Les hypothèses sur l'origine de l'épidémie COVID-19

Philippe Brindet - 28 Mars 2023

Il existe actuellement deux hypothèses sur l'origine de l'épidémie de SARS-CoV-2 :

  • une zoonose qui aurait trouvée un animal intermédiaire pour transmettre SARS-CoV-2 à l'homme ;
  • une fuite accidentelle de laboratoire - probablement à l'Institut de Virologie de Wuhan.

L'hypothèse de la zoonose

Il s'agit de la thèse officielle des américains et des chinois, puis de l'OMS qui en janvier 2021, s'est prudemment retirée de cette hypothèse appelant tout le monde à rechercher la vraie cause de l'épidémie. Dans cette thèse, une épidémie s'est déclarée parmi un premier réservoir animal, de la vie sauvage. Ici, la zoonose aurait frappée des chauve-souris d'Asie du Sud-Est. Le coronavirus infectant les chauve-sours serait passé dans une population d'animaux dont la biologie a fait évoluer le coronavirus infectant les chauve-souris en un pathogène capable d'infecter les cellules humaines. On a presque immédiatement désigné le pangolin, une espèce commune en Chine du Sud, où sa viande est vendue pour la consommation humaine.

Or, le premier patient infecté serait un travailleur chinois sur le marché aux poissons de Wuhan.

Le problème c'est que la viande de pangolin n'est jamais vendue sur un marché aux poissons mais dans les marchés traditionnels qui pullulent en Chine du Sud. Des activistes chinois, avant de disparaître dans les geôles du Parti Communiste chinois en Janvier 2020, ont contesté qu'il y eut jamais un pangolin sur le marché aux poissons de Wuhan.

Plus grave encore, on n'a jamais identifié le moindre pangolin infecté par SARS-CoV-2 où que ce soit. De même, d'ailleurs qu'aucun coronavirus qui infecta une chauve-souris et qui soit "ancêtre" de SARS-CoV-2. Tous les coronavirus qui infectent des chauve-souris sont tellement éloignés génétiquement de SARS-CoV-2 qu'il faudrait des miliers d'années pour qu'un pangolin fasse muter de tels coronavirus en SARS-CoV-2. A supposer qu'il en fut capable ce qui n'a jamais été démontré.

Or, l'hypothèse de la zoonose est tellement fausse, que ses tenants, le Parti communiste chinois d'un côté du Pacifique, et le groupe qui contrôle l'administration américaine, autour du redoutable Anthony Fauci, de l'autre, ont décidé de pourchasser tous ceux qui s'opposent à cette "origine naturelle" de SARS-CoV-2. En occident, ces opposants sont des "complotistes", et en Chine, ce sont des "anti-communistes" ...

Comme l'hypothèse de l'"origine naturelle" est fausse, radicalement fausse, ses tenants ont essayé de changer d'animal intermédiaire. On est passé du pangolin au vison. Aucun succès. Puis du vison, tout récemment, on est passé au ragondin. Sans aucune preuve autre que ce serait une "bonne" explication sur laquelle s'accorde "la communauté scientifique unanime". Ce qui est parfaitement faux.

L'hypothèse de la fuite accidentelle

Elle a été énoncée dès Février 2020 par de nombreux scientifiques. En France, le plus connu a été le Prix Nobel de médecine Luc Montagnier qui a analysé le génome de SARS-CoV-2 qui avait été publié par l'Institut de Virologie de Wuhan dès le début de janvier 2020. En Chine, on connaît la virologiste Li-Meng Yan. En quelques jours, Montagnier a été qualifié par la presse de crétin ignorant et complotiste et Li-Meng Yan a été contrainte de s'enfuir dans la communauté anti-communiste des chinois en Amérique. La plupart des scientifiques tenants de l'hypothèse de la fuite accidentelle se sont tus sous les coups de la Propagande ou ont été réduit au silence par la Censure.

La thèse de la fuite accidentelle a été pourtant soutenue par de très nombreux scientifiques comme le biologiste américain Ebright. Les citer tous serait une récitation fastidieuse. D'autant qu'ils ont été ostracisés. Depuis quelques mois, notamment aux Etats-Unis, plusieurs anciens hauts responsables de l'administration de la santé comme Redfield ou Collins, ont admis que l'hypothèse de la fuite d'un laboratoire, et plus probablement l'Institut de Virologie de Wuhan, était juste.

Malheureusement, la Chine refuse de révéler de véritables données objectives qui pourraient permettre de vérifier la justesse de l'hypothèse. Et il est très improbable que la situation évolue dans les prochaines années. La fuite d'un laboratoire, fut-il celui de Wuhan, n'est qu'une supputation.

La certitude écartée : le pathogène SARS-CoV-2 est une chimère artificielle

En réalité, des scientifiques comme Montagnier, Lyons-Weiler, Dalgleish, Lewitt, Baltimore, Yan, ... n'ont pas d'abord émis l'hypothèse d'une "fuite accidentelle" d'un laboratoire. Ils ont immédiatement reconnu que le SARS-CoV-2 ne pouvait pas être un pathogène naturel. La preuve la plus ancienne excipée a été le fameux site de clivage de la furine, à la liaison entre les deux sous-unités S1 et S2 du gène S, l'un des cinq gènes principaux de SARS-CoV-2. Le gène S de SARS-CoV-2 produit la protéine de pointe de la particule virale SARS-CoV-2. Equipée de cette molécule de pointe, SARS-CoV-2 se fixe assez facilement sur des récepteurs ACE2 présents à la surface des cellules humaines. Et le complexe PRRA qui se trouve sur le site de clivage de la furine, permet largement l'entrée de la particuler virale à travers l'enveloppe de la cellule infectée, permettant à la particule virale d'infecter le cytoplasme de la cellule et particulièrement, d'envahir les ribosomes qui se mettent alors à répliquer la particule virale en "lisant" son ARN. Ces particules virales répliquées sont alors expulsées de la cellule initialement infectée et l'infection gagne alors en charge virale.

Le problème, c'est que au point de vue biochimique, le complexe PRRA est probablement impossible à réaliser dans le gène S d'un coronavirus, fut-il de chauve-souris ou d'on ne sait quel pangolin. Il ne peut s'accrocher à la chaîne des acides aminés qui forment le gène S que par une intervention de génie génétique.

Cette découverte faite en janvier 2020 par une équipe indienne autour du biochimiste Pradhan établit définitivement le fait que SARS-CoV-2 est un pathogène artificielle. Et aujourd'hui, il existe peut être une cinquantaine d'autres complexes identifiés sur le génome de SARS-CoV-2 et qui sont des insertions "forcées" par génie génétique. Montagnier et son équipe en avait identifié 6, Lyons-Weiler, 2, Dalgleish 2, ....

Ces découvertes dès le mois de janvier 2020 ont été disqualifiées en Occident, par un groupe d'activistes qui se sont emparés de la politique sanitaire occidentale. Le seul argument opposé aux scientifiques qui identifiaient une origine artificielle à SARS-CoV-2 c'est que les "insertions" qu'ils identifiaient se retrouvent un peu partout, par exemple parce qu'elles sont trop courtes dans le génome pour faire sens. C'était un argument totalement idiot et les activistes comme Fauci, Daszac, et leurs affidés le savent parfaitement. Mais, la narration installée de l'épidémie ne peut admettre autre chose que SARS-CoV-2 est un virus naturel, issu de la nature sauvage dérangée par l'homme

Les hypothèses découlant de la certitude écartée

Si la diffusion de SARS-CoV-2 a été réalisée par un accident de laboratoire, c'est que SARS-CoV-2 est une réalisation de laboratoire. Et il est vrai qu'en 2015, Chen-Li Shi, la spécialiste des coronavirus "naturels" de chauve-souris à l'Institut de virologie de Wuhan cosigne avec Peter Daszac et Ralph Baric un article exposant comment réaliser un coronavirus artificiel qui ressemble comme deux gouttes d'eau à SARS-Cov-2. Or, en 2014, Obama sous la pression des scientifiques, a édictée une loi imposant un moratoire concernant les recherches en virologie qui utilisent la technique du "gain de fonction". Cette technique, développée dès 2000 par le microbiologiste américain Ralph Baric vise à accroîte l'infectivité ou la pathogénicité d'un virus. Sous l'égide de Anthony Fauci, Baric a alors transféré ses recherches de gain de fonctions dans plusieurs laboratoires, dont celui de Wuhan sur les coronavirus. Cet article est une preuve de cet accord de technologie entre les Etats-Unis et la Chine, dans le dos de certaines autorités et avec le soutien d'autres autorités.

De plus, Anthony Fauci, qui avait la main sur un certain nombre de fonds de subvention du gouvernement américain, a, dès cette époque, financé de nombreuses recherches en microbiologie notamment à l'Institut de Virologie de Wuhan et pour rendre le traçage des fonds plus difficile, Fauci a utilisé le relais d'une très opaque ONG américaine, Eco Health Alliance, dirigée par le zoologue britannique Peter Daszac.

Lors de l'année 2022, Fauci a été extrêmement attaqué, notamment au Sénat américain où il a été contraint de témoigner sous serment. Interrogé, notamment par le Sénateur Ran Paul, Fauci a nié farouchement que les financements US à Wuhan étaient destinés à des recherches sur des gains de fonction. Or, on sait qu'il a menti parce que l'objet des projets soumis à financement revendique clairement qu'il s'agit d'expériences de gain de fonction. Se défendant pied à pied, Fauci a dernièrement admis que si la diffusion de SARS-CoV-2 provenait d'une fuite de laboratoire, il s'agirait seulement d'une fuite accidentelle d'un échantillon d'un coronavirus naturel comme il y en a beaucoup de conservés à des fins scientifiques à l'Institut de virologie de Wuhan.

Fauci semble imaginer que personne ne sera en mesure de déterminer comment s'est produite la fuite de laboratoire à l'Institut de Virologie de Wuhan. Aussi, il est prêt à admettre une fuite, à condition qu'elle soit d'un coronavirus "naturel" ... Son problème, c'est que, dès le premier jour de la diffusion, SARS-CoV-2 porte la trace qu'il n'est pas naturel ... La défense de Fauci et ses affidés consiste donc à admettre la fuite accidentelle et à nier qu'elle soit autre chose qu'un coronavirus "naturel". Essayez de les incriminer pour celà ...

En réalité, il existe au moins trois autres hypothèses qui se fondent sur l'hypothèse très probable d'un pathogène artificiel.

  1. L'hypothèse d'une diffusion volontaire chinoise

    L'hypothèse d'une diffusion volontaire chinoise est assez faible. Nous avons les indices suivants :

    • Le patient "zéro" sur le marché aux poissons de Wuhan est un faux ;
    • L'adhésion de la Chine à la thèse fausse de l'origine naturelle sert à cacher son rôle dans la diffusion de SARS-CoV-2 ;
    • De nombreux athlètes de toues nations, ayant participé aux Jeux Militaires de Wuhan en Septembre 2019 ont présenté des signes de Covid-19, le fait étant nié par les autorités militaires de ces Etats pour éviter la réprobation de Pékin ;
    • Plusieurs Etats comme l'Italie (Turin), La France (Mulhouse), les Etats-Unis (Boston), ont des malades revenus de Wuhan ayant des signes de Covid-19 ou ayant des test PCR positifs a posteriori sur des prélèvements biologiques bien avant le mois de Décembre 2019 ;
    • Il y a suspiscion d'une épidémie dans un hôpital de Wuhan en Septembre 2019, suivie d'une fermeture de l'hôpital ;
    • Pékin a fait passer le contrôle de l'Institut de Virologie de Wuhan de l'Académie des Sciences de Pékin à l'Armée Populaire Chinoise ;
    • L'APC a fait immédiatement détruire les bases de données publiques de l'Institut de Virologie de Wuhan dès le début Janvier 2020 ;
    • Plsuieurs laboratoires militaires chinois ont travaillé sur des génomes artificiels proches de SARS-CoV-2, nommément ZX-21 et ZX-45 ;
    • Des activistes chinois, souvent disparus depuis, ont identifié des publications scientifiques de l'APC décrivant des expériences de diffusion de coronavirus "renforcés".

    Aucun de ces signes ne démontre une diffusion volontaire. Mais, l'implication de l'APC est un signe troublant de même que le calendrier de l'épidémie, à un moment de trouble avec les démonstrations de force de Pékin contre Taïwan. On note que le maximum des dommages provoqués par SARS-CoV-2 ont lieu en Occident américanisé, à l'exception du Pérou, du Brésil et de l'Afrique du Sud. Mais, cette occurrence peut provenir d'autres raisons. Toujours est-il que COVID-19 a permis à la Chine de prendre des mesures sociales de prétendue "lutte anti-épidémique" qui lui ont permis de renforcer le contrôle social de sa population et de mettre à genoux l'économie occidentale.


  2. L'hypothèse d'une diffusion volontaire par les services spéciaux américains

    Cette hypothèse est plus vraisemblable que celle de la diffusion chinoise. Mais, elle est aussi improuvée. On note les circonstances suivantes :

    1. Les services spéciaux américains ont installés plus de 400 laboratoires dévolues aux armes biochimiques et associées dans le monde. On les appelle les Biolabs. On en trouve en Ukraine, rn Géorgie et dans de très nombreux pays de l'ancien Tiers-Monde.
    2. La question de savoir si l'Institut de Virologie de Wuhan est un biolab américain, peut pêtre à son corps défendant, se pose. Il est financé par des agences américaines.
    3. Il existe de nombreuses épidémies, qui sont certainement issues de laboratoires militaires américains. La plus connue est celle qui diffuse la maladie de Lyme, qui remonte à des travaux réalisés par l'armée américaine aux USA. L'épidémie est actuellement mondiale. Les "spécialistes" affirment qu'elle est d'origine naturelle. Plusieurs épidémies de faibles amplitudes notamment en Russie méridionale seraient possiblement provoquées par des infestations américaines.
    4. Le gouvernement américain sous Trump a tenté d'accuser la Chine d'avoir causé l'épidémie. Puis, sous Biden et à la fin de Trump, l'Administration américaine s'en est tenue à la thèse fausse de l'origine natturelle. Très récemment, l'administration Biden est revenue, partiellement - par le FBI et la DEA - à l'hypothèse de la fuite de laboratoire chinois.

    Si l'hypothèse de la fuite accidentelle du laboratoire chinois de Wuhan s'avère vraie, l'implication des Etats-Unis peut être indiquée par deux choses :

    1. La présence à l'Institut de Virologie de nombreuses équipes de chercheurs américains, ou affiliés aux Américains ;
    2. La présence d'importants financements contrôlés par les américains, plus particuli-rement par les services spéciaux américains.

    La responsabilité des services spéciaux américains dans la provocation de la fuite du laboratoire de Wuhan est suspectable. Ils auraient pu utliser l'Institut de Virologie comme un "biolab américain" et diffuser le pathogène aussi bien par un "accident" - vaporiser un aérosol contenant SARS-CoV-2 dans le système de ventilation de l'Institut de Wuhan - que par un autre stratagème - par exemple pendant les Jeux Militaires de Wuhan, parmi les athlètes engagés et leurs accompagnateurs. Il faut reconnaître que la même suspicion pèse sur les services spéciaux chinois.


  3. L'hypothèse d'une diffusion volontaire par la nébuleuse Bill Gates

    L'idée que le "philanthrope" Bill Gates ait pu commettre le moindre forfait est tenue par le régime et ses affidés comme une abomination, immédiatement qualifiée de "complotiste". Or, à chaque fois que le régime a fait qualifier une information de "complotisme" et un opposant de "complotiste", à chaque fois, l'information s'est avérée vraie et l'opposant véridique. Il faut toutefois ici souligner que le terme de philanthropie appliquée à Bill Gates et à ses commensaux hypermilliardaires est un défi au bon sens. Le fruit d'une très vulgaire opération de relations publiques (PR operation, en anglais....)

    L'origine de la fortune de Gates - qui le fait évoluer entre la première et la quatrième place du classement Forbes des plus grosses fortunes privées depuis vingt ans - se trouverait dans le succès de sa société d'informatique Microsoft. C'est exact et incomplet. La mère de Bill Gates était en 1980 membre du Conseil d'administration de la multinationale IBM. Madame Gates Mère représentait les intérêts de la famille von Opel. L'origine familiale de la fortune de Gates existe donc. Le "truc" de Gates a été d'inventer une fondation "philanthropique" selon la loi fiscale américaine pour échapper à la lourde taxation des fortunes privées aux USA. Il a donc créée une Bill & Melinda Gates Foundation pour y abriter une partie visible de sa fortune. Et il a inventé un truc absolument génial : le projet de partenariat public - privé qu'il a fait valider et diffuser partout par une organisation mafieuse, le World Economic Forum, aussi connue sous le nom de Forum de Davos. Davos où le WEF tient annuellement une sorte de club Med pour milliardaires qui s'offrent comme attraction des cohortes de politiciens corrompus et de gens de média recherchant de l'influence.

    Bill Gates se moque d'être le plus riche ou pas. Son aventure est celle de la puissance. Il veut être plus puissant que les Etats, plus puissant que les politiciens. Il a choisi l'intervention "philanthropique"dans plusieurs secteurs qui lui paraissent susceptibles de lui conférer un pouvoir planétaire : la santé, la pharmacie, l'alimentation "naturelle" et artificielle, .... Il est indéracinablement installé à l'OMS, parce qu'il attribue la plus grosse part du budget de cet organisme mafieux - un de plus. Mais aussi, parce qu'il peut y faire nommer n'importe quelle autorité. Ou la faire débarquer.

    Bill Gates par ailleurs a tissé des liens extrêmement solides avec l'administration américaine. On connait les liens extrêmement proches qui attachent les grandes agences américaines comme le NIH, les CDC ou NIAIDS de Faucil à Bill Gates. Mais Gates a aussi des liens profonds avec le Parti Communiste chinois. Par exemple, le Directeur Général de l'OMS, l'Ethiopien Tedros, d'éducation britannique et chinoise, a été nommé par un accord entre la Chine et Bill Gates. Par le biais de ses partenariats public - privé comme GAVI ou COVAX - grâce à son contrôle capitalistique de nombreuses firmes de la santé et de la pharmacie - comme le géant américain Pfizer - Gates contrôle sensiblement la vaccination et la santé publique au moins en Occident. Il faut se souvenir que, dès le mois de Janvier 2020, les gouvernements occidentaux étaient tous convaincus que l'on sortirait de la pandémie de Covid-19 en vaccinant la planète entière avec des vaccins vendus par Bill Gates. Ces gouvernements adoptaient en pleine connaissance de cause une politique de santé publique, sans aucune justification scientifique ou médicale, mais qui avait été développée par Bill Gates à son avantage.

    Le rôle de Bill Gates comme donneur d'ordres sur le déclenchement de la pandémie peut parfaitement se superposer au rpole de l'Etat chinois et à celui de l'Etat américain. Il pourrait - et c'est le plus probable - ne pas exister d'organe central qui aurait prévu, développé un pathogène artificiel puis l'aurait diffusé par un moyen quelconque comme une "fuite de laboratoire". Simplement, les trois acteurs - Etat Chinois, Etat Américain et Bill Gates - se sont retrouvés en convergence à un moment donné pour que de manière non contrôlée, la pandémie se déclenche avec un plan fortement établi par Bil Gates pour "lutter" contre la pandémie.

    Le rôle de Bill Gates est parfaitement clair à partir du mois de Décembre 2019. A compter de cette date, les forces qu'il actionne ont imposé le mensonge de l'origine naturelle de la pandémie, les moyens de destruction sociale et politique de la société occidentale par les mesures de distanciation sociale, prévues pour "attendre le vaccin" dont Bill Gates contrôle à peu près tous les moyens de production et de distribution. Gates avait aussi préparé le contrôle de l'opinion publique, assurant la propagande par la corruption de la presse lourde que Gates paye largement, et exécutant une censure de l'opposition par des alliances notamment avec les agences de sécurité, notamment américaines et anglaises, et les "tenanciers" des réseaux sociaux, Google, FaceBook, Twitter, ...

    Avant la date de Décembre 2019, le rôle de Gates est clair au niveau de l'OMS, du WEF, des administrations sanitaires occidentales et chinoises, et il contrôle parfaitement la mise en place des moyens de diffusion de la pandémie et des politiques sanitaires qui conviennent à sa stratégie de puissance. Les actions de Gates convergent par exemple avec des plans à long terme du WEF tel qu'ils sont exposés dans le livre Covid-19. The Great Reset, de Schwab et Malleret, publié par le WEF en Juillet 2020, qui ne fait que reprendre des plans déjà révélés en 2010 par des auteurs comme Jacques Attali en France.

    Parmi les actes démonstratifs de Gates dans l'origine de la pandémie, on peut noter :

    • la participation active à l'EVENT 201 d'octobre 2019 où avec la John Hopkins Uni et la plupart des futurs acteurs de la crise Covid-19, Gates organise un jeu de rôle préparatoire de la pandémie ;
    • la participation directe à plusieurs réunions communes en Chine avec Collins patron de la US NIH et Fauci, patron de la US NIAIDS, réunions dévolues à la préparation d'épidémies.

    Gates est déjà passé à d'autres choses parmi lesquelles :

    • la confiscation des politiques de santé en matière de préparation des épidémies au profit de l'OMS ;
    • la suppression progressive de l'alimentation traditionnelle au profit d'une alimentation artificielle ;
    • le développement de crises climatiques perpétrées contre l'espèce humaine.

Saura t'on la vérité ?

Il est possible que Oui. En France des livres récents comme celui de Pierre Chaillot, ou celui de Alexandra Henrion-Caude, qui sont des best-sellers, contribuent à éclairer l'opinon publique pourtant encore largement soumise à la propagande et malgré la censure. Dans d'autres pays occidentaux, même certains politiciens commencent à douter de la politique sanitaire expolitée. C'est le cas en Grande-Bretagne (Andrew Bailey), en Allemagne (ministre Karl Lauterbach), Etats-Unis (sénateurs Paul et Johnson), ... Les doutes portent aussi bien sur les mesures d'atténuation de l'épidémie que sur les bénéfices et les effets adverses des vaccins, à ARN notamment.

Mais, de côté des autorités, il y a le maintien de la censure et de la propagande. Par exemple, alors même que les autorités sanitaires admettent que les vaccins Covi ne prot-gent ni de l'infection, ni de la transmission, les soignants non-vaccinés qui avaient été immédiatement suspendus ne sont toujours pas ré-intégrés. Aux Etats-Unis, aucune victime des vaccins n'a été reconnue par les autorités. Elles n'ademttent qu'une vague suspicion de rares myodardites. En France, la situation est identique et les slogans - comme "le vaccin est sûr et efficace" - tiennent lieu de connaissance scientifique.

A quoi servirait la vérité ?

La simple diffusion de la vérité permet de ruiner la réputation du régime politique qui a imposé une politique sanitaire ruineuse de la santé, de la culture et de l'économie. Mais, "ruyiner la réputation" n'assurera ni la réparation des torts, ni la sanction définitive des responsables de la catastrophe de la Covid-19. D'autant que les systèmes judiciaires occidentaux sont majoritairement aux ordres du régime. C'est le cas en France du Conseil Constitutionnele qui a avalisé toutes les décisions du gouvernement et du Conseil d'Etat qui a rejeté tous les recours contre ces mêmes décisions du régime.

La situation est largement la même aux Etats-Unis - où cependant certains tribunaux civils ont rendues des décisions contestant les oukazes du régime - ou en Grande-Bretagne et en Allemagne. Elle est encore pire au niveau de l'Union européenne où la corruption par les entreprises pharmaceuriques et la nébuleuse Gates a atteint un plus haut historique dansl'Histoire de la corruption.

Si le régime occidental triomphe, la vérité n'aura servi qu'à alerté les consciences. Il serait souhaitable que, comme le régime soviétique s'est effondré à cause de ses mensonges, la vérité triomphera à son tour du régime occidental.





Références
  • Li-Meng Yan, "Unusual Features of the SARS-CoV-2 Genome Suggesting Sophisticated Laboratory Modification Rather Than Natural Evolution and Delineation of Its Probable Synthetic Route", 14 Septembre 2020;
  • Luc Montagnier, "WUHAN COVID-19 SYNTHETIC ORIGINS AND EVOLUTION", 1er Février 2020 ;
  • Luc Montagnier, "COVID-19, SARS and Bats Coronaviruses Genomes Unexpected Exogenous RNA Sequences", 1er Juin 2020 ;
  • Andersen, "The proximal origin of SARSCoV-2.", Nature, 17 mars 2020
    La fabrication de cet article faux a été révélé par la publication de mails sur décision de justice US, qui démontrent une entente entre le groupe d'activistes dirigé par Anthony Fauci et Peter Daszac pour tromper le public avec l'hypothèse invérifiée de l'origine naturelle de SARS-CoV-2.
  • Shen-Li Zhi, "A SARS-like cluster of circulating bat coronaviruses shows potential for human emergence", Nature, 9 Novembre 2015
    La revue Nature qui publie cet article de 2015 ajuute une Note le 30 mars 2020 indiquant de manière fausse que "Nous sommes conscients que cet article est utilisé comme base pour des théories non vérifiées selon lesquelles le nouveau coronavirus causant le COVID-19 a été conçu. Il n'y a aucune preuve que cela soit vrai; les scientifiques pensent qu'un animal est la source la plus probable du coronavirus.". La Note est encore lisible sur le site de Nature le 22 Mars 2023.
  • Dans la Revue C-Politix :

  • Revue C-Politix (c) 28 Mars 2023