Une pandémie fort à propos - Petite enquête impertinente (II)SUITE de Une pandémie fort à propos - Petite enquête impertinente (I) La réalité est contre la narration officielleA la narration officielle de la pandémie, évoquée dans la Première PARTIE, la réalité oppose un déni absolu :
1 - Pas de zoonose à l'origine de la pandémieRappelez-vous le slogan qui a couru pendant toute la pandémie, jusqu'à aujourd'hui : le coronavirus vient du pangolin qui a infecté un marchand au marché aux animaux vivants de Wuhan.C'est ce que les pédants qui nous occupent appellent l'origine zoonotique de la pandémie de SARS-CoV-2. 1.1 - Le pangolin est fauxLe premier fait qui fut - très difficilement - révélé, fut que le coronavirus SARS-CoV-2 ne pouvait pas provenir du pangolin. En effet, dans le fantasme écologiste de la zoonose, il faut un animal de transfert entre le réservoir naturel de SARS-CoV-2, la chauve-souris, et l'homme, il faut un animal qui soit capable de faire muter le coronavirus de chauve-souris en un coronavirus capable d'infecter l'homme. Or, le SARS-CoV-2 a un gène, le gène S qui produit la protéine de pointe du Sars-CoV-2 qui possède des sites spéciaux d'accrochage aux cellules humaines. Et les mutations du coronavirus du pangolin sont incapables de produire ces accrochages. Donc, l'origine de l'épidémie à cause des pangolins vendus dans un "marché aux animaux vivants" de Wuhan s'effondre. 1.2 - Le "marché aux animaux vivants" est fauxLe deuxième fait, qui est encore largement inconnu du grand public, est que la fable du "marché aux animaux vivants" provient d'un groupe extrêmement puissant de zoologues qui possèdent leurs entrées au Parti Communiste Chinois et qui, pour son compte, ont fomenté le scénario faux de l'origine du marché aux animaux vivants de Wuhan. Et les Chinois ont marché à fond dans ce montage médiatique parce qu'il favorisait leur intérêt : les rendre aux yeux de l'opinion publique victimes tout comme les autres. Mais le problème des Chinois et de leurs alliés zoologues, c'est qu'il n'a jamais existé de marché "aux animaux vivants" à Wuhan. Par contre, il a existé à cette époque, un "marché aux produits de la mer"; comme il y en a des centaines dans tout l'occident aussi. Et on n'y a jamais vendu le moindre pangolin. Qui sont effectivement vendus dans de petits marchés traditionnels qui existent plus ou moins clandestinement dans les banlieues des villes chinoises et surtout dans les villages. 1.3 - Le lieu du patient "0" se trouve à côté de laboratoires de virologiePar contre, il existe un troisième fait, extrêmement suggestif. Le "marché aux produits de la mer", d'où serait partie l'épidémie, se trouve placé géographiquement entre deux laboratoires de virologie contrôlés par l'Armée chinoise par le biais de l'Académie des Sciences de Chine. Depuis les faits, le marché aux poissons a été fermé et les laboratoires de virologie ont été purement et simplement placés sous commandement militaire. Le "marché aux poissons" est situé sur une ligne de métro qui dessert aussi les deux laboratoires de virologie. Une souche de SARS-CoV-2 a parfaitement pu être transportée d'un des laboratoires de virologie au marché aux poissons. Ce fait a servi de base à l'hypothèse d'une fuite de laboratoire. C'est celle qui est actuellement favorisée par les scientifiques. Mais pas par les covidistes groupés autour de l'OMS contrôlé par la Chine et qui recherchent toujours sans aucun succès une origine zoonotique à l'épidémie de SARS-CoV-2. 1.4 - Le génome de SARS-CoV-2 révèle son origine artificielleLe quatrième fait remonte aux premiers jours de l'épidémie. De très nombreux biologistes, virologues, épidémiologues et autres ont eu accès dès le mois de janvier 2020 à la publication par la Chine du génome du coronavirus d'origine de l'épidémie, la souche dite de Wuhan - Wu-1. Et dans ce génome, ils ont trouvé des insertions de codes génétiques absolument impossibles à réaliser de manière naturelle. Plusieurs Prix Nobel attirèrent l'attention sur le caractère artificiel de ce génome et avertirent que ces insertions géniques rendaient SARS-CoV-2 beaucoup plus infectieux et beaucoup plus dangereux que n'importe quel autre coronavirus naturel. Les covidistes, organisés autour d'un curieux personnage, Peter Daszac, lancèrent une vigoureuse offensive contre ces lanceurs d'alerte. A l'aide de la presse de propagande regroupée autour de la catastrophique revue médicale The Lancet, ils parvinrent à disqulaifier les lanceurs d'alerte en les traitants de charlatans et de complotistes.Exit pour un bon moment la preuve de l'origine artificielle de SARS-CoV-2. Du moins de l'espace public. 1.5 - L'ambassade américaine en Chine dénonce des manquements à la sécurité à WuhanLe cinquième fait a été produit par le Washington Post. Probablement instrumentalisé par une source proche de la CIA, ce journal a diffusé le contenu de plusieurs cables diplomatiques transmis par des diplomates américains en poste en Chine et qui avaient inspecté l'Institut de Virologie de Wuhan. Ils y avaient été témoins de graves irrégularités dans les procédures de sécurité biologiques. Ce fait servi à confirmer l'hypothèse d'une fuite de laboratoire. 1.6 - Un américain a fait financer par les USA des recherches en génétique en ChineUn sixième fait est encore à prendre en compte. Il est d'ailleurs majeur pour comprendre l'ensemble du scandale planétaire de la pandémie à SARS-CoV-2. Lors de l'ère Obama, les biologistes américains et leurs alliés, dont les Chinois et le reste du monde, produisirent un certain nombre de recherches en virologie tout à fait étonnantes et qui portaient notamment sur la génétique des coronavirus. Leur leader était un professeur de Caroline du Sud, Ralph Baric. Ces recherches mondiales étaient largement financées par une collection d'agences fédérales américaines sous la direction plus ou moins occulte d'un certain Anthony Fauci qui était parvenu à se dresser une réputation de "grand scientifique" dans la "lutte contre le Sida". Or, Baric et ses collègues développaient une technique génétique extrêmement dangereuse qu'ils appelaient le "gain de fonction" - Gain of Function ou GoF. Cette technique consiste à utiliser des techniques du génie génétique pour modifier artificiellement le génome d'un pathogène pour le rendre plus infectieux contre l'homme. Le but paraît inadmissible, mais la plupart des équipes investies dans cette technique clament alors haut et fort que ces études sont destinées à produire de nouveaux vaccins plus efficaces contre les virus naturels si d'aventure ils mutaient "mals". L'alibi satisfait certains ... Toujours est-il qu'en 2013, 2014 les scientifiques américains poussèrent l'administration Obama à prendre une décision de moratoire interdisant aux laboratoires méricains de participer à des développement de "gain de fonction". Comment réagirent les scientifiques américains comme Ralph Baric ? Ils tranférèrent leurs paillasses en Chine, et notamment à l'Institut de virologie de Wuhan avec lequel, mais comme avec beaucoup d'autres laboratoires en Chine et ailleurs, ils avaient des coopérations très poussées. Et c'est là que Fauci entre en scène. Grâce à ses réseaux d'influence, Fauci disposait d'un accès à la fois aux décideurs de Washington qui libèrent des fonds pour la recherche scientifique et avec les utilisateurs potentiels de ces fonds que sont les laboratoires universitaires américains. Fauci disposait même d'une très bizarre ONG écologiste, EcoHealth Alliance, basée à New York et qui est directement investie à l'Institut de Virologie de Wuhan. Ainsi en douze ans Fauci a fait accorder à EcoHealth Alliance plus de 150 millions de dollars que EcoHealth Alliance a apporté au seul Institut de Virologie de Wuhan. Le patron, quasi propriétaire de l'ONG EcoHealth Alliance est Peter Daszac, dont le nom a été cité plus haut comme initiateur du mouvement médiatique de calomnie contre les lanceurs d'alerte qui avertissaient du caractère artificiel et non naturel de SARS-CoV-2 ... Fauci est actuellement harcelé par plusieurs sénateurs américains comme Ron Paul, qui tentent lors d'auditions sévères au Sénat de Washington de lui faire reconnaître qu'il a spécialement financé des projets de "gain de fonction" à l'Institut de Virologie de Wuhan. L'individu de 85 ans, toujours patron des NIH, toujours maître de la plupart des financements en biologie aux USA et donc en Chine, ne se laisse pas impressionner et refuse de reconnaître l'évidence. C'est actullement sa seule défense. Il est par là soupçonné de parjure devant le Sénat des Etats-Unis. Tarif : 5 ans de prison. Il fait toujours étudier notamment par l'Institut de Wuhan, mais par d'autres aussi, l'origine zoonotique de l'épidémie ... Sous l'instigation de la Chine, qu'une telle origine exonère ... 1.7 - SARS-CoV-2, un acte de guerre biochimique de la Chine ?Un septième fait est à mettre en valeur absolument. Il exsite un axe d'études scientifiques très suggestif qui tente de décrypter les publications chinoises pour suporter l'hypothèse d'un acte de guerre biologiqye produit par Pékin. La thèse est avancée par une virologue chinoise et transfuge, Li-Meng Yan. La thèse est reprise et amplifiée par une autre virologue américaine d'origine chinoise Anne Chen qui est soutenue par un virologue retraité de l'Amréme américiane le Col. Sellin. Dans cette hypothèse, le SARS-CoV-2 est une chimère qui a été volontairement construite et relâchée dans la nature par l'armée chinoise sur oridre du parti communiste chinois. Li-Meng Yan est soutenue par la communauté immigrée chinoise aux Etats-Unis et pourchassée à la fois par les services spéciaux chinois et la covidocratie. Ses premiers articles publiées en dehors des revues professionnelels aux mains de la confidocratie ont été critiqués notamment par une équipe de Stanford, dirigée par un autre vétéran de la "lutte contre le Sida", Robert Gallo, lui aussi complètement corrompu par le pouvoir chinois. La thèse est maintenant retombée dans l'oubli, parce que celle de la "fuite de laboratoire" est moins "agressive" et soutenue sans le dire par l'OMS qui veut minimiser le rôle de la Chine et sauver l'origine naturelle de l'épidémie. Mais, de plus en plus de preuves s'accumulent pour montrer que le patient "O" de l'épidémie ne se trouvait pas au Marché aux poissons de Wuhan. On soupçonne notamment, mais pas seulement, des Jeux Militaires de Wuhan, en Septembre 2019, d'avoir servi de moyen d'inoculation du pathogène militaire. 1.8 - SARS-CoV-2 , un acte de guerre civilisationnelle de la caste des hyper-riches ontre l'humanitéUn huitième fait, est autant qu'il est possible, passé sous silence par le régime : celui du Great Reset. De quoi s'agit-il ? En bref, ... il s'agit d'un livre de deux curieux individus Klaus Schwab et Thierry Malleret. Le premier est le propriétaire animateur d'une sorte de club pour miiliardaires, le World Economique Forum, ou Forum de Davos, où Schwab fait se rencontrer les milliardaires et les politiciens qui comptent ou qui comptaient : Merkel, Sarkozy, Hollande même, et aussi Macron, y sont ou y ont été. Mais aussi Xi et Poutine, Biden et Obama (pas Trump ...) Le "truc"de Schwab et de ses complices est une merveilleuse escroquerie en bande organisée. Elle consiste à passer par-dessus la tête des gouvernements et des parlements par le moyen de partenariats public (d'où la présence de politiciens) - privé (d'où la présence des milliardaires) dans lesquels chacun apporte librement son argent et ses moyens pour la réalisation d'un objectif commun. L'un des plus puissants promoteurs de partenariat public - privé est le millardaire Bill Gates qui en possède plusieurs. Le plus en vogue aujourd'hui est son partenariat avec GAVI, une ONG qui vise, avec le concours des gouvernements de la planète entière, à vacciner tout le monde. Cà vous évoque quelque chose peut être. Vacciner de quoi ? De n'importe quoi, du moment que ce soit "tout le monde". Laissons celà un instant. Depuis une quinzaine d'années, la caste des hyper-riches et la tribu internationale des politiciens attendent une monstrueuse épidémie provoquée par une zoonose parce que "l'homme a stupidement détruit les habitats naturels de la faune sauvage, réservoir de virus" ... Cela vous rappelle sûrement quelque chose de récent ... Un des premiers "héraults" de la "Grande Epidémie" est le français renommé Jacques Attali qui l'a popularisée en France depuis les années 2010. "Ils" ont de la constance . Ou des idées fixes. Tout celà est bien entendu parfaitement public, et largement documenté même par la presse de propagande. En Juillet 2020, alors que la "pandémie de Covid" battait le monde depuis plus de six mois, Schwab et Malleret publient sur le site Internet du Forum de Davos un opuscule intitulé "Covid-19: The Great Reset". Ils expliquent que l'épidémie de Covid est une chance formidable pour l'humanité ("Ben voyons ...") parce qu'elle permettra que le monde ne soit plus comme avant, mais qu'il va être possible de ré-initialiser l'humanité : le "Great Reset". "Reset" est entendu comme l'action du bouton "reset" des appareils électroniques et qui permett de remettre un appareil défaillant dans son état d'origine ... Notez cependant, que, dans le livre, ni chez Attali, il n'est question d'inoculer à l'humanité un quelconque virus. Seulement d'en profiter pour faire une sorte de révolution. Ceci posé, il faut savoir que des faits troublants se sont déroulés. Par exemple, en juillet 2020, deux économistes américains écrivaient : "Aux États-Unis, de nombreux exercices de simulation de haut niveau de bioterreur et de pandémie sur table ""de Dark Winter en 2001 à Clade X en 2018 et Event 201 en 2019"" ont démontré la confusion, la mauvaise prise de décision et le manque de coordination des ressources et les messages qui peuvent saper une réponse en l'absence de planification et de préparation d'urgence en cas de crise." Or, nous savons que ces allégations d'impréparation de mauvaises prises de décisions et autres fariboles sont parfaitement fausses. Il existait des plans et des organisations à tout niveau qui devaient être utilisés en cas de pandémie. Partout, en France, en Europe, au niveau international, ... Et à l'immense stupeur des artisans de ces plans et méthodes, ils ont été tout simplement interdits par les politiciens liés au Forum de Davos et remplacés en mars 2020 par ce que nous avons connus et connaissons encore. Or, la stratégie "sanitaire" qui a été utilisée en lieu et place des plans prévus est exactement décrit lors de l'Event 201 à New -York, le 18 Octobre 2019. Ces faits soutiennent une nouvelle hypothèse sur l'origine de la pandémie de Covid : il s'agirait d'une épidémie provoquée par un gigantesque partenariat public-privé et qui est destiné à mettre en place le régime décidé par la caste des hyper-riches dans le but d'exécuter la révolution décrite par l'ouvrage de Schwab et Malleret, "Covid-19: The Great Reset". Bien entendu, cette hypothèse est qualifiée de "complotiste par les politiciens qui l'appliquent. Celà ne prouve pas que cette hypothèse est fausse. Seulement que les puissants qui vous asservissent ne veulent pas que vous l'entendiez. Résumons le point de notre enquête.La narration officielle (relire notre première partie) affirme trois choses :
Nous venons de voir les faits qui établissent que la première affirmation de la narration officielle est fausse. Passons aux suivantes. A SUIVRE Liens à suivrePour compléter votre information, vous pouvez lire dans la Revue C-Politix :
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