liens avec l'OMS sont bien évoqués, sa main mise sur les scientifiques covidistes n'est pas dénoncé et encore moins sa main-mise sur la propagande du régime par sa presse. Plus grave le rôle du WEF et de son dirigeant, l'allemand Klaus Schwab, s'il est seulement évoqué notamment par la technique politique du partenariat public - privé, n'est pas véritablement dénoncé. Il est vrai que le spectre à couvrir pour saisir l'étendue de la crise pandémique va de considérations politiques concernant la caste des hypermilliardaires, jusqu'à des questions de biologie moléculaire ou d'ingéirérie sociale. C'est très difficile à parcourir complètement. Les effets adverses des vaccins Covid'Planet Lockdow' se borne à démontrer - avec Alexandra Hanrion-Caude notamment, que le vaccin Covid menace les organes de l'homme ayant notamment - mais pas seulement - les fameux récepteurs ACE2, comme les gonades. Il n'évoque pas les effets adverses actuellement relevés et enregistrés dans les registres de déclarations de l'OMS (VigieAccess) américain (VAERS) ou européen (AME - EudraVigilance). Il ne note pas que les gouvernements se sont entendus pour ne pas rendre la vaccination obligatoire pour éviter d'avoir à indemniser les victimes de la vaccination, pour ne pratiquer aucune autopsie des décès suite à la vaccination Covid ( plus de 25.000 selon VAERS), ni aucune étude médico-légale des maladies déclarées (plus de 3 millions selon l'OMS). Mais, là aussi, l'effrayante diversité des aspects cartastrophiques de la politique sanitaire déroulée en occident américanisée est telle qu'il est difficile de tous les passer en revue, les démontrer et les dénoncer. La valeur documentaire de 'Planet Lockdown'Il est probable que la propagande covidiste passera sous silence les dénonciations implacables de 'Planet Lockdown'. Il faut donc - et c'est un DEVOIR d'homme - faire circuler le lien vers le téléchargement de ce documentaire et aider au financement de son producteur . Il est possible que les fielleux "fact-checkers", salariés par la caste des hypermilliardaires et les politiciens, se déchaîneront - s'ils n'ont pas déjà commencé - contre le documentaire, son producteur et ses intervenants. Il faut les défendre. Et regarder 'Planet Lockdown' comme une chance d'éveiller sa conscience dans un monde de peur, de contrôle et de propagande insensée. Notes et commentaires[1] L'article est : Le film Planet Lockdown est disponible, y c avec sous-titrage en français. janvier 16, 2022. Mme Held-Khawam intervient trois fois dans le film Planet Lockdown. [2] Mike Yeadon, ancine responsable de la Recherche du groupe Pfizer a immédiatement été en garde contre la technique de testage systématique de la population et a élevé des protestations argumentés contre le protocole de test RT-PCR mis au point par l'Allemand Drosten qui l'a fait adopter par l'OMS au niveau mondial. Lire notamment dans la Revue C-Politix :
[3] Le confinement a été utilisé à grande échelle une fois. Par l'Allemagne nazie essentiellement à l'encontre des Juifs et des Slaves, accusés de propager le typhus, à cause de leurs moeurs barbares. On pourra lire un article bien documenté de Patrice Gibertie sur son blog, LES RACINES HISTORIQUES DU FASCISME SANITAIRE, 15 janvier 2022. L'article porte comme sous-titre : "de l’hygiénisme anti polonais à l’imaginaire nazi, de la tuberculine à la tentation du modèle chinois…". Plusieurs auteurs ont déjà montré la parenté effrayante entre la politique sanitaire concertée en occident américanisée avec les méthodes nazies. La réaction s'est limitée à affirmer qu'un tel parallèle était absolument dégoûtant et pas grand monde n'ose plus se risquer à ce genre de parallèle. C'est dommage et cette réaction effarouchée de la covidocratie montre bien d'où leur vient l'inspiration. On notera que 'Planet Lockdown' fait ce parallèle de manière discrète lors de l'intervention d'une roumaine rescapée des camps de la mort nazie. |