Les hypothèses sur l'origine de l'épidémie COVID-19Il existe actuellement deux hypothèses sur l'origine de l'épidémie de SARS-CoV-2 :
L'hypothèse de la zoonoseIl s'agit de la thèse officielle des américains et des chinois, puis de l'OMS qui en janvier 2021, s'est prudemment retirée de cette hypothèse appelant tout le monde à rechercher la vraie cause de l'épidémie. Dans cette thèse, une épidémie s'est déclarée parmi un premier réservoir animal, de la vie sauvage. Ici, la zoonose aurait frappée des chauve-souris d'Asie du Sud-Est. Le coronavirus infectant les chauve-sours serait passé dans une population d'animaux dont la biologie a fait évoluer le coronavirus infectant les chauve-souris en un pathogène capable d'infecter les cellules humaines. On a presque immédiatement désigné le pangolin, une espèce commune en Chine du Sud, où sa viande est vendue pour la consommation humaine. Or, le premier patient infecté serait un travailleur chinois sur le marché aux poissons de Wuhan. Le problème c'est que la viande de pangolin n'est jamais vendue sur un marché aux poissons mais dans les marchés traditionnels qui pullulent en Chine du Sud. Des activistes chinois, avant de disparaître dans les geôles du Parti Communiste chinois en Janvier 2020, ont contesté qu'il y eut jamais un pangolin sur le marché aux poissons de Wuhan. Plus grave encore, on n'a jamais identifié le moindre pangolin infecté par SARS-CoV-2 où que ce soit. De même, d'ailleurs qu'aucun coronavirus qui infecta une chauve-souris et qui soit "ancêtre" de SARS-CoV-2. Tous les coronavirus qui infectent des chauve-souris sont tellement éloignés génétiquement de SARS-CoV-2 qu'il faudrait des miliers d'années pour qu'un pangolin fasse muter de tels coronavirus en SARS-CoV-2. A supposer qu'il en fut capable ce qui n'a jamais été démontré. Or, l'hypothèse de la zoonose est tellement fausse, que ses tenants, le Parti communiste chinois d'un côté du Pacifique, et le groupe qui contrôle l'administration américaine, autour du redoutable Anthony Fauci, de l'autre, ont décidé de pourchasser tous ceux qui s'opposent à cette "origine naturelle" de SARS-CoV-2. En occident, ces opposants sont des "complotistes", et en Chine, ce sont des "anti-communistes" ... Comme l'hypothèse de l'"origine naturelle" est fausse, radicalement fausse, ses tenants ont essayé de changer d'animal intermédiaire. On est passé du pangolin au vison. Aucun succès. Puis du vison, tout récemment, on est passé au ragondin. Sans aucune preuve autre que ce serait une "bonne" explication sur laquelle s'accorde "la communauté scientifique unanime". Ce qui est parfaitement faux. L'hypothèse de la fuite accidentelleElle a été énoncée dès Février 2020 par de nombreux scientifiques. En France, le plus connu a été le Prix Nobel de médecine Luc Montagnier qui a analysé le génome de SARS-CoV-2 qui avait été publié par l'Institut de Virologie de Wuhan dès le début de janvier 2020. En Chine, on connaît la virologiste Li-Meng Yan. En quelques jours, Montagnier a été qualifié par la presse de crétin ignorant et complotiste et Li-Meng Yan a été contrainte de s'enfuir dans la communauté anti-communiste des chinois en Amérique. La plupart des scientifiques tenants de l'hypothèse de la fuite accidentelle se sont tus sous les coups de la Propagande ou ont été réduit au silence par la Censure. La thèse de la fuite accidentelle a été pourtant soutenue par de très nombreux scientifiques comme le biologiste américain Ebright. Les citer tous serait une récitation fastidieuse. D'autant qu'ils ont été ostracisés. Depuis quelques mois, notamment aux Etats-Unis, plusieurs anciens hauts responsables de l'administration de la santé comme Redfield ou Collins, ont admis que l'hypothèse de la fuite d'un laboratoire, et plus probablement l'Institut de Virologie de Wuhan, était juste. Malheureusement, la Chine refuse de révéler de véritables données objectives qui pourraient permettre de vérifier la justesse de l'hypothèse. Et il est très improbable que la situation évolue dans les prochaines années. La fuite d'un laboratoire, fut-il celui de Wuhan, n'est qu'une supputation. La certitude écartée : le pathogène SARS-CoV-2 est une chimère artificielleEn réalité, des scientifiques comme Montagnier, Lyons-Weiler, Dalgleish, Lewitt, Baltimore, Yan, ... n'ont pas d'abord émis l'hypothèse d'une "fuite accidentelle" d'un laboratoire. Ils ont immédiatement reconnu que le SARS-CoV-2 ne pouvait pas être un pathogène naturel. La preuve la plus ancienne excipée a été le fameux site de clivage de la furine, à la liaison entre les deux sous-unités S1 et S2 du gène S, l'un des cinq gènes principaux de SARS-CoV-2. Le gène S de SARS-CoV-2 produit la protéine de pointe de la particule virale SARS-CoV-2. Equipée de cette molécule de pointe, SARS-CoV-2 se fixe assez facilement sur des récepteurs ACE2 présents à la surface des cellules humaines. Et le complexe PRRA qui se trouve sur le site de clivage de la furine, permet largement l'entrée de la particuler virale à travers l'enveloppe de la cellule infectée, permettant à la particule virale d'infecter le cytoplasme de la cellule et particulièrement, d'envahir les ribosomes qui se mettent alors à répliquer la particule virale en "lisant" son ARN. Ces particules virales répliquées sont alors expulsées de la cellule initialement infectée et l'infection gagne alors en charge virale. Le problème, c'est que au point de vue biochimique, le complexe PRRA est probablement impossible à réaliser dans le gène S d'un coronavirus, fut-il de chauve-souris ou d'on ne sait quel pangolin. Il ne peut s'accrocher à la chaîne des acides aminés qui forment le gène S que par une intervention de génie génétique. Cette découverte faite en janvier 2020 par une équipe indienne autour du biochimiste Pradhan établit définitivement le fait que SARS-CoV-2 est un pathogène artificielle. Et aujourd'hui, il existe peut être une cinquantaine d'autres complexes identifiés sur le génome de SARS-CoV-2 et qui sont des insertions "forcées" par génie génétique. Montagnier et son équipe en avait identifié 6, Lyons-Weiler, 2, Dalgleish 2, .... Ces découvertes dès le mois de janvier 2020 ont été disqualifiées en Occident, par un groupe d'activistes qui se sont emparés de la politique sanitaire occidentale. Le seul argument opposé aux scientifiques qui identifiaient une origine artificielle à SARS-CoV-2 c'est que les "insertions" qu'ils identifiaient se retrouvent un peu partout, par exemple parce qu'elles sont trop courtes dans le génome pour faire sens. C'était un argument totalement idiot et les activistes comme Fauci, Daszac, et leurs affidés le savent parfaitement. Mais, la narration installée de l'épidémie ne peut admettre autre chose que SARS-CoV-2 est un virus naturel, issu de la nature sauvage dérangée par l'homme Les hypothèses découlant de la certitude écartéeSi la diffusion de SARS-CoV-2 a été réalisée par un accident de laboratoire, c'est que SARS-CoV-2 est une réalisation de laboratoire. Et il est vrai qu'en 2015, Chen-Li Shi, la spécialiste des coronavirus "naturels" de chauve-souris à l'Institut de virologie de Wuhan cosigne avec Peter Daszac et Ralph Baric un article exposant comment réaliser un coronavirus artificiel qui ressemble comme deux gouttes d'eau à SARS-Cov-2. Or, en 2014, Obama sous la pression des scientifiques, a édictée une loi imposant un moratoire concernant les recherches en virologie qui utilisent la technique du "gain de fonction". Cette technique, développée dès 2000 par le microbiologiste américain Ralph Baric vise à accroîte l'infectivité ou la pathogénicité d'un virus. Sous l'égide de Anthony Fauci, Baric a alors transféré ses recherches de gain de fonctions dans plusieurs laboratoires, dont celui de Wuhan sur les coronavirus. Cet article est une preuve de cet accord de technologie entre les Etats-Unis et la Chine, dans le dos de certaines autorités et avec le soutien d'autres autorités. De plus, Anthony Fauci, qui avait la main sur un certain nombre de fonds de subvention du gouvernement américain, a, dès cette époque, financé de nombreuses recherches en microbiologie notamment à l'Institut de Virologie de Wuhan et pour rendre le traçage des fonds plus difficile, Fauci a utilisé le relais d'une très opaque ONG américaine, Eco Health Alliance, dirigée par le zoologue britannique Peter Daszac. Lors de l'année 2022, Fauci a été extrêmement attaqué, notamment au Sénat américain où il a été contraint de témoigner sous serment. Interrogé, notamment par le Sénateur Ran Paul, Fauci a nié farouchement que les financements US à Wuhan étaient destinés à des recherches sur des gains de fonction. Or, on sait qu'il a menti parce que l'objet des projets soumis à financement revendique clairement qu'il s'agit d'expériences de gain de fonction. Se défendant pied à pied, Fauci a dernièrement admis que si la diffusion de SARS-CoV-2 provenait d'une fuite de laboratoire, il s'agirait seulement d'une fuite accidentelle d'un échantillon d'un coronavirus naturel comme il y en a beaucoup de conservés à des fins scientifiques à l'Institut de virologie de Wuhan. Fauci semble imaginer que personne ne sera en mesure de déterminer comment s'est produite la fuite de laboratoire à l'Institut de Virologie de Wuhan. Aussi, il est prêt à admettre une fuite, à condition qu'elle soit d'un coronavirus "naturel" ... Son problème, c'est que, dès le premier jour de la diffusion, SARS-CoV-2 porte la trace qu'il n'est pas naturel ... La défense de Fauci et ses affidés consiste donc à admettre la fuite accidentelle et à nier qu'elle soit autre chose qu'un coronavirus "naturel". Essayez de les incriminer pour celà ... En réalité, il existe au moins trois autres hypothèses qui se fondent sur l'hypothèse très probable d'un pathogène artificiel.
Saura t'on la vérité ?Il est possible que Oui. En France des livres récents comme celui de Pierre Chaillot, ou celui de Alexandra Henrion-Caude, qui sont des best-sellers, contribuent à éclairer l'opinon publique pourtant encore largement soumise à la propagande et malgré la censure. Dans d'autres pays occidentaux, même certains politiciens commencent à douter de la politique sanitaire expolitée. C'est le cas en Grande-Bretagne (Andrew Bailey), en Allemagne (ministre Karl Lauterbach), Etats-Unis (sénateurs Paul et Johnson), ... Les doutes portent aussi bien sur les mesures d'atténuation de l'épidémie que sur les bénéfices et les effets adverses des vaccins, à ARN notamment. Mais, de côté des autorités, il y a le maintien de la censure et de la propagande. Par exemple, alors même que les autorités sanitaires admettent que les vaccins Covi ne prot-gent ni de l'infection, ni de la transmission, les soignants non-vaccinés qui avaient été immédiatement suspendus ne sont toujours pas ré-intégrés. Aux Etats-Unis, aucune victime des vaccins n'a été reconnue par les autorités. Elles n'ademttent qu'une vague suspicion de rares myodardites. En France, la situation est identique et les slogans - comme "le vaccin est sûr et efficace" - tiennent lieu de connaissance scientifique. A quoi servirait la vérité ?La simple diffusion de la vérité permet de ruiner la réputation du régime politique qui a imposé une politique sanitaire ruineuse de la santé, de la culture et de l'économie. Mais, "ruyiner la réputation" n'assurera ni la réparation des torts, ni la sanction définitive des responsables de la catastrophe de la Covid-19. D'autant que les systèmes judiciaires occidentaux sont majoritairement aux ordres du régime. C'est le cas en France du Conseil Constitutionnele qui a avalisé toutes les décisions du gouvernement et du Conseil d'Etat qui a rejeté tous les recours contre ces mêmes décisions du régime. La situation est largement la même aux Etats-Unis - où cependant certains tribunaux civils ont rendues des décisions contestant les oukazes du régime - ou en Grande-Bretagne et en Allemagne. Elle est encore pire au niveau de l'Union européenne où la corruption par les entreprises pharmaceuriques et la nébuleuse Gates a atteint un plus haut historique dansl'Histoire de la corruption. Si le régime occidental triomphe, la vérité n'aura servi qu'à alerté les consciences. Il serait souhaitable que, comme le régime soviétique s'est effondré à cause de ses mensonges, la vérité triomphera à son tour du régime occidental. RéférencesLa fabrication de cet article faux a été révélé par la publication de mails sur décision de justice US, qui démontrent une entente entre le groupe d'activistes dirigé par Anthony Fauci et Peter Daszac pour tromper le public avec l'hypothèse invérifiée de l'origine naturelle de SARS-CoV-2. La revue Nature qui publie cet article de 2015 ajuute une Note le 30 mars 2020 indiquant de manière fausse que "Nous sommes conscients que cet article est utilisé comme base pour des théories non vérifiées selon lesquelles le nouveau coronavirus causant le COVID-19 a été conçu. Il n'y a aucune preuve que cela soit vrai; les scientifiques pensent qu'un animal est la source la plus probable du coronavirus.". La Note est encore lisible sur le site de Nature le 22 Mars 2023.
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