L'origine du coronavirus et de la pandémieLes autorités politiques et sanitaires continuent d'affirmer ce qui est leur unique discours depuis le mois de Janvier 2020 : l'épidémie de SARS-CoV-2 provient du passage d'un virus de chauve-souris, par l'intermédiaire d'un pangolin, et le patient zéro - le premier humain infecté - l'a été en décembre 2019 dans le marché aux poissons de Wuhan. L'expression standard est d'ailleurs que la Covid-19, la maladie humaine contractée par l'infection à SARS-CoV-2 est le résultat d'une "zoonose" passée dans l'espace humaine à cause de l'irresponsabilité sociale de l'homme moderne Cette thèse est promue depuis des années - bien avant la première épidémie de 2003 de SARS-CoV déjà en Chine - par de très nombreux organismes comme l'OMS, mais aussi les autorités sanitaires américaines, chinoises, et des organisations privées comme EcoHealth Alliance ou la Fondation Bill & Melinda Gates et sa myriade d'"ONGs" organisées pour contrôler la réponse aux épidémies depuis vingt ans. Or dès le mois de Février 2020, de nombreux scientifiques ont noté les incohérences de l'histoire officielle. Le pangolin est dépourvu des moyens biochimiques lui permettant de faire muter le coronavirus de chauve-souris vers une coronavirus infectieux pour l'homme.. Puis, plus grave encore, plusieurs scientifiques ont pu examiner le code génétique de SARS-CoV-2, notamment les prix Nobel de Médecine Baltimore et Montagnier ou encore le prix Nobel de Chimie Lewitt. Pour eux, plusieurs codes génétiques de SARS-CoV-2, inexistantes dans les anciens coronavirus de chauve-souris, sont impossibles dans une évolution naturelle, notamment pour des raisons d'électrochimie. Les atomes de ces unités génomiques ne sont pas miscibles. Pour eux, l'origine artificielle de SARS-CoV-2 s'impose comme la seule origine possible. Par ailleurs, la Chine et les équipes occidentales peinaient à démontrer le rôle du pangolin et pire encore, il n'existait aucune parenté suffisante entre les coronavirus de chauve-souris désignés et le SARS-CoV-2 pour expliquer l'infection de l'homme. Et enfin, la mise en cause du marché aux poissons de Wuhan ne résiste pas à une analyse des faits. Particulièrement, on a découvert des infections par SARS-CoV-2 antérieurs à décembre 2019 et qui n'avaient aucun lien avec Wuhan et son marché aux poissons. Devant les difficultés rencontrées, certaines autorités sanitaires aux USA et à l'OMS se sont mises à admettre que l'épidémie de SARS-CoV-2 proviendrait d'une fuite accidentalle du laboratoire P4 de l'Institut de virologie de Wuhan, qui maintient une collection de coronavirus de chauve-souris sous financement américain depuis plus de dix ans. La proximité géographique de ce labortatoire, les alertes depuis plus de deux ans par les autorités de sécurité américaine - le fameux câble du Département d'Etat US révélé par le Washington Post - tendraient à démontrer que la pandémie est un accident. Or, depuis longtemps, un Sénateur américain, Ron Paul, convenablement informé par les scientifiques libres, demande l'accès aux sources gouvernementales US pour tracer les financements de travaux de micro-biologie - dits "à gain de fonction" - qui auraient été consentis par le gouvernement américin à des laboratoires chinois. On découvre notamment que depuis 2003, un laboratoire américian, Université de Caroline du Sud, dirigé par Ralph Baric, a transféré des connaissances et des techniques, et formé des biologistes chinois - la plupart appartenant à l'Armée Populaire de Chine - en vue de rendre plus infectieux des coronavirus de chauve-souris. Ces finacements ont été partiellement obtenus directement de la NSF américaine mais aussi par l'intermédiaire d'une ONG, EcoHealth Alliance, dirigé par un membre des services spéciaux américains, Peter Dazsac. L'ensemble des finacements, direct et indirect, passaient par un fonctionnaire américain du NIH - agence NIAIDS spécialisé dans le SIDA (AIDS) - Anthony Fauci, que Trump avait, dès le mois de février 2020, nommé pour diriger à la Maison-Blanche l'équipe de suivi de la pandémie. Il sera conservé à ce poste par Biden - on expliquera pourquoi plus loin - jusquà sa mise à la retraite en Décembre 2022. A 87 ans. Pour comprendre l'origine de la pandémie, le chemin passe par l'OMS, le gouvernement américain et .. Bill GatesOr, Fauci est un homme qui appartient à Bill Gates. Il a travaillé depuis quarante ans dans l'orbite des ONGs qui depuis, peu ou prou, appartiennent à la Bill & Melinda Gates Foundation. Et EcoHealth Alliance appartient aussi à cette galaxie. Avec Gates, il a participé à l'organisation des autorités sanitaires à l'OMS - Gates est le plus gros contributeur privé de l'OMS depuis dix ans avec 900 millions de dollars en 2020 - et grâce à leur prise de contrôle de l'OMS, des autorités sanitaires des principaux pays occidentaux : USA, Royaume-Uni, Allemagne et ... France. La France où Macron nomme en mars 2020 comme chef du conseil scientifique qui va contrôler la pandémie, un professeur de médecine à la retraite, Jean-François Delfraissy, dont le premier acte sera d'annoncer sa nomination par un mail à Anthony Fauci. Le deuxième acte de cet individu est de demander ses instructions à Fauci concernant le sort du professeur Raoult et de son traitement à l'hydroxychloroquine. Ces échanges entre Fauci et Delfraissy sont révélés par une décision de justice américaine de 2022, qui obligea l'administration US à publier les mails de Fauci datés de 2020. Or, le problème de l'origine de la pandémie est incompréhensible si on en reste à une fuite "accidentelle" d'un laboratoire - fut-il chinois. En effet, il faut encore savoir que Gates, avec ses instruments de l'OMS, possède le centre mondial de modélisation des épidémies, situé à Londres, Imperial College. Il s'agit d'un Institut d'informatique, dirigé par un individu sans aucune formation de biologie ou de médecine, ni même d'informatique d'ailleurs - il aurrait suivi des cours de physique quantique ... - et qui, en 2020 était déjà célèbre pour avoir "inventé" des épidémies qui n'existaient pas comme celle dite de la "vache folle" dont il avait prédit qu'elle ferait des millions de morts - il y en eux 127 ... Malgré l'incompétence de ce Centre de modélisation - et peut être grâce à elle - Gates est parvenu à imposer plusieurs idées qui infusaient déjà depuis plus de dix ans à l'Oms et - par redescente en pluie fine - sur les autorités sanitaires occidentales :
Or, cette idéologie n'est pas une dérivation hasardeuse des faits rapportés ici. Il s'agit tout simplement d'une citation directe du fameux Rapport N°9 du 16 Mars 2020, que tous les gouvernements - au moins en Occident - reçurent de l'Imperial College et qui les décidèrent :
Qui croyait à cette fantasmagorie ? Parmi les autorités politiques ou sanitaires, personne. C'est ainsi que des scientifiques - en France des gens comme Perrone ou Raoult - furent stupéfaits des mesures prises. Les autres, les gens normaux, eurent très peur du coronavirus et obéirent absolument aux pires ordres des autorités. Or, à partir du moment où quelqu'un obéit à un ordre stupide par peur, celui qui émet cet ordre sait qu'il possède tout pouvoir sur le soumis. Ils ont su le 15 mars 2020 ... absolument comme Hitler savait en janvier 1933. A Berlin. Pour comprendre l'origine de la pandémie, il faut faire un tour du côté de la Chine, seule.Tout d'abord, la Chine a lancé un effort extrêmement important dans la coopération entre les Universités chinoises et les laboratoires de l'Armée populaire de Chine. En Chine la frontière entre lesdeux institutuions universitaire d'une part et militaire d'autre part est encore plus ténue que dans tout autre pays. De même que la frontière entre le Parti Communiste Chinois et l'Armée populaire de Chine est quasi inexistante. L'idée selon laquelle l'Université chinoise serait animée d'un pur esprit scientifique pour étudier des pathogènes mortels pour l'espèce humaine ne résiste pas à la réalité. Ces recherches n'ont lieu que parce que ces études débouchent systématiquement sur le développement d'ames biochimiques. Notamment la virologue chinoise - en fuite aux Etats-Unis - Li-Meng Yan a démontré l'implication de scientifiques militaires dans les instituts universitaires et elle a aussi documenté des protocoles de développement d'armes biochimiques. La supposition que SARS-CoV-2 aurait à voir avec la recherche de telles armes biochimiques est donc fortement supportée par l'évidence. La chose est tellement forte que l'Institut de Virologie de Wuhan, qui était gérée par l'Académie des Sciences chinoise, a été dès le mois de Janvier 2020 placé sous le contrôle et la direction y compris scientifique, de l'Armée Populaire de Chine. Le fait que Wuhan ait été partiellement financé par le gouvernement américian ne permet en aucune façon d'écarter le contrôle militaire chinois. Ce même Institut de Wuhan a été lui aussi soutenu par l'Université de Lille - j'ignore si ce soutien est encore actif, - et son laboratoire à haute sécurité P4 a été construit par l'Institut Mérieux de Lyon sous la maîtrise d'oeuvre de la firme française Eiffage. En Septembre 2019, Angela Merkel dans un voyage officiel en Chine, passait deux jours à Wuhan où elle a été amplement photograhiée et enregistrée. La raison en était simple, Merkel a signé avec les autorités chinoises une coopération scientifique avec les universités allemandes, notamment l'Hôtiâtl de la Charité qui, grâce à ce partenariat a pu bénéficié dès la fin décembre 2019 du séquençage du génome de SARS-CoV-2 réalisé par l'Institut de Virologie de Wuhan pour permettre à Drosten et àa son équipe allemande de finaliser le fameux protocole de test RT-PCR d'infection - test qui ne testait rien du tout, mais qui a été essentiel pour fausser les statistiques épîdémiques dans le sesn désiré par toutes les autorités sanitaires et politiques. Le tes a été adopté par l'OMS dès le 16 janvier 2020 de sorte que la collusion entre la Chine, l'OMS et l'Allemagne est elle aussi évidente. Bien entendu, le leadership de la Chine est essentiel dans cette affaire. Les autres sont des comparses ou des trompés ... ce qui revient au même. Or, la thèse de la fuite de laboratoire - à Wuhan - a un objectif principal : éviter que la Chine ne se trouve impliquée dans une action de guerre biochimique. Nous ne disposons pas du premier indice qui montrerait unaccident de laboratoire. Un passage d'un pathogène artificiel développé dans un laboratoire militaire chinois, si. Pourquoi aurait-elle lancé une pandémie ? D'abord, elle ne l'a peut être pas lancé sciemment. Par exemple, l'infectivité de SARS-CoV-2 a peut être été sous-estimée par les Chinois. Ils voulaient peut être produire une pandémie plus légère.Ensuite, on a vu que, est-ce un effet de la propagande, pendant les deux premières années de pandémie, la Chine n'a été que très peu affectée par la Covid-19. Elle en a profité pour appliquer une politique oppressive d'un niveau jamais atteint, enfermant à leur domicile des millions de gens mourants de faim. Avec interdiction de communiquer, de se réunir, d'avoir une quelconque activité de plein air, ... Nous n'avons fait qu'imiter partiellement les mesures chinoises. A la grande fureur des sanitaristes. Et autre effet positif pour la Chine, elle a effondré l'activité économique de l'Occident, de l'Europe, mais aussi des USA, pendant plus de deux ans. Il n'existe aucune preuve que la Chine ait sciemment diffusé SARS-CoV-2. Mais de nombreux indices tendent à supposer que la Chine avait les moyens scientifiques et techniques pour cérer SARS-CoV-2, les moyens piour le diffuser mondialement, et la Chine avait avantage à l'effet économique et social de la Covid-19 notamment sur le monde occidental. L'a-t'elle fait ? Pour comprendre l'origine de la pandémie, il faut faire un tour du côté des Etats-Unis, seuls.On a vu que la Chine seule - ... avec le concours plus ou moins inconscient de la France, de l'Allemagne et des Etats- Unis, ce qui fait beaucoup - pourrait avoir préparé une telle épidémie. Mais, les circonstances démontrent que les Etas-Unis, "seuls", auraient été capables de produire aussi une telle épidémie. Avec fuite accidentelle. Ou non. En préliminaire, il faut indiquer d'abord que le vocable "les Etats-Unis" est particulièrement vague. Et je souhaite que, dans le cadre de cette étude, il le reste. Volontairement. Contrairement à la schématisation habituelle en géopolitique, désigner un "ami" ou un "ennemi", n'a pas grand sens. D'ailleurs très souvent, les géopoliticiens sont contraints de distinguer les gouvernements de leurs peuples. Mais quand on parle "des Etats-Unis", c'est encore plus suspect. Le gouvernement américain est assuré par une myride d'institutions, d'organisations, d'intérêts plus ou moins bien identifiés, ... La CIA est une "cible" facile pour certains analystes. D'autres mettent en cause "l'Etat profond". Ou "le Pentagone". Ou ... Dans cette étude, je n'irai pas aussi loin pour désigner le "coupable". Ce qui est sûr, c'est qu'il parle "anglais". Plus, c'est difficile à préciser. Tout d'abord des épidémies mondiales, ou quasi-mondiales déclenchées par les Etats-Unis sont bien connues. L'une d'elles est l'épidémie de borréliose transmise à l'homme par des tiques qui ont été génétiquement sélectionnées par un laboratoire de l'armée américaine dans les années 1950. La maladie induite chez l'homme par la morsure de ces tiques est connue sous le nom de "maladie de Lyme". En France, elle est très connue notamment grâce au travail et aux soins médicaux du Pr Perronne - aujourd'hui retraité. Selon les informations produites par les US CDC - instituts de santé du gouvernement US - l'épidémie dans l'Amérique rurale a triplé depuis 2007. L'origine militaire de la maladie de Lyme a été abondamment documentée notamment par Kris Newby, auteur de "Bitten: The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons," . Le 17 Janvier 2017, Fox News publiait un article intitulé "House orders Pentagon to reveal whether it turned ticks into biological weapons", réponse qui est toujours attendue. Par certains idéalistes. Par ailleurs, l'armée américaine dispose d'un nombre énorme de laboratoires qui sont dévolus à la mise au point d'armes biochimiques, plus ou moins clandestinement, dans plus de 50 Etats non américains, comme la Géorgie, l'Ukraine ou la Pologne.Ils ont été mis à jour notamment par la journaliste bulgare Dilyana Gaytandzhieva a mené depuis plusieurs années des enquêtes fortement documentés sur les biolabs américains dans le monde. On pourra lire par exemple The Pentagon Bio-weapons, sur son site professionnel. Elle avait alors relevé 25 Etats accueillant des biolabs financés par l'armée américaine dans le monde. Le Pentagone admet subventionner 47 laboratoires ukrainiens et affirme qu'il s'agit uniquement de recherches médicales.On sait par ailleurs que la famille Biden contrôle une entreprise de microbiologie, Metabiota, qui est installée notamment en Ukraine depuis plusieurs années et que cette entreprise gère plusieurs biolabs ukrainiens pour le compte du Pentagone. Par ailleurs, l'armée américaine est largement implantée dans les laboratoires universitaires américains qu'elle finance avec des milliards de dollars chaque année. Or, un laboratoire financé par le Pentagone attire l'attention. Il s'agit du laboratoire dirigé par le microbiologiste Ralph Baric, Caroline du Sud, et qui est spécialisé depuis la fin des années 1990 dans la manipulation génétique des coronavirus de chauve-souris. Ce laboratoire et Baric ont mis au point des techniques permettant d'augmenter les fonctions biologiques de génomes de coronavirus et leurs techniques sont absolument capables de produire SARS-CoV-2. Très clairement, depuis l'effondrement de l'Union soviétique, les Etats-Unis ont dévelopé une géostratégie destinée à leur assurer l'hégémonie mondiale en orgnisant le chaos par tous les moyens dans les Etats qui leur résistent. Ainsi, la CIA a déjà fomenté depuis le début du sicèle des coups d'Etat dans plus de 18 Etats africains et aussi au Proche-Orient, il a organisé le prétendu "printemps arabe" qui a semé le chaos partout. Le chaos est en effet un moyen de détruire la résistance d'un Etat opposant. Et les Etats-Unis imaginent être autorisé par leur puissance à semer le chaos où bon leur semble. L'utilisation à des fins de géostratégie d'un coronavirus artificiellement augmenté n'est donc absolument pas contraire à leurs pratiques géopolitiques. Directement ou par Chine "interposée", les Etats-Unis auraient donc été en mesure de diffuser un pathogène comme le SARS-CoV-2. Leur but aurait été de semer le chaos, ce que le World Economic Forum a appelé le Great Reste qu'il a lié à la "chance" que représentait le Covid-19 (Lire l'ouvrage de Klaus Schwab et Thierry Malleret, "Covid-19. The Great Reset", Juillet 2020, pour changer de régime politique, de réggime économique et de société. Pour comprendre l'origine de la pandémie, il faut faire un tour du côté de Bill Gates, seul ... presque.Bill Gates en "santé publique" est devenu_ un acteur incontournable. Je veux dire qu'on ne peut pas ne pas le rencontrer à chaque page d'une Histoire des épidémies, des vaccins, des médicaments, des mesures sanitaires, ...Hyper-milliardaire, il a mis au point avec l'aide d'un "club très sélect", auquel Gates appartient, et qui s'appelle "le World Economic Forum", une technique de manipulation des régimes politiques où que ce soit dans le monde, une technique qui initie un véritable gouvernement mondial qui règle la vie des peuples à leur insu. Il s'agit du partenariat public - privé. Mis en oeuvre par Bill Gates un tel partenariat lui permet d'investir sur un projet qu'il a conçu, mettons 10. Il ouvre alors son partenariat aux Etats et institutions internationales comme l'OMS qui bénéficient pendant un court instant du droit d'investir jusqu'à ce que le total de l'investissement public - privé dans le projet atteigne - mettons 100. C'est pour Bill Gates un effet de levier qui lui permet de décupler la puissance de ses investissements. Parce que chaque investisseur est entièrement prisonnier de l'administration du projet qui appartient à Bill Gates de sorte que pas un acte du projet en cours d'exécution n'échappe à sa direction. Mais chaque participant public au projet de Bill Gates est persuadé d'avoir été plus malin que lui parce qu'il n'a mis que 10 ou 20 dans un projet qui en vaut 100. Ou 1.000, peu importe. Et chaque participant public est entretenu dans la croyance qu'il est le plus puissant dans le projet et que rien ne se fait sans lui. D'autant que, en général dans les projets que Bill Gates initie, pour l'exécution du projet de Gates auquel il a l'avantage de participer, l'investisseur public nomme des fonctionnaires de sa propre administration, mais qui sont entièrement corrompus par Bill Gates, de sorte que ces "fonctionnaires" accroissent encore la puissance de l'hyper-milliardaire. Comment fait-il ? Il ? Gates ! Il forme une ou plusieurs ONGs à statut international, qu'il fait recouvrir grâce à des Traités Internationaux absolument scandaleux, par l'immunité diplomatique totale. Gates en possède des dizaines dont beaucoup sont totalement inconnues du grand public. C'est normal. Ces ONGs sont dévolues à des projets de partenariat public - privé qui ne regardent pas les peuples, mais seulement Gates et les Etats investisseurs. Ces ONGs ont en général leur siège social à Genève, mais pas toujours. Et personne ne peut les attaquer en justice grâce à leur immunité. Un exemple d'une telle ONG ? GAVI. Au départ, il s'agissait d'un sigle qui signifiait Global Alliance for Vaccination and Immunization. Depuis GAVI est devenu un nom propre qui ne se détaille plus. On dit "GAVI". C'est GAVI qui a organisé mondialement la distribution des vaccins COVID. Hélas, pour comprendre la puissance de Bill Gates, il faut détailler une myriade d'initiatives qu'il a fait établir depuis vingt ans et qui lui permettent de contrôler capitalistiquement les firmes pharmaceutiques, des laboratoires de recherche en microbiologie, la presse, ... Dans les limites de cette étude, il va falloir nous limiter. Par exemple, Bill Gates contrôle complètement la firme Pfizer qui vend le vaccin ARNm Covid le plus distribué au monde. Le Vice-Président - peu connu - de cette firme est une salariée de la Bill & Melinda Gates Foundation. Mais Gates contrôle aussi d'autres firmes pharmaceutiques comme Moderna et bien d'autres. Pfizer, une firme qui, comme beaucoup d'autres, a fait la fortune d'un certain cabinet de conseils que Gates contrôle totalement, le cabinet McKinsey. C'est ce dernier qui a par exemple contrôlé le fonctionnement de l'administration française de santé publique pendant la pandémie de Covid-19. Un cabinet de conseils dont la filiale française a un Directeur associé qui est le fils du Président du Conseil Constitutionnel. Un cabinet de conseils dont la filiale allemande a un Directeur associé qui est le fils de la présidente de la Commission de Bruxelles. Qui a négocié elle-même, en violation des textes législatifs qui organisent les pouvoirs de la Commission, l'achat pour l'Union européenne des vaccins Covid. Cette "dame" a pour époux un dirigeant d'une filiale de Pfizer spécialisée en microbiologie. Juste avant ce poste, cet individu était le patron d'une firme allemande qui a réalisé les essais cliniques du vaccin acheté par Pfizer à la firme allemande BioN'Tech. Mais, le contrôle par Gates de la pandémie Covid-19 va bien au-delà. Par exemple, grâce à sa maîtrise du World Economic Forum, il a fait nommer la plupart des dirigeants étatiques occidentaux. Par exemple, Angela Merkel (GLT 1993) qui dirigeait l'Allemagne au début de la Covid est un membre du WEF. De même que Iacinda Arden (YGL 2014), qui a dirigé la Nouvelle-Zélande pendant le Covid. Ou que Sebastian Kurz (YGL 2009) qui a dirigé l'Autriche pendant le début du Covid, ou que Emmanuel Macron (YGL 2016). Ou que Justin Trudeau le Canadien (YGL 2005). Toujours en poste ceux-là. Or, l'appartenance à un cercle très fermé du World Economic Forum est décidé par les membres de ce cercle. Il s'agit du cercle des Global Young Leaders qui permet de constituer un réseau international de gens qui se cooptent pour devenir les dirigeants du monde occidental. Sous le contrôle de Bill Gates. Gates contrôle la presse - essentielle pour soumettre par la peur de la maladie la population occidentale - les autorités sanitaires - qui décident des mesures sanitaires contre l'épidémie- des autorités politiques - qui appliquent les instructions des autorités sanitaires - et des industriels de la santé - qui fournissent les équipements de test, de protection et les vaccins pour "traiter" la maladie. Si l'ensemble des populations et des Etats se sont appauvris avec la Covid-19, Gates et ses sociétés se sont considérablement enrichis. Gates avait donc les moyens et l'intérêt de déclencher une pandémie majeure. Or, le vaccin était prêt avant le début de la pandémie selon plusieurs sources qui sont encore à éprouver et la doxa imposée notamment par la modélisation épidémique diffusée dès le mois de mars 2020 insistait sur le rôle unique du "vaccin" pour "sauver le monde du coronavirus. Par ailleurs, Gates a animé de nombreuses plateformes de préparation d'actions sanitaires et politiques auxquels la plupart des intervenants de la pandémie ont participé parfois depuis 2015. Parmi ces intervenants, il faut citer : Anthony Fauci, la John Hopkins University, l'OMS, la Wellcome Foundation, ... Or, Gates est un nom facile pour servir de "valise" à une telle organisation. Mais, il a travaillé avec beaucoup d'autres milliardaires parmi lesquels Georges Soros, avec qui il a pris le contrôle des fabricants de tests d'infection, comme Mologix, Zuckerberg, qui a agit directement en contrôlant les échanges de messages Facebook, fermant les comptes des utilisateurs qui ne diffusaient pas la doctrine officielle concernant la pandémie, mais aussi avec sa Fondation Zuckerberg qui a financé de nombreux laboratoires de biochimie pendant la Covid, mais aussi les propriétaires réels de réseaux sociaux comme Google ou Twitter. Tous ces gens se sont considérablement enrivhis en contrôlant la politique mondiale que les Etats imaginaient contrôler eux-mêmes. Et si c'était tous les trois ?Bien sûr, aucun de ces trois protagonistes n'est le seul responsable de la pandémie. Aucun des trois n'est le seul responsable de la diffusion de SARS-CoV-2. Aucun des trois n'est responsable seul des conciliabules qui se sont tenus en Février 2020 entre Anthony Fauci et ses complices pour commettre un article "scientifique" qui fulminait l'anathème contre la thèse de la fuite de laboratoire ou celle de l'origine artificielle de SARS-CoV-2. Le monde est devenu bien trop subtil pour avoir des situations claires. Ne recherchez aucune réunion où les trois accusés - Chine & USA & Gates - aurait "comploté" entre eux une épouvantable "pandémie" qui aurait répondue exactement à leurs trois attentes pas forcément convergentes. Chacune des trois puissances est elle-même divisée ... Mais, ce sont des gens qui ont une réactivité formidable pour tout ce qui sert leur intérêt. Quand nous autres gens normaux hésitons, tergiversons, pour finalement trouver "que c'est pas très moral", eux foncent d'un seul mouvement et avec tous leurs moyens. Quand en 2018 le patron de Moderna apprend qu'il y aura une épidémie en 2020, il ordonne à ses employés de préparer un plan de producttion de dix milliards de doses. Je suis "persuadé" qu'il gnorait que le SARS-CoV-2 aurait une protéine de pointe avec un "site à la furine" particulièrement infectieux. Peut être que le patron de Moderna a entendu un responsable américain dire quelque chose d'anodin qui a immédiatement évoqué chez ce patron avisé un événement inmanquable. Et il ne l'a pas manqué ... C'est probablement ce qu'il s'est passé. Des milliers de "cloportes" ont compris qu'ils pouvaient gagner du pouvoir, mettre les populations en esclavage, gagner des milliards de dollars. Tout était prêt pour leur permettre d'appliquer tous leurs moyens au bon moment et aux meilleurs endroits. Le problème que l'occident rencontre, c'est que la politique et la médecine ne sont plus orientées vers le bien de l'homme ... Tant pis pour nous. Dans la Revue C-Politix sur le sujet :
Sources
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