OMS, le Traité sur les pandémies comme gouvernement mondial1 - La démission progressive des Etats-nations complètement ruinésDepuis le début de la pandémie de COVID-19, dont les causes et la gestion sont presque certainement criminelles, les Etats-nations n'ont de cesse que de céder leur contrôle sanitaire au sens le plus large possible à une structure internationale qui n'est qu'un partenariat public - privé [1] entre les forces obscures qui agissent derrière l'ONU et les intérêts des hypermilliardaires occidentaux menés par Bill Gates. Dans un article récent [2], sont décrits de nouveaux amendements au Projet de Traité OMS confiant à l'OMS le soin de décider des politiques sanitaires de chacun des Etats membres. La crainte des médecins est que l'Occident sous l'action de puissants partenariats public - privé, organisés au bénéfice des milliardaires de la pharmacie, ne vienne supprimer la relation de conseil entre le médecin et son patient, caractéristique de la médecine hippocratique, au profit de l'action d'organes supranationaux qui décident autoritairement de traitements décidés pour le patient sans conseil de son médecin. Ainsi de la vaccination qui perdrait son statut médical pour devenir une simple mesure politique à laquelle les populations mondiales d'hommes, de canards, de vaches, que sais-je encore, devront se soumettre à la seringue de techniciens pharmaceutiques auxquels les hommes comme les autres animaux sont présentés par des forces de police. 2 - Que recherchent les Etats qui veulent adhérer à ce projet de Traité ?Lorsque l'on analyse les actions des Etats prises à l'occasion de la pandémie de SARS-CoV-2, on peut dresser une liste des mesures sanitaires typiques de la santé publique comme arme anti-médicale :
on remarque que la plupart de ces dix mesures sont "synchronisées" à la fois sur les décisions de la Chine, des Etats-Unis et ensuite de l'OMS. Aucune de ces mesures n'a jamais soigné le moindre humain. On a même prouvé par des essais cliniques correctement exécutés [3] que ces mesures sont nuisibles à la santé humaine, produisant une gamme de maux allant de la psychiatrie aux cancers et aux accidents cardio-vasculaires favorisés. Mais en pratique, ces mesures on eut le "mérite" d'imposer une contrainte lourde à la population occidentale. Elles les ont habitué à un contrôle policier, souvent imité, mais réel. De fait, très peu d'occidentaux se sont rebellés ou ont contestées ces mesures policières sans aucune visée thérapeutique. Et il semble que les politiciens aient été enchantés de découvrir des moyens nouveaux de contraindre leurs populations à des attitudes sociales conformes à des règles dont la stupidité remforce leur autorité. Malheureusement, ces politicens sont tous des démocrates. Et ils savent que le régime politique occidental mêlant les ruines de la République avec une corruption de la démocratie ne les mets pas à l'abri d'un revers politique majeur. La stratégie développée semblerait celle de faire glisser la souveraineté politique du peuple national - y compris dans les Fédérations comme l'Allemagne ou les USA - vers des instances inetrnationales comme l'OMS ou privées comme le WEF. Toutes ces instances présentent la particularité de mélanger politiciens et entreprises privées multinationales que ce soit à l'OMS ou au WEF. Il existe bien entendu d'autres structures internationales comme l'UNESCO ou l'OIM ou privées comme la Tricontinentale. En transférant la souveraineté de leur Etat vers ces structures non républicaines et non nationales, les politiciens trahissent leur engagement politique républcain et démocrate national. Mais, ils n'en ont cure parce qu'ils sont protégés par le système. De temps à autre, l'un ou l'autre de ces politiciens "tombe", comme la Vice-Présidente du Parlement européen emportée dans l'affaire du Quatar Gate. Mais, c'est juste un accident qui ne trouble pas vraiment le plan établi par personne, mais vers quoi tous les politiciens tendent. Non pas parce qu'ils ont adhéré à une "conjuration" quelconque, mais tout simplement parce qu'ils ont été recrutés et sont maintenus à leurs postes politiques dans ce but. 3 - Le but du projet de Traité OMS sur les PandémiesLe Conseil de l'Europe écrit sur sont site :
Le Ministère des Affaires étrangères français écrit sur son site :
Et enfin, l'OMS écrit sur son site :
Il s'agit d'un torrent d'absurdités proférées avec un ton convaincant. Nul doute que les lecteurs non attentifs se laisseront berner par les ronronnades des politiciens et des sanitaristes. Mais, leur référence constante à la catastrophe sanitaire Covid-19, entièrement provoquée par l'OMS et par les politiciens unis aux financiers de la pharmacie, maintenant que le public en occident commence à accéder aux véritables informations, devrait alerter les peuples et les pousser à protester contre le Projet. Malheureusement, la course de vitesse est probablement en faveur de l'OMS et des financiers, les politiciens étant consentants à ce Traité sur la prévention des pandémies qui est une erreur monumentale au point de vue scientifique. Par exemple, le projet de Traité OMS agite la cause zoonotique des futures pandémies. C'est la thèse de l'origine naturelle de la Covid-19 telle qu'elle a été soutenue par les politiciens, les financiers et les sanitaristes jsuqu'à très récemment. Or, on s'est aperçu que même les politiciens, les financiers et les sanitaristes commencent à douter de cette origine "naturelle". On sait que SARS-CoV-2 est un coronavirus artificiel et qu'il s'est répandu en pandémie probablement à la faveur d'un accident de laboratoire. Cette erreur monumentale proférée par l'alliance OMS - politiciens - financiers devrait ruiner le Projet de Traité Pandémies. Devrait, seulement devrait ? 4 - La défense contre le projet de Traité OMS sur les pandémiesDe nombreux juristes et scientifiques s'élèvent contre ce Projet. Par exemple [4], le Dr. François Boyle, avocat des droits de l'homme, considère qu'un "coup d'État" contre les États-Unis sera mené en utilisant l'OMS comme "organisation de façade" si les États-Unis continuent d'être membres de l'OMS alors que deux de ses "traités" actuellement en attente sont adoptés. L'"accord pandémique" international actuellement en cours de négociation par l'OMS, et soumis à un vote dès mai, "mettra en place une toute nouvelle organisation internationale dotée du pouvoir d'émettre des ordonnances juridiquement contraignantes jusqu'au bout... à votre médecin de premier recours. », selon Boyle. Le militant des droits de l'homme Reggie Littlejohn a souligné qu'en vertu de l'accord, l'OMS pourrait potentiellement imposer des «vaccinations», des détentions en quarantaine et la censure des informations sanitaires dissidentes. Le biologiste Robert W. Malone [5] s'engage contre la ratification du Traité OMS Sur les Pandémies. Il va même plus loin en réclamant la sortie des Etats-Unis de l'OMS. Il relaye l'appel de Align Act campaign :« À moins que les États-Unis ne se retirent de l'OMS, nous serons liés par ce sur quoi une majorité de ses membres s'entendront, au détriment de notre souveraineté nationale et de nos libertés individuelles.» Selon Malone, l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dirigée par son directeur général, le Dr Tedros Ghebreyesus, le Parti communiste chinois qui les contrôle, et l'administration Biden négocient des accords qui permettraient à Tedros de dicter la politique de santé publique aux États-Unis et dans le monde. L'OMS y parviendrait via l'un ou les deux instruments qui obligeraient les États-Unis et les autres parties à l'OMS à se soumettre à tout ce que le directeur général de l'organisation considère comme une « urgence de santé publique de portée internationale » (USPPI) réelle ou potentielle. Idem, tout ce qu'il détermine est la réponse appropriée. 5 - Pourquoi l'OMS devrait triompherLe problème de l'opposition aux traités internationaux réside en ce que, dans la plupart des Etats occidentaux qui sont des Républiques, ces Traités Internationaux sont largement le domaine réservé des chefs d'Etat. Leurs Parlements, notamment, sont très peu placés dans la boucle d"élaboration, de négociation de ces Traités. Il en résulte que si le public n'entend parler que de vagues buts "humanitaires" à ces Traités internationaux, il n'a pas de raisons de protester. Protesterait-il que cela ne changerait pas grand chose. Les politiciens, dès lors qu'ils sont dans la mouvance du chef de l'Etat peuvent donc très facilement faire adopter leurs vues décrites au premier chapitre : contrôler les populations en dehors des règles républicaines et démocratiques. Les traités internationaux, et ceux avec l'OMS sont des moyens formidables de "contourner" les processus républicains. La démocratie n'y voit que du feu. Dommage pour l'humanité. Un Gouvernement mondial ? Plutôt un contrôle mondial des populations humaines. Quatrefages sur la volonté anglo-saxonne de destruction de la Russie : https://www.youtube.com/watch?v=TMLFGajmiOMNotes[1] Lire par exemple dans la Revue C-Politix :
[2] New WHO Amendments Creating A Global Regime In The Name Of Health, The Epoch Times, Dr. Sean Lin and Jacky Guan - 11/03/23. [3] Medical freedom threatened= New bill could grant Big Pharma the power to ban off-label drugs, J. Mercola relayé sur Life Site News, 14.02.2023. La même crainte est exprimée par le Dr Louis Fouché dans son récent ouvrage "Agonie et Renouveau du système de Santé", Exuvie Editions, 2022. [4] US must immediately withdraw from WHO to escape medical tyranny: international law expert, LifeSiteNews, E. Mangiaracina, 10.03.2023. [5] Withdraw U.S. from the WHO now! - by Robert W Malone MD, MS, 11/03/23 [ ] From FDA to MHRA: are drug regulators for hire?, Brittish Medical Journal, M. Demasi, 22/06/2022. |